Virilité

Saint Antoine est avant tout un thème religieux. Le tableau de Dali La Tentation de Saint Antoine fait la synthèse entre le charnel et le spirituel. A gauche, Saint-Antoine nu brandit une croix devant un cheval qui se cabre, symbole de pouvoir et de virilité. La succession de chimères effrayantes aux pattes interminables figure les plaisirs terrestres : L'odalisque en érection sur le dos d'un éléphant est un symbole de luxure tandis que d'autres portent des femmes nues ou simplement un buste féminin

( honte du corps pour l’enfant, faiblesse) (impossibilité pour Kafka de s’exprimer ) Si la toute puissance est abusive, violente, le père peut devenir Tyran, Despote. 2) l’admiration Le père est un modèle d’identification, de référence à la virilité ( idéal à atteindre ) Le document 4, le dessinateur reprend bien des idées de l’analyse de Golfier et de Badinter - un père gigantesque, disproportionné avec le fils, aux bras énormes, signe de force. (le hors champ suggère des jambes immenses

entendu un ou deux verres de cidre. Chez eux ils consomment trois ou quatre verres a chaque repas pour 30 % d'une localité d'après. Pour les jeunes garçons a l'âge de 8ans et plus on doit obligatoirement commencer a boire sous peine de manquer de virilité. Pour la population de milieu rural boire est un rite de passage de l'enfant a l'adulte. Nous pouvons remarquer que la consommation est différente selon le milieu social et la durée des études ( qui est rare a cette époque). Dans les années 1950

artistes devaient y appartenir s'ils voulaient obtenir l'autorisation de produire. Description : Le œuvre represente un guerrier nu representant guerrier part excelance selon hitler ( l'Aryen) Il est très athlétique et arbore tous les signes de la virilité guerrière nazie: musculature surdéveloppée, part de l'arme, visage implacable de détermination au combat, prêt à se battre car sûr de sa puissance.Le drapé de sa cape et le bouclier font référence aux attributs des guerriers grecs. Il s'appuie

avantageux dont ils se servent à leur avantage : « madame de Rênal se le figurait avec le plus de charme (l.14) et « rien n'est perdu, je suis toujours belle » (l.30). En ce qui concerne Thénardier, elle possède au contraire un physique ingrat. Sa virilité, au contraire de Milady, est extérieure, comme le démontrent les adjectifs « carrée », « grasse », « énorme » « sauvagesse colosse » lignes6 et 7. A la ligne 8, elle est comparée par une métaphore à un éléphant. Elle a tout l'air d'un homme habillé

le nœud est toujours un certain désir. La guerre est un désir, il ne faut pas l'oublier. Ne serait-ce qu'une avidité : capturer ce qui est à l'autre. Pensez à tous ces soldats, dont la plupart… sont des très jeunes hommes… dans la force de leur … virilité… pensez… Marie Claire Blais au Québec : son génie est de… parler de l'actualité de son temps. D'avoir intégré à sa fiction SON actualité. La mémoire du présent. « Les particules traditionnellement japonaises ont remonté à la surface et font

le chapitre 5 marque une rupture dans ce quotidien puisque Camille invite son ami d'enfance, Laurent. C'est la première fois que Thérèse voit "un homme".En effet car contrairement à Camille mais aussi aux invités, Laurent exprime la force et la virilité: -« beauté sanguine» - « cou large et court, gras et puissant » -« un cou de taureau » -« chair épaisse et ferme» -« muscles ronds et développés» -« grosses mains» La réaction de Thérèse face a cela Thérèse ne réagit pas. Elle garde

maquillage. Les garçons et les filles ont des normes différentes, les femmes par exemple il faut qu'elles soient propres bien habillés qu'elles se maquilles "classe", les hommes aussi ont leurs normes qui sont elles tout opposées comme la force "la virilité". Dans une récréation les filles sont plus du style sédentaire, elles parles de garçons "d'amour" comme dit dans le texte, elles apprends à gérer leur sentiment alors que les hommes eux sont plus dans la concurrence jouée par exemple au foot contre

son projet, la symbolique de l’épée apparaît à nouveau : « Lorenzo rentre l’épée à la main » (IV, 11). Elle joue un rôle dans la recherche identitaire dans la mesure où elle est représente l’affirmation de sa virilité (à la manière d’une revanche puisque le duc avait mis en doute sa virilité dès le premier acte en lui donnant un surnom féminin « Lorenzetta »). Le geste de Lorenzo est une manière de se faire un nom. Cette recherche identitaire et cette affirmation de soi sont caractéristiques des

gentilhomme ? D'un état primitif où le désir ne connaîtrait pas d'entraves ? D'un Âge d'or, limité au présent immédiat, d'où l'humanité se serait malencontreusement exilée ? Certes, non : Dom Juan ne vit que de transgression et on ne l'imagine que trop, virilité en berne devant femme qui s'offre. Sa liberté est destinée ainsi à se déployer à l'intérieur d'un cadre social qu'il s'efforce d'ignorer, mais dont il vit et profite. L'horreur que Rousseau éprouvait pour le libertin s'explique justement par ce refus