Viorne

COCHELIN: fruit de l'églantier. A. COCHELIN: tourte aux fruits, gâteau long. Par extension, un cadeau. Le coquelin ou la cocheline, dans l'Eure-et-Loir, est une sorte de gâteau pour le premier jour de l'an. Voyez BOURDIN. COCHÊNE; COQUÊNE (s. m.): viorne, que l'on appelle aussi mansienne (Viburnum lantana). COCHON: cloporte. COCHONNÉE: cochonnerie; ordures. A. COCHONNET: fruit de l'églantier (Rosa canina). COCI. Voyez COSSI. COCO: œuf. Terme enfantin. COCO: mignon. Voilà un joli coco: voilà

rugueux Bouleau verruqueux Chèvre feuille de Maack Cornouiller Genévrier Mimosa Noisetier Peuplier Tilleul à feuille en cœur Charmille Chêne pédonculé Hêtre Houx Lilas vulgaire Peuplier de Berlin Erable Tilleul à grande feuille Viorne Tableau III-2 : Performances des arbres face au bruit (Source: BERNATZKY.A 1982) 2.7. Effet esthétique et valeur économique: Pour les citadins, la fonction esthétique et récréative est ce qui confère le plus de valeur aux arbres. Les arbres

de hêtres hauts de cent pieds. Tous droits, tous bizarrement colorés par des taches de mousse, tous divers de feuillage, ces arbres forment de magnifiques colonnades bordées au-dessous et au-dessus du chemin par d’informes haies d’arbousiers, de viornes, de buis, d’épine rose. Les vives senteurs de ces arbustes se mêlaient alors aux sauvages parfums de la nature montagnarde, aux pénétrantes odeurs des jeunes pousses du mélèze, des peupliers et des pins gommeux. Quelques nuages couraient parmi les

ans, les enfants apprennent l'autonomie. Les espaces doivent cependant rester à portée de voix et de vue (création d'espaces dégagés) ; tout ce qui peut présenter un danger comme par exemple : escalier, bassin profond, plantes toxiques (sumac, if, viorne…) ou épineuses (berbéris, pyracantha…) est à éviter, de même que les plantations fragiles à moins de tolérer une possible dégradation. 4 Exemples de jeux Bac à sable, plage de sable : avec au moins 30 cm de sable sur sol drainé (le sable

les jupes, largement. Dessous, il y avait un pantalon. Elle passa la main dans la fente, l’arracha, montra tout, les cuisses nues, les fesses nues. Puis, le battoir levé, elle se mit à battre, comme elle battait autrefois à Plassans, au bord de la Viorne, quand sa patronne lavait le linge de la garnison. Le bois mollissait dans les chairs avec un bruit mouillé. À chaque tape, une bande rouge marbrait la peau blanche. – Oh ! oh ! murmurait le garçon Charles, émerveillé, les yeux agrandis. 51 Des

les jupes, largement. Dessous, il y avait un pantalon. Elle passa la main dans la fente, l’arracha, montra tout, les cuisses nues, les fesses nues. Puis, le battoir levé, elle se mit à battre, comme elle battait autrefois à Plassans, au bord de la Viorne, quand sa patronne lavait le linge de la garnison. Le bois mollissait dans les chairs avec un bruit mouillé. À chaque tape, une bande rouge marbrait la peau blanche. – Oh ! oh ! murmurait le garçon Charles, émerveillé, les yeux agrandis. Des rires

les jupes, largement. Dessous, il y avait un pantalon. Elle passa la main dans la fente, l'arracha, montra tout, les cuisses nues, les fesses nues. Puis, le battoir levé, elle se mit à battre, comme elle battait autrefois à Plassans, au bord de la Viorne, quand sa patronne lavait le linge de la garnison. Le bois mollissait dans les chairs avec un bruit mouillé. A chaque tape, une bande rouge marbrait la peau blanche. — Oh! oh! murmurait le garçon Charles, émerveillé, les yeux agrandis. Des rires

ou quoique. Il pratiquait les aromates. Il était versé dans les simples. Il tirait parti de la profonde puissance qui est dans un tas de plantes dédaignées, la coudre moissine, la bourdaine blanche, le hardeau, la mancienne, la bourg-épine, la viorne, le nerprun. Il traitait la phtisie , par la ros solis ; il usait à propos des feuilles du tithymale qui, arrachées par le bas, sont un purgatif, et, arrachées par le haut, sont un vomitif ; il vous ôtait un mal de gorge au moyen de l’excroissance

que ou quoique. Il pratiquait les aromates. Il était versé dans les simples. Il tirait parti de la profonde puissance qui est dans un tas de plantes dédaignées, la coudre moissine, la bourdaine blanche, le hardeau, la mancienne, la bourg−épine, la viorne, le nerprun. Il traitait la phthisie par la ros solis; il usait à propos des feuilles du tithymale qui, arrachées par le bas, sont un purgatif, et, arrachées par le haut, sont un vomitif; il vous ôtait un mal de gorge au moyen de l'excroissance

que ou quoique. Il pratiquait les aromates. Il était versé dans les simples. Il tirait parti de la profonde puissance qui est dans un tas de plantes dédaignées, la coudre moissine, la bourdaine blanche, le hardeau, la mancienne, la bourg−épine, la viorne, le nerprun. Il traitait la phthisie par la ros solis; il usait à propos des feuilles du tithymale qui, arrachées par le bas, sont un purgatif, et, arrachées par le haut, sont un vomitif; il vous ôtait un mal de gorge au moyen de l'excroissance