Viktor Orbán

journalistes publié par Reporters sans frontières (RSF) « Reporters sans frontières tient à la disposition de M. Erdogan les précisions sur les 117 cas d’agressions et menaces de journalistes recensées en Turquie » Depuis qu'il est au pouvoir en Hongrie, Viktor Orban, président du Fidesz, parti ultraconservateur et populiste, est particulièrement critiqué pour ses attaques envers la presse et l'indépendance des médias. En 2010, il a fait voter une loi très restrictive sur les médias, qui donne au gouvernement

Elle a avancé sans trancher les questions de fond: une Europe politique ou non ? Quel avenir pour l’euro ? De plus s’ajoutent aujourd’hui d’autres problèmes politiques tel les montées extrémistes en Europe de l’Est, avec notamment l’élection de Viktor Orban en Hongrie qui supprime de nombreuses libertés et soulève la question du niveau d’intervention de l’Union pour résoudre ce problème.

municipalités. • Indicatif téléphonique : 00 30  [pic]Hongrie (HU)   • Capitale : Budapest • Superficie : 93 029 Km² • Population : 10,01 millions - (Eurostat - 2010) • Adhésion : 2004 • Chefs de l'Etat et du gouvernement : M. Pal Schmitt ; M. Viktor Orbán (Premier ministre - Droite (Fidesz)) • Monnaie : Forint • Découpage administratif : 19 comitats, 22 villes à statut provincial, 195 villes, 2 913 communes. • Indicatif téléphonique : 00 36  [pic]Irlande (IR)   • Capitale : Dublin • Superficie

hétérogène au sein de l’Europe, le populisme couve pour de multiples raisons. Dans le cas de la Hongrie, l’une des explications réside dans le fait qu’il y ait eut peu de réactions officielles en Europe face à la dérive populiste du président Viktor Orban, à l’exception de la représentante pour la liberté de la presse de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE). La raison étant l’indissociabilité du pouvoir hongrois avec les majorités conservatrices aujourd’hui dominantes

sanctions envers la Pologne si cette dernière ne se rétracte pas. Pour leur défense, les Polonais avancent que la Pologne est un Etat-nation souverain et que le droit polonais prime sur le droit communautaire. Dans la foulée, le président Hongrois Viktor Orban, lui aussi régulièrement condamnée par l’UE pour ne pas respecter le droit européen, est venu au secours de la Pologne en dénonçant l’ingérence systémique de l’UE dans les affaires de la Hongrie. Il a même comparé l’UE à un empire ; et après s’être

dissert TD2« Le citoyen européen et la démocratie de l’union » Le Premier ministre hongrois, Viktor Orban déclara lors d’un discours le 26 juillet 2014 ceci: « Nous prenons nos distances avec les dogmes de l’Europe de l’Ouest, nous nous en affranchissons .. » il ajouta par la suite que « la démocratie à l’occidentale (a) fait son temps ». Pour cet ancien premier ministre d’un état membre de l’union la vision de la démocratie communautaire est en désaccord avec celle qu’il souhaite pour son

se positionner en tant que deuxième force politique du pays derrière le Fidesz, parti de droite conservatrice. Ce confortable statut a dès lors ouvert au parti Jobbik les voies du pouvoir dans le cadre d'une coalition gouvernementale menée par Viktor Orban, aujourd'hui premier ministre Hongrois et premier secrétaire du Fidesz. Le leader du parti Jobbik, Gabor Vona se fait la voie d'un parti ultra-nationaliste dénonçant l'établissement d'élites juives contrôlant médias et banques, ainsi qu'un sur-assistanat

lié au contexte sociopolitique, culturel. D'ailleurs Internet connaît un certain contrôle dans les régimes autoritaires (ex : La Hongrie est qualifiée de « démocratie illibérale » en particulier à cause de sa loi, votée sous le gouvernement de Viktor Orban, encadrant les médias et renforçant la culture de l'auto-censure). Même si l'ère numérique s'applique à de nombreux pays, elle agit différemment sur eux selon d'autres facteurs que la densité du numérique. Pascal Josèphe, en se basant sur Rosanvallon

à commencer par une analyse des régimes d’inégalités occidentalo (voir parfois franco) centré qui se veut aboutir à des conclusions concernant un espace plus grand que le Nord Global. On retrouve en effet pêle-mêle dans les populismes cités Viktor Orban, Jean-Luc Mélenchon, Vladimir Poutine, tous reflets de sociétés plus divers que semble prendre en compte l’auteur. L’arrivée au pouvoir du populisme autoritaire russe par exemple trouve sans doute une explication plus adéquate à travers la thèse

par le groupe néonazi NSU. c) L’actualité  Des exemples de partis politique exerçant des actes xénophobe en Europe :               En Hongrie, les idées d’extrêmes droites sont bien enracinées dans le pays, le gouvernement actuel dirigé par Viktor Orban a tendance à s’orienter vers l’autoritarisme. Il a imposé une nouvelle Constitution qui ne prend pas en compte les droits démocratiques minimaux dont l’Europe a pourtant exigé qu’ils soient respectés et protégés par tout pays voulant adhérer à