Xénophobie

EXPOSE SUR LE RACISME ET LA XENOPHOBIE I. Introduction Nous allons vous parler du racisme et de la xénophobie qui demeure depuis la nuit des temps et se présente encore dans la plus part des sociétés modernes sous plusieurs formes. II. Racisme et Xénophobie 1. LE RACISME ET LA THEORIE DES « RACES » a) Définitions du racisme Le racisme vient du mot Razza italien qui signifie race. Il fait partie des mots en –isme qui prétendent fonder une théorie à partir

touchés par ce fait tout comme l’extrême droite avec le Front National. Le FN est un parti pouvant s’appuyer sur un nationalisme poussé ou même plus grave des idéologies fascistes. Parmi ces mouvements il y en a un grand nombre qui sont sous forme de xénophobie ou de racisme. Certains de ces mouvements d’extrême droite relèvent clairement du néonazisme et des militants d’extrême droite se réfèrent au Troisième Reich. Cela apparaît, lors d’arrestations de responsables de profanations de cimetières juifs

intrinsèquement supérieures à d'autres2. Cette idéologie peut entraîner une attitude d'hostilité ou de sympathie systématique à l'égard d'une catégorie déterminée de personnes de couleurs. Dans le cas de l'hostilité ces actes se traduisent par une forme de xénophobie ou d'ethnocentrisme. Certaines formes d'expression du racisme, comme lesinjures racistes, la diffamation raciale, la discrimination négative, sont considérées comme des délits dans un certain nombre de pays. Les idéologies racistes ont servi de

intrinsèquement supérieures à d'autres. Cette idéologie peut entraîner une attitude d'hostilité ou de sympathie systématique à l'égard d'une catégorie déterminée de personnes. Dans le cas de l'hostilité ces actes se traduisent par une forme de xénophobie ou d'ethnocentrisme. Certaines formes d'expression du racisme, comme les injures racistes, la diffamation raciale, la discrimination négative, sont considérées comme des délits dans un certain nombre de pays. Les idéologies racistes ont servi

neutraliser toute entreprise contre ses principes essentiels, sans pour autant se discréditer. On peut déjà essayer de diminuer l’influence des partis extrémistes en parlant de ceux-ci comme on parle d’un autre parti. Lutter contre le racisme et xénophobie des partis d’extrême droite par les moyens légaux. Eduquer la tolérance, enseigner l’histoire et la citoyenneté. En conclusion, on a constaté que la suppression de la dotation publique d’un parti d’extrême droite et de l’interdire n’est pas une

s'appliquant à l'ensemble de ce groupe. Inspirée de cette idéologie, cela peut entrainer une attitude d'hostilité systématique à l'égard d'une catégorie déterminée de personnes. Ces actes d'hostilités se traduisent par la discrimination, une forme de xénophobie ou d'ethnocentrisme. Le racisme peut prendre donc suivant sa définition, plusieurs formes : Pourra-t-on un jour s'affranchir du racisme? Cinquante ans après la victoire sur le nazisme et la découverte des camps de d'extermination,"c'est encore

selon elle on « supporte mal ici les étrangers » (page 113, vers 32). Athéna insiste d’ailleurs sur la xénophobie des Phéaciens en disant qu’ils « ne fait pas très bon accueil à qui vous viens d’ailleurs » (page 113, vers 33). Ces mises en gardes montrent une certaine xénophobie de la part du peuple que le lecteur pouvait penser « parfait ». Ensuite, il semble important de constater que cette xénophobie est surtout liée au fait que les Phéaciens souhaitent à tout prix à se préserver des autres, du reste

populations immigrés dont celles d’Afrique, reste à la marge. Elles subissent le racisme et les conséquences de la colonisation durant lesquelles elles sont inférieures aux européens. Depuis 1974, les politiques d’immigrations sont très restrictive, la xénophobie augment dans la société. Comme dans les années 30, il ya une fracture nette entre étranger et français. Le débat politique se focalise sur ces questions d’identité. L’essor du FN en est un signe. 3. Quelles places prennent les femmes

Royaume-Uni, fait aussi largement appel à une main d’œuvre coloniale. Avec la crise des années 1930, l’immigration est très mal perçue - malgré le fait, qu’elle est nécessaire – par une partie de la population française. Cela engendre des vagues de xénophobie virulentes. C’est d’autant plus violent que les lois contre le racisme n’existent pas et les attaques se multiplient, exemple : morts par « ratonnade », injures publiques largement répandues. De 1945 à 1970 l’immigration pendant les Trente Glorieuses

barrière à la communication entre les hommes. Ce manque de communication renforce le sentiment de haine envers les religions, les coutumes, les origines étrangères et empêche la suppression des préjugés forgés par l'ignorance. De nos jours, la xénophobie accentue les jugements que nous avons sur les autres et crée un sentiment de racisme plus par la méconnaissance de l'autre que par la peur. Aux Etats-Unis, dans les années 1870, on voit apparaitre des lois imposant la séparation de groupes humains