XIe siècle

connaissance : -Connaître l’évolution des la population européenne jusqu’au XXème siècle -Connaître les flux migratoires européens dans le monde (XIXe/XXe siècle) Un grand foyer de peuplement A) Un foyer traditionnellement important Plus peuplé : Premier siècle : Asie oriental/Sous continent indien/Europe 1800 : Permanence des foyers mais accroissement de la population Moins peuplé : Premier siècle : Amérique/Asie central/Océanie/Afrique 1800 : Amérique/Asie centrale/Océanie/Afrique

historiens sont plutôt enclins à rejeter ce texte considéré comme « roman hagiographique à la mode du XIIe­ XIIIe siècle » , « où fourmillent les contradictions » 19. Le Père Cocns tient l a Vita - dont la chronologie serait « inconsistante » - pour un « morceau artificiel, tardif, d'une tenue littéraire méd iocre » : ce texte, c( de bien piètre aloi, ne doit pas remonter plus haut que le XIIIe siècle » 20. Toutefois l'étude des fouilles de l'église de Gerpin­ nes, dont - je le rappelle - le rapport a paru

technologique PROBLÉMATIQUES Histoire 2nde Les Européens dans l’histoire du monde Thème 4 : Nouveaux horizons géographiques et culturels des Européens à l’époque moderne (10-11h) Question obligatoire : L’élargissement du monde (XVe-XVIe siècle) La question doit être rattachée à la notion plurielle de modernité. Il s’agit de mettre en évidence la construction progressive mais aussi la diversité des formes de modernité qui, s’élaborant loin d’elle, s’éloignent de la conception revendiquée

d’exclusion. Confondus avec les pauvres au Moyen Age, ils sont pourchassés au XVIe siècle, enfermés à partir du XVIIe, ce qui est à la fois protection et retranchement. Que l’on ne s’y trompe pas : après les hôpitaux généraux, après les hospices, les structures désormais réservées aux vieillards dépendants sont les lieux contemporains d’exclusion. Attention : incapable d’accompagner la grande vieillesse, le XXIe siècle justifie déjà l’euthanasie. Après l’exclusion de la vie, voici l’exclusion par la

u Moyen Âge, la plupart de ceux qui composent les œuvres les plus anciennes de la littérature française sont des clercs : eux seuls maîtrisent l’écriture et la lecture qui, jusqu’à fin du XIe siècle, concernent exclusivement - à de rares exceptions près (quelques poèmes hagiographiques) - la langue latine. Leur culture comprend des textes religieux, la Bible et les écrits des Pères de l’Église, mais aussi des textes profanes, en particulier ceux d’auteurs latins tels que Virgile et Ovide. Eux-mêmes

communauté rurale , formation , compétences et l'activité des institutions sur le plan social, juridique éco et religieux c'est-à-dire qu'ils représentaient l'ensemble des habitants du village. Quant à FOSSIER il nie l'existence du village avant Xe siecle du moins dans le sens fonctionnel, de plus avant il y avait peu de source. Il situe la naissance du village comme groupement ayant une personnalité juridique et une conscience collective, après l'époque carolingienne au Xe au plus tard. Si pour cette

Charte de la ville de Troyes «Haute conjoncture», «apogée de la croissance», «prospérité», telles sont les expressions par lesquelles les historiens caractérisent le long XIIIe siècle (1180-1300). En effet les villes médiévales connurent une forte émancipation urbaine à partir du XIIIe siècle. Le dynamisme du commerce, la fonction économique provoquèrent le succès de certaines villes... C'est notamment le cas de la ville de Troyes dont nous allons en étudier la charte. Elle fut écrite en

steppes et les déserts de l’Asie centrale . Pendant dix siècles (de la chute de l’empire romain d’Occident, en 476, jusqu’à celle de l’empire romain d’Orient, en 1453), les ÉPICES et la SOIE, venues d’ORIENT sont des denrées aussi recherchées que coûteuses. Les conquêtes de l’ISLAM, à partir du VIIe siècle, ajoutent un obstacle aux échanges Orient – Occident. Les CROISADES des XIe au XIIIe siècles, n’avaient pas que des motivations religieuses. La quête des richesses

autre puissance, tenait le destin de chaque homme entre ses mains. Si la prospérité régnait, on remerciait Dieu de sa bienveillance. Quand la misère venait, on implorait sa miséricorde, car il ne pouvait s'agir que d'une punition divine. Au XIIIe siècle, Dieu se montra bon pour les Français. Aucune guerre, aucune épidémie ne vint les décimer. Un temps clément permit aux fermiers d'engranger d'abondantes récoltes et d'écarter jusqu'au souvenir de la famine. A la ville les commerçants présentaient

pré-photographiques 13 IV. Conclusion 15 Bibliographie et Webographie 17 1. Bibliographie 17 2. Webographie 17 Table des illustrations 19     I. Introduction La photographie telle qu’on la connait aujourd’hui découle de plusieurs siècles de recherche. Mais ce sont les travaux de Louis Jacques Mandé Daguerre qui ont donné les premiers résultats. Dès 1937, il réussit à fixer des images sur des plaques de cuivre. Pour cela, il recouvre la plaque de cuivre avec de l’argent puis l’expose