économie Les Enjeux De La Régulation Du Commerce Mondial

Aspects humains et sociaux  : 6 Deuxième Axe : Approches théoriques du phénomène 7 2.1 Approche libérale: 7 2.2 Théorie de la régulation: 7 2.3 Approche spatiale: 7 Troisième Axe : Effets et limites de la mondialisation 8 3.1 Effets sur le contexte mondial 8 3.1.1 L’oligopolisation de l’économie: 8 3.1.2 La régionalisation de l’économie mondiale: 8 3.1.3 La relation entre la concurrence des oligopoles et la compétition des blocs : 9 3.1.4 la mondialisation est source

MONDIALISATION SECTION 1 : COMMERCE INTERNATIONAL, CROISSANCE ET DEVELOPPEMENT NOTIONS ESSENTIELLES DE LA SECTION Internationalisation : Echanges qui vont s’établir dans toutes les régions du monde. Transnationalisation : Développement de FTN qui va vendre et produire à l’étranger. Globalisation : Mise en place de réseaux mondiaux de production et d’information mais également des réseaux politiques et problèmes mondiaux. Géopolitique : Relation entre les enjeux de territoire et politique.

puissance publique remise en cause par le marché A. La notion de gouvernance mondiale remet en cause le cadre étatique Une définition possible de la gouvernance mondiale est celle qu’en donne Pascal Lamy, qui y voit « l’ensemble des transactions par lesquelles des règles collectives sont élaborées, décidées, légitimées, mises en œuvres et contrôlées ». Comme l’a rappelé Gilles Andréani (2001), le thème de la gouvernance mondiale n’est pas nouveau mais l’actualité économique internationale de la fin du

l’enseignement fourni, mais aussi pour l’ambiance de travail dans laquelle s’est déroulée cette formation. Introduction Depuis la parution du fameux « rapport Brundtland » au milieu des années 80 (Commission Mondiale sur l'Environnement et le Développement, 1988), et face aux enjeux sans précédents des impacts de l’activité humaine et économique sur l’environnement (épuisement des ressources naturelles, dégradation de la biodiversité, importance de la pollution, réchauffement climatique…), la

KRUGMAN P.R, OBSTFELD M. (2013), Economie Internationale, Pearson Education pp.33-42 Chapitre 1 Introduction L’ analyse des relations économiques internationales est souvent présentée comme le point de départ de la science économique moderne. Les historiens de la pensée économique décrivent l’essai du philosophe écossais David Hume, Of the Balance of Trade, comme le premier exposé d’un véritable modèle économique. Sa publication date de 1758, précédant d’environ vingt ans celle de La Richesse

car engageant l’avenir du pays et donc la sécurité nationale. Aussi, un bilan sans complaisance s’impose afin de corriger les effets pervers de la politique socio –économique actuelle. Telle est l’objet de cette modeste contribution. I-LA CRISE MONDIALE 2008/2009 ET IMPACTS SUR L’ÉCONOMIE ALGÉRIENNE L’année 2009 qui se termine a vu les conséquences de la crise d’octobre 2008 qui n’est pas encore terminée du fait que les deux causes sont encore là : la prédominance de la sphère financière sur la

États-Unis 7,20 % (France : 18e) Environnement des affaires (2) : Classement Doing Business 2009 de la Banque mondiale : 83/181  (+7 places par rapport à 2008) - Notes de risque pays OCDE : 2/7 (avril 2009) EHSfac : B (avril 2009) Coface : A3 (mai 2009) SA Ducroire : court terme : 1/7 ; commercial : C (élevé) ; risque de transfert : 2/7 (mai 2009). Sources : (1) Banque mondiale (avril 2009). (2) FMI. (3) GTIS-Global Trade Atlas Appréciation du credit manager Moci : Risque pays : moyen

urbain, des dégradations écologiques, du creusement des inégalités… Ce programme de « ville durable », va chercher, dans une approche systémique, à croiser les enjeux environnementaux (Amélioration de l’efficacité énergétique à l’échelle urbaine, réduction des émissions de gaz à effet de serre…), économiques (Développement d’une économie locale durable) et sociaux (Assurer le bien être des habitants…), dans un processus de durabilité. En effet, cette ville doit être capable de se maintenir dans

soixante ans de libéralisation des échanges Mehdi Abbas Enseignant-chercheur, LEPII, Grenoble Université, CNRS ; BP 47, 38040 Grenoble cedex 9, France. Septembre 2007 Le 1er janvier 1995, l’Organisation mondiale du commerce (OMC) entrait en fonction succédant à l’Accord général sur le commerce et les tarifs (GATT, selon l’acronyme anglais). Contrairement au GATT, l’OMC est une « vraie » organisation internationale au sens du droit international. Sa fonction principale, tout comme le GATT, est de

Inégalités et asymétries de l’ordre mondial La mondialisation a conduit non seulement à une interdépendance croissante mais aussi à de profondes inégalités à l’échelon international. En d’autres termes fréquemment utilisés dans les débats actuels, l’économie mondiale est un "terrain de jeu" essentiellement dissymétrique,1 caractérisé par la concentration du capital et la création de technologie dans les pays développés, et leur forte prépondérance dans le commerce de biens et de services. Ces asymétries