Willi Stoph

et ancien maire de Berlin Ouest lors de la mise en place du mur, Willy Brandt, profite de la Détente pour mener lui-aussi, une politique d'ouverture vers l'Est, appelée Ostpolitik, afin d'assouplir les relations inter-allemandes. C'est ainsi que Willi Stoph, président du conseil des ministres de RDA et lui-même signe en 1972, le “Traité fondamental” qui atteste de l'acceptation des deux Allemagne leur existence mutuelle et n'exclue pas leur réunification. Le 12 juin 1985, le président Reagan venu

29 octobre 1976 : Willi Stoph * Du 29 octobre 1976 au 23 octobre 1989 : Erich Honecker * Du 24 octobre 1989 au 7 décembre 1989 : Egon Krenz * Du 7 décembre 1989 au 18 mars 1990 : Manfred Gerlach Chef d'État en tant que président de la Volkskammer[modifier] * Du 18 mars 1990 au 3 octobre 1990 (réunification allemande) : Sabine Bergmann-Pohl Présidents du conseil des ministres[modifier] * 1956 - 1974 : Otto Grotewohl * 1964 - 1973 : Willi Stoph * 1973 - 1976

germano-polonais reconnaissant les frontières de la Pologne. La politique de la détente menée par le gouvernement Brandt crée les conditions du rapprochement interallemand. La rencontre de Willy Brandt à Erfurt avec le président du Conseil est-allemand, Willi Stoph, marque les esprits. C’est la première visite d’un chef de gouvernement ouest-allemand en RDA. Ce voyage signifie que le chancelier ouest-allemand reconnaît l’existence de « l’autre Allemagne ». Le 3 septembre 1971 est signé un accord quadripartite

responsabilité juridique d'avoir donné l'ordre de tirer sur les fugitifs. Parmi les accusés figuraient entre autres le président du Conseil d'État Erich Honecker, son successeur Egon Krenz, les membres du Conseil national de défense Erich Mielke, Willi Stoph, Heinz Keßler, Fritz Streletz et Hans Albrecht, le chef du SED pour le district de Suhl et quelques généraux comme Klaus-Dieter Baumgarten, général de corps d'armée commandant les troupes frontalières de 1979 à 1990. Ce procès a suscité une vive

responsabilité juridique d'avoir donné l'ordre de tirer sur les fugitifs. Parmi les accusés figuraient entre autres le président du Conseil d'État Erich Honecker, son successeur Egon Krenz, les membres du Conseil national de défense Erich Mielke, Willi Stoph, Heinz Keßler, Fritz Streletz et Hans Albrecht, le chef du SED pour le district de Suhl et quelques généraux comme Klaus-Dieter Baumgarten, général de corps d'armée commandant les troupes frontalières de 1979 à 1990. Ce procès a suscité une vive

page 64 : le rapprochement de la FRA et de l’URSS en 1970. A partir de 1969 le chancelier ouest-allemand Willy Brandt (69-74) met en place l’Ostpolitik cad le rapprochement avec le bloc communiste. En 1970, il rencontre le 1er ministre de RDA (Willi Stoph) en Allemagne de l’Est. Dans les mois qui suivent sont signés trois traités : le traité avec l’URSS puis la Pologne et en 1970 (document 2 page 67 : W. Brandt devant le mémorial du ghetto juif de Varsovie), 1972 reconnaissance mutuelle entre les

responsabilité juridique d'avoir donné l'ordre de tirer sur les fugitifs. Parmi les accusés figuraient entre autres le président du Conseil d'État Erich Honecker, son successeur Egon Krenz, les membres du Conseil national de défense Erich Mielke, Willi Stoph, Heinz Keßler, Fritz Streletz et Hans Albrecht, le chef du SED pour le district de Suhl et quelques généraux comme Klaus-Dieter Baumgarten, général de corps d'armée commandant les troupes frontalières de 1979 à 1990. Ce procès a suscité une vive

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ique (Prim, 2000) : • Approche class ique: Pour cette approche, l'échange correspond à un e transacti on unique où to ute l' info rm ation est contenue dans le pri x du produit et la press ion concurrentiell e garantit la réa li sation du contrat (Willi amson, 1985). E n se foca li sant sur le prix en tant qu ' é lément essentie l de l'échange, cette a pproche fa it abstracti on de tous les autres é léments pouvant intervenir dans la re lati on d'échange, dont notamme nt les caractéri stiques des

Vorsitzende des Nationalen Verteidigungsrates der ehemaligen DDR" Erich Mielke, "das frühere Mitglied des Politbüro des Zentralkomitees der SED, Mietglied des Nationalen Verteidigungsrates und früherer Minister für Staatssicherheit der ehemaligen DDR" Willi Stoph , "das frühere Mitglied des PB des ZK der SED, Mitglied des NVR und früherer Vorsitzender des Ministerrates und Stellvertreter des Vorsitzenden des Staatsrates der ehemaligen DDR" Heinz Kessler, "das frühere Mitglied des PB des ZK der SED, Mitglied