Voyeurisme

tabou, au centre les règles était assez fermes, le corps devait être correctement recouvert de vêtements et les contacts entre résidents limités. C’est pourquoi certaines personnes handicapés d’adonnaient à une pornographie particulière, celle du voyeurisme. Au centre Alexandre avait tissé des liens d’amitiés avec certaines personnes et ressentait certaines réticences avec d’autres. Mais comment ne pas parler du Père Morand, cet aumônier était pour lui son « meilleur ami ». Et pourtant comme il le

vue rien à voir avec le récit initiale, v’est utulisé comme prétexte pour une scène d’amour. Les attributs sont secondaires. Mythologie=prétexte pour scène érotique/galante Bethsabée au bain : détournement religieux vers une scène galante/voyeurisme. La beauté de Bethsabée est mise en valeur, nue. La toilette de Vénus : on montre la déesse faire quelque chose que toutes les femmes de la haute font tous les jours. Le repos de Diane : mythologie moins idéalisée et reconnue par sujets de la

filles dans le but de les vendre au plus offrant. La femme du XVIIIe siècle est destinée à être violée par son mari qu’elle n’a pas choisi mais également violée par la curiosité des voyeurs dans ce marchandage sordide. Les gens prennent plaisir à ce voyeurisme, seulement pour supporter le fait qu’ils savent qu’elles sont des victimes (cf les mères coupant le clitoris de leur fille pour ne pas leur laisser ce qu’elles n’ont pas eu la possibilité de connaître). On constate avec horreur que le chef d’orchestre

(=illusions factices, sans consistances) Spectateur = voyeur La forme théâtrale devient perversion. S’il est coupé de la vie et que le spectateur n’est pas totalement engagé dans la représentation, le spectacle devient du pur voyeurisme. Le résultat est « l’usure », « l’engourdissement » dans lesquels on « sombre »car nous n’avons pas été maintenu vivants par un théâtre de la vérité. Artaud dénonce le théâtre psychologique. Ce théâtre est comme le cinéma. Il « nous assassine

la dignité : on prend plaisir ce qui est limité. Si y a plus de limite : on tue le plaisir car on prend du plaisir dans la transgression des limites. Alors peut-on tout montrer en art ? On pourrait se dire que cet art répond à notre propre voyeurisme. Cet art répondrait à une demande de quelque chose en nous qui est pervers. Un art qui montre tout est un art qui montre mais qui ne nomme pas. Ce qui sauve de l’abjection c’est le langage ; le fait de dire quelque chose de cette abjection

avec la diffusion du film Le journal d’une femme de chambre, de Luis Buñuel avec Jeanne Moreau. B- L’audimat « à tous prix » inspire les critiques. Les critiques : Les chaînes de télévision ont été accusées de propager la vulgarité et le voyeurisme, notamment lors de l'apparition des émissions de télé-réalité. La télé-réalité consiste à montrer dans le cadre d'un programme récurrent des situations mettant des individus ordinaires (par opposition aux professionnels de l'audiovisuel et du spectacle)

la mesure où ils ne sont qu’une attitude égocentrique et de repli sur soi. Qu’aurait-il pensé des| |biographies des stars d’un jour qui inondent aujourd’hui les librairies ? Ecrites dans la foulée d’un succès médiatique, elles misent sur le| |voyeurisme du public. Souvent peu crédibles, elles sont construites sur le schéma du conte de fée et correspondent à l’idéologie dominante :| |soit la morale de l’effort, soit le hasard qui transforme Cendrillon en princesse. De plus, le manque d’intérêt

«fiers ravisseurs». Ce vocabulaire est mis en relief par les mots «douceur» et «victime» qui ont des sens opposés aux mots précédents. La terreur est donc bien présente dans ce récit. Observons à présent la perversion de Néron. Il fait preuve de voyeurisme dans cette scène. En effet, il profite du fait que Junie soit dans une situation particulière pour se nourrir de cette image et fantasmer dessus toute la nuit. Junie est une idole pour Néron. Elle incarne l'innocence que Néron perçoit notamment

sexuelle à la souffrance infligée à autrui (« l’exploiteur») * Masochisme : (esclave) : satisfaction obtenue en se faisant infliger des souffrances physiques ou des humiliations. * Fétichisme : engouement sexuel pour un objet ou quelqu’un * Voyeurisme : observer l’intimité des autres * Exhibitionniste : exhiber les organes génitaux 4- Dysfonctionnements sexuels : Chez la femme : - difficulté à atteindre l’orgasme - manque de lubrification - trouble du désir sexuel - douleur lors des

surpuissante est présente, elle est un élément fondateur du cinéma d’exploitation, se basant sur les tabous de nos sociétés: sexe, violence et gore dans notre séquence par exemple. L’esprit de ce cinéma des rues est repris à merveille tant pour son voyeurisme que pour sa rigueur à paraître sans limites. b) Le type de vision Grindhouse. Les grindhouses étaient prévus pour la diffusion de films d’exploitation, souvent des films de série B soit dans les drive-in ou bien dans les théâtres.