Violence Routière

sont mis en évidence par une teinte plus claire que les décors. Les croquis préparatoires étaient, eux, en couleur. 4) Pourquoi choisir d’utiliser ce moyen plastique ? Picasso a choisi ce moyen plastique pour reproduire la guerre, la violence, le massacre, la mort, l’impuissance… Utiliser le noir, blanc et gris, couleurs du deuil et de la mort, ajoute à la dramatisation de la scène. Par ailleurs, Picasso a appris la tragédie dans les journaux. Le noir et blanc évoque aussi la presse

blâme. Premier livre lu : • Guadalquivir / Stéphane Servant. • Frédéric ayant réussi l’épreuve du feu fait maintenant partis de la Meute (la bande de skinheads qui sévit dans le quartier) il s'appellera désormais " Croco ". Croix gammée, violence, drogue... Voila à quoi ce résume sa vie maintenant. Mais un jour il reçoit un appel de sa grand-mère, Pépita. Elle est à la gare, et vient de s’échapper de l’hôpital (là où elle réside en attendant son heure. Mais surtout car elle était atteinte

bouchon rose (rose pâle, rose fushia). Le rose avait été choisi car il était considéré par les mamans comme une couleur rassurante. En effet, le rose représente ici la douceur, la légèreté et l’insouciance. Une sorte de pureté, préservée de toute violence – qui serait ici des couleurs vives, ou trop froides. Le rose est une couleur chaude, mais celle-ci ne heurte pas la vue, elle attire au contraire l’œil non seulement car se distingue des couleurs normales utilisées à l’époque (bleu, blancs…), mais

les deux paragraphe il y est les arguments les exemples et les contre arguments. Les arguments sont: - les jeux sont de plus en plus realiste donc la violence est de plus en plus realiste - incite a des comportements violent - dependance (santé, coupe du monde, abrutisme)(jeu en reseu) - ca coute cher - banalisation de la violence - repercution scolaire - delinquance? Les contre argument sont: - controle parentale - catharsis (geurissons des pulsions violentes) - les nouvelles

De nos jours, l’actualité nous démontre par ses scènes de violence et de comportements anarchiques, que les jeunes ne respectent plus autrui et encore moins les institutions. On évoque un souci d’éducation, notamment par l’abandon de la fameuse « autorité parentale » qui laisse nos jeunes à la dérive, faire leur propre éducation. Il est nécessaire d’une part de comprendre pourquoi cette autorité est importante et d’autre part, si à elle seule, elle peut être suffisante à bien nous éduquer. D’une

l’école et grâce a la presse. II Souffrance des enfants. Les enfants de la guerre en général gardent des séquelles de tout ce qu’ils ont pu voire, entendre et vivre durant la guerre. Les enfants sont fortement touchés par cette violence. En effet les tirs de mortiers ou bien encore les bombes lacrymogènes font leur apparition dans cette guerre. Comme le montre le document 5, la population doit constamment se protéger de cette menace. On trouve ainsi des enfants munis de masques

n'est pas seulement sociable, il ne devient homme qu'en société. Qu'est-ce qui autorise cette lecture? Qu'Aristote parle d'hommes qui ne vivent pas en cité comme d'êtres qui ne sont pas des hommes, mais ou des êtres violents, dont la nature est la violence ou des êtres surhumains, des dieux. Ces êtres, qui sont des membres de l'espèce humaine, ne sont pas devenus des hommes, ne sont pas des hommes accomplis parce qu'ils ne vivent pas en cité. Dit autrement : ils sont des hommes, mais faute de vivre

Européens, et la violence qui s'en dégage. Puis, notre second axe consistera à étudier la condamnation de l'ethnocentrisme qui est exprimée à travers les propos du vieillard. Lecture à voix haute de l'extrait I. Premier axe : l'invective adressée par le vieillard aux Européens L'invective est un discours violent tenu contre quelqu'un. Si on utilise ce terme pour caractériser le discours du vieillard, c'est parce que ses propos renferment en effet une grande violence. Celle-ci se traduit

Ddass, un cas social (mais nous sommes plein, donc nous ne sommes plus des cas) comme ils aiment nous appeler, j'ai toujours ressenti une haine profonde envers la société, envers le monde. Cette haine s'est notamment traduite dans la provocation, la violence, mes choix musicaux, qui eux aussi ont évolué. J'ai alors pu apprendre la différence entre le rap de merde et le bon rap, entre le rap gangsta qui m'emmerde et le hip hop contestataire qui, lui, me fait vibrer. Je pense que le hip hop a été mon meilleur

fait divers ordinaire à l’attentat retentissant, la violence physique fait partie de notre vie. Alerté, le ministre de la Culture et de la Communication a commandé une étude sur la représentation de la violence et son impact. Rendue publique, l’analyse conclut à la nécessité d’un contrôle accru sur la diffusion des programmes à la télévision au nom des Droits de l’enfant. Le thème est donc au cœur de tous les débats. Certains pensent que « la violence physique est l’arme des faibles ». Ainsi, porter