Vray

respondit : “Christofle, ne te esmerveille pas : car tu n’as pas seulement eu tout le monde sur toy - mais celuy qui créa tout le monde tu as porté sur tes espaules. Je suis Christ ton roy à qui tu sers en ceste œuvre. Et affin que tu saches que ie dis vray, quand tu seras passé, fische ton baston en terre delez la maisonnette, et tu verra demain qu’il portera fleurs et fruictz.” Et tantost il se esvanouit de ses yeulx. Lors Christofle alla et fischa son baston en terre, et quand il se leva au matin

théâtre en étudiant chacun des deux auteurs séparément, à commencer par Jean Paul Sartre. 1. Sartre et le théâtre de situation Jean Paul Sartre avait qualifié son théâtre comme étant un théâtre de situation. Et selon les propos de Jean Bernard Vray : « Sartre appelle situation, la condition concrète de l’existence humaine, le fait pour l’être humain d’être engagé dans l’existence ou plus simplement d’être au monde. La situation est le contexte à chaque fois particulier dans lequel se réalise

pour préserver ses fluides, et sa santé: c'est l'époque ou les couleurs et les matières du vêtement participent d'une médecine aux limites de la magie.. Rien ne semble plus relatif que la pudeur - au sens de "tabou de la nudité"... Montaigne: " De vray, la pudicité est une belle vertu, et de laquelle l'utilité est assez connüe; mais de la traitter et faire valoir selon nature il est autant malaisé, comme il est aisé de la faire valoir selon l'usage, les lois et les préceptes." [Essais, I, 36.]

Antoine fait d’ailleurs son entrée au sonnet 76 : Cent fois plus qu’à louer on se plaist à mesdire : Pource qu’en mesdisant on dit la verité, Et Louant, la faveur, ou bien l’auctorité Contre ce qu’on en croit fait bien souvent escrire. Qu’il soit vray, prins-tu onq tel plaisir d’ouir lire Les louanges d’un prince, ou de quelque cité, Qu’ouir un Marc Antoine à mordre exercité Dire cent mille mots qui font mourir de rire ? S’il est donques permis, sans offense d’aucun, Des meurs de nostre temps

purificatrice. Car le grand problème est de voir apparaître la vérité : celle de notre misère et celle de la réalité omniprésente de Dieu. Or, le plus souvent, nous sommes aveugles. 8« O que bienheureuse est l’âme qui sans moien veoit par foy en son vray mirouer, auquel est purgée, illuminée par espérance et parfaicte en son amour » s’écrie Briçonnet. (t. II, p. 65). Mais la plupart du temps, nous avons besoin de moyens, de médiateurs. La lecture des textes sacrés ne peut pas être considérée comme

dicter, que ces deux Loix sont, la Loy Salique, et la Loy Ripuaire. Donc ces deux Loix regnant dans les Gaules, du temps de Charlemagne, l‟on ne peut pas dire que le Droit Romain fût du temps de Charlemagne, le Droit commun de la France. Il est vray qu‟il y avoit en France, quelquels [sic] gens qui vivoient selon la Loy Romaine, mais il y avoit une Loy commune, qui décidoit tout ce qui n‟étoit pas reglé par toutes ces autres Loix. Tous les sujets Romains, Lombards, Bajuvariens, Ripuariens, doivent

discours dans ses lettres qu’il nous a laissé par escrit ; mais il y a esté par trop bref, et, pour estre si grand homme, il ne devoit tant là-dessus espargner sa belle parole comme il a fait : car, s’il eust voulue un peu eslargir et en dire bien au vray et au naturel ce qu’il en eust sceu bien dire, sa lettre qu’il en a fait là-dessus en fust esté cent fois bien plus plaisante et agreable. Il en fonde son discours principal sur quelques rimes anciennes du comte Thibaud de Champagne, lesquelles je

Comme à nostre sacre, nous avons, entr’autres choses, promis et juré garder et observer le domaine, et patrimoine royal de nostre couronne, l'un des principaux nerfs de nostre estat, et retirer les portions et membres d’iceluy, qui ont esté alienez, vray moyen pour soulager notre peuple tant affligé des calamitez et troubles passez. Et parce que les règles et maximes anciennes de l'union et conservation de nostre domaine, sont à aucuns assez mal, et aux autres peu connues. Nous avons estimé très

enceinte, les tours, les portes et leur dénomination au xiii e siècle Îlots Vestiges de la 1re enceinte Canal et plans d’eau Tracé des promenades Bâtiments remarquables Espaces verts rencontrés 5 6 s François de Belle-Forest, Le grand plant et vray portrait de la Ville de Brusselles, (1575) : détail avec indication du tracé de la première enceinte, de la Senne et des bassins du port intérieur. église Ste-Catherine Porte Noire 7 Porte Ste-Catherine 6 Théâtre de la Monnaie 8 15 Porte

qu’il sera vivant. Peut-on mieux conserver sa vie Que de la perdre en te servant ? « De celuy qui aura porté La rigoureuse Verité Le salaire est la mort certaine : C’est un loyer bien à propos : Le repos est fin de la peine, Et la mort est le vray repos. » Je commençois à arracher Des cailloux polis d’un rocher, Et elle tordoit une fonde ; Puis nous jettions par l’univers, En forme d’une pierre ronde, Ses belles plaintes et mes vers. Quelquefois, en me proumenant, La Verité m’alloit