Xenopus laevis

BIOLOGIE : Une espèce invasive, le xénope On le sait et on ne fait que le répéter depuis des années, l’introduction d’espèces «exotiques» est l’un des facteurs principaux affectant la biodiversité. Qu’elles soient involontaires ou volontaires, ces introductions sont toujours plus nombreuses et il faut savoir que les moyens d’éradication de telles espèces animales ou végétales sont longs et coûteux. Il est donc indispensable d’enrayer ce phénomène et d’être attentif à tout ce qui pourrait nous

d'embryologie des amphibiens ont longtemps porté sur les Urodèles (triton, salamandre) et un Anoure, la grenouille. Actuellement, la biologie du développement des amphibiens porte presque exclusivement sur un crapaud sud-africain, le Xénope (Xenopus laevis), un anoure ; la plupart des études effectuées aux niveaux moléculaires et cellulaires utilisent cet animal comme modèle. Les grands lignes du développement sont assez semblables chez les urodèles et les anoures. Toutefois, une différence assez

de John Gurdon consiste à ôter le noyau (1) de l'œuf d'un amphibien (ici Xenopus laevis) et de le remplacer par celui d'une cellule spécialisée (2), telle une cellule de l'épithélium intestinal. L'œuf ainsi modifié se développe normalement (3). Cette stratégie a été utilisée pour le clonage de diverses espèces animales (4). La méthode de John Gurdon consiste à ôter le noyau (1) de l'œuf d'un amphibien (ici Xenopus laevis) et de le remplacer par celui d'une cellule spécialisée (2), telle une cellule

l’air……………………………. 4 8.1.4. Laverie……………………………………….. 4 8.2. Sécurité…………………………………………………….. 4 9. Animaux……………………………………………………………... 5 9.1. Espèces…………………………………………………... 5 9.1.1 Rats…………………………………………….. 5 9.1.2. Souris………………………………………….. 5 9.1.3. Xenopus Laevis………………………………… 5 9.2. Fournisseur………………………………………………. 5 9.3. Condition d’hébergement………………………………... 6 9.3.1. Cages…………………………………………...6 9.3.2. Litière et biberons…………………………........ 6 9.3.3. Nourritures……………………………………. 6 9.4. Stabulation des rongeurs…………………………………

rerio 69 7.1 L’œuf insegmenté 69 7.2 La segmentation 71 7.3 La gastrulation 75 7.4 L’organogenèse 75 7.4.1 De 10 h à 24 h 75 7.4.2 De 24 h à 48 h 78 Chapitre 8 – Développement d’un Amphibien : Xenopus laevis 83 8.1 L’œuf insegmenté 83 8.2 La segmentation 86 8.3 La gastrulation 87 8.4 L’organogenèse 94 8.4.1 La neurulation 94 8.4.2 Achèvement de l’organogenèse 94 Chapitre 9 – Développement d’un Oiseau :

vitellogénines de trois espèces de Xénopes : Xenopus laevis, Xenopus borealis et Xenopus tropicalis.La comparaison est réalisée par le test d'Ouchterlony (immunodiffusion sur gélose). Document : résultats du test d'OuchterlonyDans une boîte de Pétri renfermant un gel d'agarose, 7 puits ont été creusés et reçoivent : • dans le puits central, du sérum d'un lapin ayant reçu plusieurs jours avant le prélèvement une injection de vitellogénine de Xenopus laevis (protéine capable d'induire la synthèse

d'embryologie des amphibiens ont longtemps porté sur les urodèles (tritons, salamandres) et un anoure, la grenouille. Actuellement la biologie du développement des amphibiens porte presque exclusivement sur un crapaud sud-africain, le xénope (Xenopus laevis), un anoure ; la plupart des études effectuées aux niveaux moléculaires et cellulaires utilisent cet animal comme modèle. Les grandes lignes du développement sont assez semblables chez les urodèles et les anoures. Toutefois une différence assez

cellules fonctionnant normalement développé. Ces résultats ont été confirmés par d'autres études. Une contribution importante dans ce domaine a fait le biologiste anglais Gordon. Il a été le premier à expérimenter avec l'Afrique du Sud crapaud Xenopus laevis comme des noyaux de donneur utilisé aucun des cellules germinales et les cellules déjà très spécialisées de l'épithélium intestinal têtard flottant. Noyau de l'ovocyte du receveur n'est pas enlevée chirurgicalement, et détruit par les rayons ultraviolets

chercheurs suédois a mené des recherches et ont commencé à prôner le recours à des cellules de grenouilles pour les contrôles. Il existe des animaux qui changent de couleur pour se camoufler. C’est le cas notamment d’une grenouille d’Afrique (la Xenopus Laevis de la famille des Pipidés Famille d'amphibiens). Cette propriété pour le moins originale pourrait servir à démasquer les athlètes dopés. L’équipe d’Annika Karlsson, de l’université de Linköping en Suède, a réussi à adapter les facultés de ce batracien

salines élevées, et, à moins que les concentrations en histones ne soient bien définies, il s’accompagne d’une précipitation très importante d’histones. Cependant, en présence de nucléoplasmine, une protéine acide isolée des noyaux des ovocytes de Xenopus laevis, et de topo isomérase I (une enzyme qui coupe et ressoude l’ADN), l’assemblage du nucléosome se produit rapidement sans précipitation des histones. La nucléoplasmine se lie aux histones, mais jamais à l’ADN ni aux nucléosomes. Manifestement, la