Vous n'aurez pas l'Alsace et la Lorraine

monsieur Crevel, est encore un hors-d’œuvre, et nous éloigne du sujet. Mais, pour en finir là-dessus, si mon fils devient ministre, s’il vous fait nommer officier de la Légion-d’Honneur, et conseiller de Préfecture à Paris, pour un ancien parfumeur, vous n’aurez pas à vous plaindre ?… ― Ah ! nous y voici, madame. Je suis un épicier, un boutiquier, un ancien débitant de pâte d’amande, d’eau de Portugal, d’huile céphalique, on doit me trouver bien honoré d’avoir marié ma fille unique au fils de monsieur le baron

Crevel, est encore un hors−d'oeuvre, et nous éloigne du sujet. Mais, pour en finir là−dessus, si mon fils devient ministre, s'il vous fait nommer officier de la Légion−d'Honneur, et conseiller de Préfecture à Paris, pour un ancien parfumeur, vous n'aurez pas à vous plaindre ? ... − Ah ! nous y voici, madame. Je suis un épicier, un boutiquier, un ancien débitant de pâte d'amande, d'eau de Portugal, d'huile céphalique, on doit me trouver bien honoré d'avoir marié ma fille unique au fils de monsieur

montagnes du Tyrol, si vous aimez les voyages à pied, cela peut vous mener tout près de la frontière suisse. Mais alors, méfiez-vous des chiens ! Ils font bonne garde et aident les douaniers « feldgrau ». Une autre fois, en partant tout seul vers l’Alsace par exemple, vous n’irez pas très loin si vous ne prenez pas la précaution d’éviter les grandes routes et si vous persistez dans votre habitude de marcheur incorrigible. Les voyages forment la jeunesse, dit-on. Pour ma part, je suis très porté à

vous n’aurez pas une mais deux propositions de rédaction... ☻ Exemple de rédaction 1 Non à la guerre ! En un siècle à peine, nos deux pays se sont affrontés à trois reprises dans des guerres dévastatrices, meurtrières et inutiles. Qu’y avons-nous gagné ? Rien que du malheur, de la rancune et de la haine ! Souvenez-vous : En 1870, la guerre franco-allemande a vu la victoire écrasante de l’Allemagne et la création du IIème Reich qui annexe l’Alsace-Lorraine. Que

vous n’aurez pas une mais deux propositions de rédaction... ☻ Exemple de rédaction 1 Non à la guerre ! En un siècle à peine, nos deux pays se sont affrontés à trois reprises dans des guerres dévastatrices, meurtrières et inutiles. Qu’y avons-nous gagné ? Rien que du malheur, de la rancune et de la haine ! Souvenez-vous : En 1870, la guerre franco-allemande a vu la victoire écrasante de l’Allemagne et la création du IIème Reich qui annexe l’Alsace-Lorraine. Que

sublime parabole jouée en Mésopotamie, trois mille ans avant Jésus−Christ. Fritz alla de pied à Strasbourg, et il y rencontra ce que l'enfant prodigue de la Bible n'a pas trouvé dans la patrie de la Sainte−Ecriture. En ceci se révèle la supériorité de l'Alsace, où battent tant de coeurs généreux pour montrer à l'Allemagne la beauté de la combinaison de l'esprit français et de la solidité germanique. Wilhem, depuis quelques jours héritier de ses père et mère, possédait cent mille francs. Il ouvrit ses bras

poèmes répartis en deux livres. 1 Quand vous serez bien vieille, au soir à la chandelle, Assise auprès du feu, dévidant et filanta, Direz chantant mes vers, en vous émerveillant : « Ronsard me célébrait du temps que j'étais belle. » 5 Lors vous n'aurez servante oyant telle nouvelle, Déjà sous le labeur à demi sommeillant, Qui au bruit de Ronsard ne s'aille réveillant, Bénissant votre nom de louange immortelle. Je serai sous la terre, et fantôme sans os 10 Par les ombres myrteuxa je prendrai

d'août. Il n'y a qu'une famille de paysans. Je rencontre souvent le grand-père, c'est lui qui soigne ces beaux pruniers. Il est sourd comme un pot, mais il est bien gentil... Il me parle toujours de la guerre de septante, et il veut reprendre l'Alsace-Lorraine. - C'est un bon Français, dit mon père. - Pour ça oui, dit Bouzigue. C'est dommage qu'il soit gâteux. » Nous ne rencontrâmes personne, mais nous vîmes au loin, à travers la haie, la moitié inférieure et postérieure d'un paysan qui sarclait un

toujours prêt à donner son avis... le «réponse à tout» qu'il est difficile d'interrompre et de faire écouter. - Le revanchard, toujours amère et prêt à la vengeance; il tient un carnet de comptes et les règlera un jour ou l’autre. C'est « l'Alsace-Lorraine » perpétuelle. - Le terroriste, il assoit son pouvoir sur la peur qu'il inspire, avec plaisir, autour de lui : « la crainte est le commencement de la sagesse » telle est sa devise. - Le sans gène, que rien, ni personne n'intimide

oreilles droites et une magnifique raie noire sur le dos. En le voyant si brave, il n’osa en demander le prix. Le voisin Mathieu vit ce qui se passait dans 25 son esprit et se hâta de le rassurer. – Oh ! ce ne sera pas cher, dit-il, et jamais vous n’aurez une pareille occasion. Je vous donne Pierrot pour soixante francs, que vous me paierez en trois ans, vingt francs chaque année, à la Saint-Martin d’hiver. Je dis je vous donne, parce que c’est donné, convenez-en. C’était vrai. Aussi le père Cadet