Zone de libre-échange des Amériques

du 1er sommet UE-ALC de Rio (1999). Elles progressent rapidement sur le volet politique et de coopération mais bloquent sur le volet commercial. Après avoir été suspendues en 2004, elles sont relancées à l'occasion du sommet UE-ALC de Madrid. UE - Amérique centrale. L'intérêt de l'Europe pour l'Amérique centrale remonte aux années 80. Le 28 septembre 1984, une première rencontre ministérielle a lieu à San José (Costa Rica), lançant le "dialogue de San José", grâce auquel l'Europe assiste l'Amérique

renforce dans les années 1850-1914 : les deux révolutions industrielles et l’essor de la colonisation. Le tournent est en 1950 : on a des flux transnationaux (firmes transnationales ou multinationales). Caractérisé par une internationalisation des échanges économiques financiers mais aussi politique ou culturelle. C’est surtout la circulation des produits et des capitaux qui créent des interdépendances entre pays et des réseaux centrés sur les grandes métropoles en général Paris, Tokyo et New York

Les relations entre les Etats-Unis et le reste du continent américain : de l’arrière-cour à une future relation « d’égal à égal » ? source: Materneau Chrispin Introduction : Le sommet des Amériques qui s’est tenu du 17 au 19 avril 2009 à trinité et Tobago marque peut être un tournant dans les relations entre les Etats-Unis et son «  back yard » en effet le président Obama a fait par de sa volonté de construire des relations «  d’égal à égal » avec le reste du continent. Il

la progressive intégration des partenaires en présence mais le mouvement s’est fortement accéléré dans la deuxième moitié du XXe siècle. Se donnant pour objectifs croissance économique et progrès sociaux, les économies nationales ont multiplié les échanges en tous genres puis les accords d’intégration tandis que les firmes à la recherche du profit adoptaient des stratégies dépassant le cadre national. A) INTEGRATION ET REGIONALISATION : a) Les degrés d’intégration : Il faut distinguer

modification des structures de production au niveau international. Par le passé, les ACPr étaient motivés surtout par le désir d’éviter des droits de nation la plus favorisée (NPF) relativement élevés. La théorie des zones de libre-échange et des unions douanières reflétait cette réalité en mettant au premier plan les notions de création d’échanges et de détournement d’échanges. Dans le même temps, on a accordé une attention considérable aux effets discriminatoires

politique de mise en place de la Fédération des Indes Occidentales (1958-1962), puis des huit petits pays de la Caraïbe de l’Est, les colonies britanniques ont relancé le processus de regroupement par l’économie. Ainsi fut mise en place une zone de libre échange (CARIFTA) suivie de deux marchés communs (CARICOM et ECCM) et d’une banque de développement (CDB). L’approfondissement du processus consiste actuellement à réaliser un marché et une économie uniques (SMAE). - L’approche politique Elle consiste

constitue un espace complémentaire à celui des États-Unis. Avec les États-Unis (et les territoires appartenant à la France ou au Royaume-Uni dans les Caraïbes et en Amérique du Sud), il forme une Amérique du Nord clairement définie par son appartenance au nord de la planète. Des puissances émergentes • Les diversités de l'émergence En Amérique centrale et du Sud, un certain nombre de pays possèdent d'indéniables atouts pour constituer des puissances émergentes. Mais les voies choisies sont très variées

LYCEE ANDRE MAUROIS - BISCHWILLER | ETUDE D'UN ENSEMBLE DOCUMENTAIRE | Maxime van Caemerbeke | | TERMINALE LITTERAIRE 2011/2012 | La mondialisation des échanges : réalités et limites Première partie : 1. La mondialisation des échanges est possible grâce à différents acteurs . Nous pouvons diviser ces acteurs en deux catégories. La première catégorie serait la catégorie des acteurs "direct" à l 'image par exemple les Etats. Un Etat peut acheter des marchandises ou des services

multinationalisation (go) : L'échelle de valeur représente l'ensemble des activités développés par une entreprise pour créer de la valeur et donc délivrer à sa clientèle. 3/. La globalisation (Integration) : les filiales collaborent entre elles et peuvent échanger pas uniquement des produits finis mais également le personnel. On peut diviser l'achat des valeurs et une fertilisation croisée. L'idée est de ne pas créer des unités de production couteuse et superflue pour l'entreprise, il faut donc rationaliser

occupe une place originale dans la politique de développement et de coopération de l’UE à mi-chemin entre une aide au développement classique et un partenariat stratégique plus avancé. Nous verrons d’abord que l’Aide Publique au Développement en Amérique Latine s’est institutionnalisée lentement sur un modèle différent de celui des pays ACP puis nous analyserons la nouvelle place qu’occupe l’Amérique Latine dans l’APD de l’UE depuis la réforme du dispositif européen de coopération au développement