Vu du pont

Le Pont Mirabeau Sous le pont Mirabeau coule la Seine             Et nos amours        Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine        Vienne la nuit sonne l'heure      Les jours s'en vont je demeure   Les mains dans les mains restons face à face             Tandis que sous        Le pont de nos bras passe Des éternels regards l'onde si lasse        Vienne la nuit sonne l'heure      Les jours s'en vont je demeure   L'amour s'en va comme cette eau courante

Le pont Mirabeau d’Apollinaire Le pont Mirabeau est le deuxième poème du recueil Alcools écrit par Apollinaire en 1913. Nous nous proposons d’étudier le registre qu’utilise le poète et pour cela nous allons analyser les deux grands thèmes présents dans ce poème. Tout d’abord nous allons voir l’évocation des sentiments et le souvenir et ensuite la fuite de temps et de l’amour. 1. L’évocation des sentiments et le souvenir A. La souffrance du poète B. Le désir de permanence 2. La fuite

cohabitation de tous les usagers, il en va de même avec les capitaineries. Dans un deuxième temps, j'aborde la présentation du pont, c'est là que nous passons le plus de temps en navigation, que la météo soit favorable ou hostile. Un voilier, c'est une coque, un mât, une bôme et des voiles ! Description sommaire que je détaille ci-après. Le mode d'emploi de tous ces matériels sera vu lors d'une séquence à venir. Il est donc très important que chacun se familiarise avec toute la surface, avec tous les matériels

coeur  Du sang que nous perdons croît et se fortifie ! Texte n° 5 : « Le pont Mirabeau » Alcools, G. Apollinaire. Sous le pont Mirabeau coule la Seine             Et nos amours        Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine        Vienne la nuit sonne l'heure      Les jours s'en vont je demeure   Les mains dans les mains restons face à face             Tandis que sous        Le pont de nos bras passe Des éternels regards l'onde si lasse        Vienne la

Petit détail inédit dans ce recueil le titre comporte un article définis comme pour donne plus de relief a l’objet du pont [Problématique] Comment le poète met-il le pont dans sa modernité et par quel procédé dessine-t-il une nouvelle réalité ? [Lecture] dans un premier temps je montrerais comment le texte présenté une vision artistique de la modernité puis j’étudierais le pont comme une passerelle symbolique I) Une vision artistique de la modernité a) Un poème pictural Ce poème en prose

Texte 1 : Le pont Mirabeau Intro : Ce poème a été écrit au moment de la rupture d'Apollinaire et Marie Laurencin. Leur liaison à durée de 1907 à 1912. Ce pont était le symbole dans leur histoire car il leur permettait de se rejoindre (Marie habitait la rive gauche et lui Auteuil). Certain critiques ont même vu dans le nom du pont un anagramme du prénom de Marie Ce poème d'abord publié dans « les soirées de Paris » , et ensuite inséré dans Alcools, où il succède à « zone » Le poème se compose

d’assassiner l’époux. Ici, notre objet d’étude s’agit de l’incipit de Thérèse Raquin qui décrit le passage du Pont-Neuf. Emile Zola nous décrit un endroit super lugubre où règnent la misère et la déshumanisation. Comment à travers une description lugubre, l’auteur écrit un incipit naturaliste ? Dans un premier temps, nous étudierons comment l’auteur nous montre l’univers de misère de ce pont. Puis, nous nous pencherons sur l’aspect fantomatique et le coté déshumanisé de ce lieu. Et enfin nous

être complètement oubliée, et la ville demeure d’une certaine façon sous la coupe des architectes les plus influents, donc ceux qui sont liés au pouvoir politique (Beaudouin par exp), et ce même après leur départ. (encore idée de latinité – mais au vu des projets pharaoniques on pourrait presque se réclamer du Moyen-Orient…voir p.80, l’idée de « siphoner la mer » de Sörgel) ---Brutalist architecture : emblematic as something originaly designed for social greater good, then mutated into ghettos

Apollinaire décide de suivre le mouvement des cubistes et futuristes italiens qui veulent réformer la langue poétique. Il écrit deux recueils de poésie : « Alcools » en 1913 et « Calligrammes » en 1918. Il écrit de nombreux poèmes. Les plus connus sont « Le Pont Mirabeau » et « Zone » (tous les deux tirés d’ « Alcools »). Il décède à Paris le 9 novembre 1918 suite à l’épidémie de la grippe espagnole. Extrait de "Zone" : A la fin tu es las de ce monde ancien Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts

toujours, il savait qu’une partie de lui était manqué. Il était tout seul et il n’y avait personne qui lui comprenait. Il n’y avait personne qui lui adorait. Chaque nuit, après avoir joué son violon, il marchait au petit pont qui était situé à l’entrée du village. En dessous de ce pont, une rivière de l’eau cristalline coulait loin du village. Le jeune homme regardait l’eau avec envie. Il souhaitait qu’il puisse être libre comme l’eau. Il voulait échapper ce village où il n’avait pas de voix ou