économie Publique

que lors de la Grande dépression, les états avaient tenté d'échapper à l'impact de la crise par des mesures protectionnistes censées préserver les économies et les acteurs nationaux, ils ont opté lors de la crise récente pour une réponse concertée afin de tenter de limiter l'impact de la déstabilisation du secteur financier sur le reste des économies. La différence entre les deux situations tient au degré de la mondialisation qui aurait rendu aujourd'hui inefficace voire contre-productive toute

Lettre de l' Céline Antonin OFCE, Centre de recherche en économie de Sciences Po Mardi 21 septembre 2010 323 La fatalité grecque : un scénario prévisible ? Depuis fin 2009, la Grèce est en plein bouleversement. Sauvée in extremis du défaut de paiement par l’action conjointe de l’Union européenne (UE) et du FMI, elle n’a pas regagné la confiance des marchés. Conséquence directe de la dégradation des finances publiques, la crise grecque a été aggravée par deux autres facteurs : la spéculation

Eyrolles 11 15 18 22 24 27 29 32 33 37 38 43 45 48 50 52 L’imposture des « actifs publics ».......................... S’endetter pour ne pas avoir à réformer............... L’effet soporifique de l’euro ................................... Dette publique/dette privée, liaisons dangereuses 5 user 177 at Fri Nov 05 04:04:55 +0100 2010 Ce document est la propriété exclusive de Algeria Educ (tagkaiss@gmail.com) - 17 Novembre 2010 à 03:14 FRANCE, LA FAILLITE ? La crise de 2008 n’a fait qu’accélérer

État n’est jamais neutre : son versant fiscal, notamment, peut être défini comme un levier de consommation (une imposition moindre permet une augmentation des revenus, qui à leur tour favorisent la consommation) ou comme un soutien aux dépenses publiques (une imposition plus importante permet d’allouer plus de crédits à la santé, l’éducation, etc.). En ce sens, la politique budgétaire reflète également l’orientation politique d’un gouvernement, selon qu’il privilégie ou non l’intervention de l’État

hausse des dépenses. Cependant, les effets indirects, plus ou moins néfastes avec un certain délai, jouent dans le sens inverse. L’importance de la relance budgétaire dépend largement de la propension à consommer, si l’élasticité dépenses publique-consommation est grande, le revenu supplémentaire incite les ménages à consommer plus, la production ne résiste pas à la tension de la demande, la situation atteint un plein d’emploi. Cependant, l’efficacité d’un tel mécanisme dépend de moyens de

consentis à l’institut d’émission qui se trouve contraint de les refinancer à des taux d’intérêt choisis par les pouvoirs publics en fonction de la politique économique. Il ne s'agit que d'une classification conceptuelle, c'est-à-dire qu'aucune économie concrète présente les caractéristiques de l'un ou l'autre système ; la France a été une forme très approchée du premier cas et les Etats-Unis le sont du second. Ces deux cas de figure ont l'avantage de faire apparaître des logiques de fonctionnement

précédents germaniques et romains pour la comprendre. Au bas empire romain (284-476 après JC), la société romaine très hiérarchisé, connait une régression économique, une crise dont la conséquence directe va être la mise en place d’une économie domaniale (économie sur un domaine). Les causes de cette crise économique sont multiples, parmi toutes celles-ci, on compte d’abord la dépopulation qui entraine une pénurie de main d’œuvre, on compte également la diminution de la production mais aussi un ralentissement

se voir subordonnée aux objectifs budgétaires. L’indépendance vécue « de facto » se mesure, elle, par la capacité dont fait preuve la BC à faire passer « son » message au niveau de la communauté financière, de la classe politique et de l’opinion publique, indépendamment du discours du gouvernement. La personnalité du gouverneur de la BC joue un rôle très important dans l’indépendance de celle-ci : s’il parvient à gagner la confiance du public et des marchés financiers, sa crédibilité sera alors la

sociale après 15 ans de guerre civile, tensions liées à la situation géopolitique et au système institutionnel communautariste, répercussions du processus électoral. Cela constitue une grille de lecture aujourd’hui largement appliquée aux économies émergentes, et tout à fait pertinente pour la situation libanaise. L’analyse est menée en se fondant sur un corpus théorique aujourd’hui relativement bien connu. Dans le cas libanais, la disponibilité des données impose des contraintes. aucune

faire un profit. Des biens et services non marchands sont généralement produits par les administrations publiques et sont vendus ou distribués à un prix inférieur ou égal à leur coût de production. Le but d'une entreprise est de maximiser le profit. 2 - La diversité des entreprises Les entreprises peuvent prendre des formes très variées. On distingue tout d'abord les entreprises publiques des entreprises privées. Une entreprise privée est une entreprise où la majorité du capital est détenu