économie Souterraine Drogue

utilisées.     • Droits  de  propriété  :  droits  dont  dispose  le  propriétaire  d’un  bien,  d’un  facteur  de  production  ou  d’un  actif  financier,  etc.     2   • Externalités  :   En   économie,   on   appelle   «   externalité   »   ou   «   effet   externe   »   le   fait   que   l'activité   de   production   ou   de   consommation   d'un   agent   affecte,   en   bien   ou   en  

Elle soulignait les incertitudes scientifiques dues au manque d’études, rendues difficiles par le statut illicite du produit. Parmi les éléments plaidant en faveur d’une dangerosité limitée du produit, l’Inserm retenait que, contrairement à d’autres drogues, licites et illicites, aucun décès n’avait été recensé après intoxication aiguë isolée par le cannabis. De même, notaient les experts, les signes somatiques aigus sont « souvent mineurs et inconstamment ressentis ». Enfin, l’altération de certaines

rapport a l’ensemble de la délinquance reste heureusement limitée. Les crimes et délits sont évalues en 2001 a 279000. Les vols représenteraient 62% Les infractions économiques et financières 9% Les crimes et délits contre les personnes 7% Autres (drogue) : 22% Cet accroissement de la violence contre les personnes garde une allure très modérée pendant les 3 premières décennies (les 30 glorieuses) On remarque une accélération de cette violence, à partir années 80-90. Y a-t-il plus enregistrements

de 15 milliards) selon le cabinet « Idate ». Ce nouveau monde hyper-connecté agit comme un véritable aimant sur les cybercriminels. Aujourd'hui, le potentiel de rentabilité du marché noir de la cybercriminalité est supérieur à celui du trafic de drogue international. Elle est de plus moins risquée, et moins difficile d'accès que le circuit physique, et bénéficie d'une distribution internationale quasi garantie. Malgré le développement constant de la cybercriminalité, il est néanmoins difficile

Choc pétrolié 1975, 1993, 2008 : récession économique : Tx de croissance < 0 B) Les limites du PIB comme indicateur de croissance des richesses. → La sous-évaluation de l'économie souterraine ou informelle : P° légales non déclarée (ex : paradis fiscaux); les activités illégales (trafic de drogue ...) => 4% du PIB en France ; 17% de l'Italie → La sous-évaluation des activités non marchandes : L'auto production des ménages ; des activités hors marché (ex : femme au foyer, homme bricoleur)

plus vastes ensembles mafieux, pour lesquels l’activité contrefactrice est une source de revenus peu risquée qui côtoie d’autres activités criminelles aux dimensions internationales comme la prostitution, le terrorisme ou les trafics en tout genre, drogues ou armes. Lors du Congrès mondial sur la lutte contre la contrefaçon et le piratage qui s’est tenu à Lyon les 14 et 2 15 novembre 2005, le secrétaire général d’Interpol , Ronald K. Noble, a déclaré : « Nul pays ne peut à lui seul venir à bout des

plus vastes ensembles mafieux, pour lesquels l’activité contrefactrice est une source de revenus peu risquée qui côtoie d’autres activités criminelles aux dimensions internationales comme la prostitution, le terrorisme ou les trafics en tout genre, drogues ou armes. Lors du Congrès mondial sur la lutte contre la contrefaçon et le piratage qui s’est tenu à Lyon les 14 et 2 15 novembre 2005, le secrétaire général d’Interpol , Ronald K. Noble, a déclaré : « Nul pays ne peut à lui seul venir à bout des

(par exemple, les grands réseaux de vol et de recel de véhicules automobiles ou d'œuvres d'art), la plus grande partie de ces opérations consiste dans la revente à profit énorme de produits qui ont été d'abord achetés à ceux qui les produisent (les drogues ; les armes), qui se les procurent (braconnage des espèces menacées) ou qui en ont la garde (matières nucléaires). De façon analogue, même si le crime organisé se caractérise par sa violence, il n'a recours à celle-ci que de façon instrumentale et

III- L’INFLUENCE DES AUTRES ORGANISATIONS A- Les actions manifestes 1- Les sondages d’opinion. 2- Les lobbyings. 3- Les observateurs. 4- Les mouvements sociaux. B- Les actions latentes 1- Les manipulations 2- Les transactions souterraines 3- Les pressions psychologiques 4- Les votes identitaires. CONCLUSION INTRODUCTION Avec l’avènement de l’Etat moderne et de la démocratie qu’on présente comme son corollaire, le choix des dirigeants est un moment capital dans la vie de

mondialisation. mais il y a une mise en valeur insuffisante en ressources car ils manquent de capitaux pour investir. Il y a de l'eau en Afrique il y a de l'eau au Sahara il y a également des réserves d'eau souterraine, nappe souterraine --->mise en place d'un système d'irrigation (système souterraine, rampes pivot)--->Sud algérien à El oued. Nomadisme dans la zone du désert. Avancer du désert car sédentarisation, déforestation et surpâturage. Paysage pour le tourisme--->tourisme de circuit (randonné