Wolfgang Sawallisch

dans ce choix fondamental.  Anonyme : Volksbush (1587)Christopher Marlowe : La tragique histoire du Dr Faust (1594)Pedro Calderòn : Le Magicien prodigieux (1637)Friedrich Maximilian Klinger : Vie, actions et descente en enfer de Faust (1792)Johann Wolfgang von Goethe : Faust I (1808) et II (1832)Christian Dietrich Grabbe : Don Juan et Faust (1828)Honoré de Balzac : Melmoth réconcilié (1835)Nikolaus Lenau : Faust, ein Gedicht (1836)Michel de Ghelderode : La Mort du docteur Faust (1925)Paul Valéry : Mon

froides avec des couleurs chaudes. Des chercheurs ont ainsi observé que le rouge faisait grimper la température du corps et que le bleu la faisait baisser et cela même chez des aveugles puisque les couleurs sont également absorbées par la peau. Wolfgang Goethe étudia leur effet sur nos sentiments dans son « Traité des couleurs » : ► Le rouge traduit la volonté, le dynamisme et la vitalité. L’œil la perçoit en 0,02 secondes. C’est une couleur très stimulante, qui stimule la formation de globules

Le Romantisme est un mouvement littéraire qui prône de laisser largement place à l'expression des sentiments et des sensations en abolissant les règles strictes de la littérature classique. Il propose de jouer sur les contrastes, sur l'opposition du beau et du laid, du sublime et du grotesque. Il préconise la liberté et le naturel en art. Le Romantisme s'exerce dans les romans, la poésie, ainsi que le théâtre. A sa tête, il y a Victor Hugo, puis viennent Théophile Gautier, Gérard de Nerval, Alexandre

MaPhilo recrute Citation de Johann Wolfgang Von Goethe Citations / Johann Wolfgang Von Goethe Utiliser le moteur de recherche de citations ? Comment peut-on apprendre à se connaître soi-même ? Par la méditation, jamais, mais bien par l'action. Essaie de faire ton devoir et tu sauras tout de suite ce que tu vaux. Mais qu'est-ce que ton devoir ? Ce qu'exige l'heure présente. Voir les autres citations de Johann Wolfgang Von Goethe ? Citations liées : Ne te contente pas

Introduction Selon la théorie aristotélicienne de la tragédie antique, l'effet cathartique que cette forme d'expression doit produire sur ses destinataires repose sur l'éveil en eux de deux sentiments : la terreur et la pitié. Dans son Essai sur le roman (1925), Georges Duhamel s'intéresse aux sentiments qu'éveille en nous la lecture d'un roman : "Le but suprême du romancier est de nous rendre sensible l'âme humaine, de nous la faire connaître et aimer dans sa grandeur comme dans sa misère, dans

Johann Friedrich Reichardt) et enfin à Berlin où il rencontra Clemens Brentano avec lequel il fit la connaissance d'écrivains et d'artistes berlinois comme Ludwig Achim von Arnim. Lors de son voyage de retour à Cassel, Wilhelm rencontra aussi Johann Wolfgang von Goethe qui l'assura dans ses « efforts en faveur d'une culture longue et oubliée ». Depuis 1806, les frères Grimm avaient rassemblé des contes et depuis 1807 avaient publié dans des revues des articles sur les maîtres troubadours. À partir

Préparation à la lecture de Pauline Les différents narrateurs de Pauline sont Alexandre Dumas, Alfred de Nerval et Pauline de Meulien. Au début et jusqu’à la page 39, c’est Alexandre Dumas, auteur-narrateur du roman qui raconte l’histoire (« j’emmène souper Alexandre » p.38). Alfred de Nerval poursuit la suite de la narration de la page 39 à 85 (« Je m’inclinai en signe d’adhésion à ce que disait Alfred » p.39). Pauline finit à la page 167 (« …Je mis un tresse de mes cheveux entre mes dents… »

 L’ANGE DU BIZARRE….. À l’occasion de l’exposition temporaire au musée d’Orsay, « L’Ange du bizarre, le romantisme noir de Goya à Max Ernst », on a lu deux articles de presse parus dans le hebdo L’Express, intitulé « Œuvres au noir », écrit par Annick Colonna-Césari ; et dans Le Figaro Magazine, « Sous le soleil de Satan », dont l’auteur Véronique Prat fait coïncider le titre avec celui du premier roman de Georges Bernanos. Les deux articles signalent que le musée d'Orsay met

tambour battant, les épisodes succédant aux épisodes à travers une Allemagne à feu et à sang, prise dans le tourbillon absurde et sanguinaire de la guerre de Trente Ans. Le chef-d'oeuvre tragi-comique de la littérature baroque allemande.  Johann Wolfgang Goethe, Les Souffrances du jeune Werther, 1774, Folio En partie autobiographique, cette histoire d'un amour impossible qui conduit le héros au suicide fit pleurer toute l'Europe et rendit Goethe célèbre. Le succès et le scandale furent immédiats

On peut aussi construire quelque chose de beau avec les pierres qui entravent le chemin (Goethe) Que dire de cette phrase qui parait tellement vrai ? Chaque difficulté de la vie nous amène des remises en question qui nous permettent d’avancer, de grandir dans une direction que nous n’aurions pas forcément découverte sans ces difficultés. D’ailleurs, on trouve des exemples dans la vie de Goethe, l’auteur de cette phrase qui était destiné par son père à une vie de droit et qui suite à une déception