Voie veineuse centrale

d’insuffisance d’analgésie, voire de douleurs incoercibles. Nous nous proposons, dans ce contexte bien précis, de décrire de façon pratique, en fonction des données récentes de la littérature, les moyens pharmacologiques disponibles et efficaces rapidement par voie systémique pour obtenir ou optimiser l’analgésie postopératoire. Nous ne développerons pas ici le préalable difficile de l’évaluation de la douleur d’un patient en phase de réveil d’une anesthésie générale, ni les moyens non pharmacologiques, mais

Pose d’une SNG Alimentation sur SNG par pompe Médication sur sonde Lavement APPAREIL NEUROLOGIQUE Surveillance état de conscience, pupilles PL EEG au lit du malade VOIES VEINEUSES Pose d’un cathéter court périph. - surveillance Perfusion Préparation - pose Transfusion - CAT Pose de plasma - CAT Cathéter central : Préparation du matériel Rôle de l’IDE pour la pose Surveillance Ablation du cathéter Pousse-seringue UTILISATION DE DROGUES : Dopamine Dobutrex Héparine Hypnovel Injections

|Morphine : | |Papaveraceae |Eau |Effets centraux : analgésie, dépression respiratoire, myosis, antitussif | |Pavot |Sucres |Effets périphériques : constipant

France Les jeunes et l'alcool Le sujet adulte L'alcool, risques et facteurs de risque Les effets immédiats Les effets à long terme L'alcool et la grossesse Données épidémiologiques Mortalité Lois et vente d'alcool Ivresse sur la voie publique Alcool au volant Préventions primaires, secondaires, tertiaires Conclusion Bibliographie Annexes Alcool, mythes et histoire: «L'alcool donne des forces», il «réchauffe», «boire pour être un homme», le «savoir

Autres médicaments, type Sélégéline. - Kinésithérapie. B. Traitement chirurgical: - Chirurgie stéréotaxique. LA SCLEROSE EN PLAQUE DEFINITION La sclérose en plaque est une affection inflammatoire démyélinisante chronique du système nerveux central évoluant selon un mode chronique par poussées +/- régressives. EPIDEMIOLOGIE L'âge de début est entre 20 et 40 ans avec une prédominance féminine. DIAGNOSTIC CLINIQUE 1- Déficit moteur pyramidal allant de la simple claudication intermittente médullaire

place une cure de rattrapage avec le protocole CLARA. Après sa cure (qui s’est déroulée dans le service), il reste hospitalisé car il est rentré en aplasie (agranulocytaire). Il a eu de nombreux épisodes fébriles jusqu’à ce jour. Il a une voie veineuse centrale à deux lumières et a été de nombreuses fois été transfusé en plaquettes mais sans rendement transfusionnel. De plus, il a de nombreux œdèmes surtout localisés dans les membres inférieurs et les bourses. A cela s’ajoute une ascite importante

produit de contraste aux rayons x  Angiographie: Radiographie des vaisseaux après injection d'un produit opaque. Angine: Inflammation de la gorge.  Angiome: Tâche vasculaire de couleur violacée. Angiocholite: inflammation bactérienne de la voie biliaire Angioplastie: Intervention chirurgicale consistant à réparer, à dilater ou à remodeler un vaisseau déformé, rétréci ou dilaté. Angoisse :Crise brutale, c'est une peur sans raison avec un sentiment de danger éminent et des manifestations

fauteuil/lit pour se coucher malgré sa prothèse jambe D et sa toilette complète était effectuée au lit par les infirmières à son domicile depuis 3 semaines. Il présentait également un OMI du membre inférieur G ( Urgo K2 : système bi-bande de contention veineuse en place). Mr V s’alimente seul : alimentation texture normale excepté viande hachée (pas de troubles de la déglutition), régime diabétique plus ou moins respecté (ne mange que des plats cuisinés à son domicile et aucun légume). Evolution de l’état

depuis le début du 20ème siècle, notamment grâce a l’émergence des antibiotiques. Il y a une stabilisation en rapport avec l’épidémie du VIH. La tuberculose reste un problème sanitaire majeur avec une forte mortalité dans les pays d’Afrique et ceux en voie de développement. Cependant il existe un problème épidémiologique majeur : l’émergence de résistance aux antibiotiques en Europe de l’est notamment. C/ Physiopathologie La tuberculose chez les patients VIH se caractérise par un nombre plus important

réanimation est assurée par : - les courbes de pouls, de tension artérielle, de débit urinaire horaire. - ainsi que par les déterminations successives de l'hématocrite et de l'hémoglobine. - et, éventuellement, par la mesure de la pression veineuse centrale. - la mise en place d'une sonde naso-gastrique n'est pas systématique, mais elle peut permettre le diagnostic rapide d'une reprise hémorragique et éventuellement le lavage gastrique à l'eau pour évacuer le sang intragastrique et ainsi faciliter