Zimbabwe-Rhodésie

depuis l’apparition du VIH. Là aussi, la maladie pèse tout particulièrement sur la productivité africaine. Ainsi, les six nations parmi les plus touchées par le SIDA sont confrontées à la famine : Lesotho, Malawi, Mozambique, Swaziland, Zambie et Zimbabwe. La proportion de fonctionnaires, morts ou atteints du SIDA, notamment en Afrique australe, est si importante qu’elle menace le fonctionnement même de secteurs aussi vitaux que les services sociaux, la justice ou la santé. Au Botswana, près de 40

actuelle du monde du diamant. 3. Un monopole organisé.— L’organisation du monopole a été inventée à la fin du XIXe siècle par un célèbre Britannique, Cecil Rhodes, davantage connu comme colonisateur de l’Afrique du Sud et de l’Est, inventeur des Rhodésies ; il voulait livrer à l’Angleterre toute l’Afrique « du Cap au Caire » et, pour lui, la civilisation anglo-saxonne était très loin au-dessus de toutes les autres, seule capable d’assurer le bien de l’humanité, ce qui justifiait sa domination mondiale

qu’exceptionnellement dans l’intérieur des terres, le commerce, l’activité économique et donc l’urbanisation, prennent leur essor sur les côtes, grâce au développement des ports. La première Afrique est celle des enclaves minières de l’Afrique du Sud, de la Rhodésie du Nord ainsi que du Katanga et du Kasai (Congo belge). Cette Afrique se distingue par ses paysages particuliers avec ses hauts fourneaux, ses sites miniers et leurs terrils, ses voies ferrées et l’habituel grouillement des classes laborieuses. Là

de l'or, des compagnies commerciales anglaises travaillaient en Afrique occidentale et orientale. Toutefois, de 1870 à 1880, l'exploration de l'Afrique progresse: on découvre des richesses intéressantes, or et diamants d'Afrique du Sud, cuivre de Rhodésie. Les Européens voient miroiter, à tort souvent, l'image d'une Afrique noire riche et peuplée. Le point de départ des ambitions européennes se situe au Congo. Le roi des Belges, Léopold II, qui s'intéresse aux questions coloniales et gère une

conditions préalables à la sécurité alimentaire. Cette dernière repose sur l’assurance que non seulement les moyens économiques pour se procurer de la nourriture existent mais aussi que cette nourriture peut être achetée à un prix abordable. Ainsi le Zimbabwe illustre la manière dont la terre peut être instrumentalisée par un régime politique. Robert Mugabe pour répondre aux revendications foncières des anciens combattants de la lutte de libération a procédé en 2000 à une réforme agraire accélérée (fast-track

1975 : MOZAMBIQUE 44. 5 juillet 1975 : CAP-VERT 45. 6 juillet 1975 : COMORES 46. 12 juillet 1975 : SAO TOME ET PRINCIPE 47. 11 novembre 1975 : ANGOLA 48. 29 juin 1976 : SEYCHELLES 49. 27 juin 1977 : DJIBOUTI 50. 18 avril 1980 : ZIMBABWE 51. 21 mars 1990 : NAMIBIE 52. 24 mai 1993 : ERYTHREE Les premiers pas de l'écologie politique [pic] (CC) Par Marie-Laure Josselin Pour la première fois, à Copenhague, les États africains ont fait front commun lors des négociations sur

rapidement pour une décolonisation négociée : l'indépendance de l'Inde est rapidement accordée (1947), celle des principales colonies d'Afrique (Ghana, Kenya, Tanzanie, Nigéria) a lieu dans les 15 années qui suivent. Seul le cas de la Rhodésie du Sud (Zimbabwe actuel) où existait une importante communauté blanche (5% de la population) suscite un conflit durable marqué par la sécession des colons blancs dirigés par Ian Smith (indépendance unilatérale en 1965, condamnée par l'Angleterre). ceux-ci

« personnes de couleur » (photo prise en 1939). Le terme lui-même a été depuis ostracisé, au profit de africains-américains. Sommaire[masquer] * 1 Historique * 1.1 Australie (XXe siècle) * 1.2 Allemagne nazie (XXe siècle) * 1.3 Rhodésie (XXe siècle) * 1.4 Afrique du Sud (XXe siècle) * 1.5 États-Unis (XXe  XXIe siècle) * 2 Histoire contemporaine * 2.1 Bahreïn * 2.2 Fidji * 2.3 Malaisie * 3 Influence des études sociologiques sur les lois (Brown

Côte d’Ivoire (8, 2 %) et l’Ile Maurice (10, 9 %). On peut également joindre à cette liste le Kenya et le Zimbabwe qui sont parvenus à maintenir un flux positif d’investissements étrangers et qui disposent aujourd’hui d’une industrie fortement diversifiée (industries alimentaires, métallurgie, chimie, pétrole, textile, etc). Dominée par la présence de quelques grandes entreprises, l’ex-Rhodésie peut fabriquer actuellement une gamme de plus de 6000 produits industriels à des coûts compétitifs. Pourtant

États-membres. La consolidation de leur souveraineté ne saurait être assimilée à un soutien inconditionnel aux régimes en place. La crédibilité de l’UA et des organisations sousrégionales, qu’il s’agisse du Darfour où, dans le cas de la SADC, du Zimbabwe, se joue aussi dans leur capacité à rompre avec une tradition de soutien aux régimes sous couvert de consolidation de la souveraineté des États membres. Une fois levée cette hypothèque, pourra s’engager un véritable débat sur les finalités attendues