Yéyé

ce qu’on dit, on est juste là pour faire du bruit. Extrait colonne 1. Voici son début  doc complémentaire bac version papier mardi 7 mai 2013: «  On apprend des choses passionnantes en lisant Libération. Tenez, ceci, page 27, mardi 23 avril : «  Yéyé minet rockab éléectro dandy beau bouliste à pin –up, Christophe serait ce chaînon manquant entre Adamo et Vega via Juvet. » Il s’agit, vous l’avez peut – être compris, du chanteur Christophe. Je laisse chacun méditer chaque mot. Tout compte fait, il

mettent sur le devant de la scène de véritables modèles de la jeunesse (les Américains Elvis Presley, James Dean…) et beaucoup de  baby-boomers  adoptent peu à peu les mêmes codes vestimentaires, le même langage, les mêmes goûts pour la musique (rock, yéyé…). Les années soixante accompagnent l'apparition d'une  culture jeune  qui, en raison du poids démographique important de cette catégorie de la population, entraîne de nouveaux rapports entre les générations. Une grande partie de cette jeunesse ne

inquiétant, chargé de symboles et fantasmes, il devient le bouc émissaire, le coupable nécessaire à tout mythe et rumeur. Le mythe et la rumeur font figure de points de cristallisation de problèmes sociaux ( à Orléans : l’émancipation des jeunes, la culture yéyé, la nouvelle vie et ville modernes, évolution réelle et la transformation des cités provinciales, les fantasmes archaïques du Juif), c’est donc du nouveau et de l’archaïque qui se mêlent. 48 Chapitre V : La mort de la rumeur A. Mort naturelle de

Bardot. Évidemment, cette accroche rappelle le film « Et dieu créa la femme » dans lequel Brigitte Bardot a vu sa carrière exploser et son statut de sex-symbol avec. La photo et le look de la chanteuse renvoi directement aux années 60, hippie, yéyé et flowerpower. Toute une époque, un état d’esprit sur un seul et unique visage. C’est aussi la force de la nostalgie et des icônes qui l’accompagne. Ces icônes qui ont tellement L’usage de la nostalgie en communication : le rétro-marketing 24

cousine de 13 ans, goûte de la prison tout comme Alan Freed, lui pour pots-de-vin; Eddie Cochran et Buddy Holly disparaissent dans des accidents. Ceci permet d’éradiquer la scène musicale des contestataires pour les remplacer par les yéyé rassurants pour les parents et les autorités mais les bases de la contestation des années 60 étaient jetées. Les Noirs contestent la ségrégation activement: * ils sont des citoyens libres depuis 1865 mais privés de leurs droits

leçon a l'intention de prendre une épouse dans son propre lignage. Qu'est-ce qui est le plus infamant : commettre l'inceste ou manger de la viande prohibée ? Boko si haramu haramu ndo mondo Anaekaa Rufiji au Songosonso au Chore nyuma ya Jibondo Yeye kamtwalaje mwana wa nduguye kumroza ndongo Shwaini mshenzi mlongo L'hippopotame, ce n'est pas illicite, ce qu'il l'est, c'est la viande, Qui vit à Rufiji, Songosongo ou Chore derrière Jibondo, Pourquoi a-t-il pris la fille de son frère pour lui

musicales : sa mère écoute de la chanson populaire allant de Fréhel à Maurice Chevalier ou Édith Piaf alors que son père est amateur de musique classique et de chanson française, notamment Georges Brassens.9 Vers 10-12 ans, il découvre la vague yéyé et les Beatles et vers 14-15 ans, il se met à écouter le chant de révolte de Hugues Aufray, qui devient sa première idole,10 et Bob Dylan puis Joan Baez, Leonard Cohen, Donovan, Sullivan. En 1966, il découvre Antoine dont les thèmes qu'il défend le

1963 dans une mascotte qui va à la plage ou au ski, rapporte les potins de la chanson et orne de nombreux articles. « Chouchou » est un petit bonhomme à grosse tête et cheveux longs, vite doté en septembre 1963, lectorat oblige, d’une « fiancée », « yéyé », au volumineux chignon crêpé. Salut les copains peut être ainsi défini comme un produit dérivé de la radio, qui crée, de plus, ses propres produits dérivés. L’exemple suscite des émules, le plus souvent éphémères et dont beaucoup sont appuyés

stars planétaires comme Marilyn Monroe, Walt Disney et ses parcs d'attraction aux quatre coins de la planète : ce sont des relais, des vecteurs de la diffusion du modèle américain. Même dans le domaine de la musique, durant les années 1960, la vague Yéyé a pris beaucoup d'ampleur en France. De célèbres chanteurs comme Johnny Halliday ou Sylvie Vartan chantaient des traductions françaises des standards américains. Le jazz, le rock et le rap viennent aussi des Etats-Unis. La domination culturelle peut

années précédentes, joyeuses, exubérantes, décomplexées, portées par la jeunesse issue du «baby-boom» de la Libération, ont vu apparaître la minijupe, les seins nus sur la plage et la pilule, la marijuana et le LSD , les Beatles et les hippies, les yéyé et Salut les Copains. On a aussi conduit tambour battant la décolonisation et l'on est entré à pieds joints dans la «société de consommation». Mais derrière la libération des moeurs et de la politique, l'inquiétude affleure... Quatre ans plus tôt