Victor Hugo Mon Bras Pressait Ta Taille

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enfants ! –5– – C’est peut-être un bonheur pour vous ? Mais la solitude à la longue était bien triste. Puis, au bord du quai, parut une fille de joie, avec un soldat. Blême, les cheveux noirs et marquée de petite vérole, elle s’appuyait sur le bras du militaire, en traînant ses savates et balançant les hanches. Quand elle fut plus loin, Bouvard se permit une réflexion obscène. Pécuchet devint très rouge, et sans doute pour s’éviter de répondre, lui désigna du regard un prêtre qui s’avançait.

et Pécuchet — « C’est peut-être un bonheur pour vous ? » Mais la solitude à la longue était bien triste. Puis, au bord du quai, parut une fille de joie, avec un soldat. Blême, les cheveux noirs et marquée de petite vérole, elle s’appuyait sur le bras du militaire, en traînant ses savates et balançant les hanches. Quand elle fut plus loin, Bouvard se permit une réflexion obscène. Pécuchet devint très rouge, et sans doute pour s’éviter de répondre, lui désigna du regard un prêtre qui s’avançait

 Emile Zola, Au Bonheur des dames Séquence élaborée par Mme Cécile FLORY, professeur agrégé, pour ses élèves de 1ère ES du lycée Victor Hugo à Marseille. Objet d’étude : le roman et ses personnages Objectifs de la séquence : Travailler de manière transdisciplinaire entre les lettres et les S.E.S., et comprendre ainsi que le roman et la littérature en général ne sont pas étrangers au monde. En l’occurrence, Zola s’inscrit dans une époque qu’il tâche de peindre en s’intéressant

souriants. Or, le second jour, à cinq cents milles des côtes françaises, par un après-midi orageux, le télégraphe sans fil nous transmettait une dépêche dont voici la teneur : Arsène Lupin à votre bord, première classe, cheveux blonds, blessure avant-bras droit, voyage seul, sous le nom de R... À ce moment précis, un coup de tonnerre violent éclata dans le ciel sombre. Les ondes 8 électriques furent interrompues. Le reste de la dépêche ne nous parvint pas. Du nom sous lequel se cachait Arsène Lupin

saluait parfois ». Dimension olfactive « sentait la poiscaille », « parfum de mer » Chaque personnage est dépeint dans une attitude « la foule se pressait », « les femmes », « les pêcheurs ». Chacun à sa place dans ce décor. Scène vivante : La foule met en valeur la solitude de Piracci -> individualisation. Vue, vision différente du monde. II.

EMILE ZOLA, AU BONHEUR DES DAMES Séquence élaborée par Mme Cécile FLORY, professeur agrégé, pour ses élèves de 1ère ES du lycée Victor Hugo à Marseille. Objet d’étude : le roman et ses personnages Objectifs de la séquence : • Travailler de manière transdisciplinaire entre les lettres et les S.E.S., et comprendre ainsi que le roman et la littérature en général ne sont pas étrangers au monde. En l’occurrence, Zola s’inscrit dans une époque qu’il tâche de peindre en s’intéressant aux

L’un, de son faîte aigu, atteint le haut Ouranos, et une nuée bleue l’environne sans cesse, et jamais la sérénité ne baigne son sommet, ni en été, ni en automne ; et jamais aucun homme mortel ne pourrait y monter ou en descendre, quand il aurait vingt bras et vingt pieds, tant la roche est haute et semblable à une pierre polie. Au milieu de l’écueil il y a une caverne noire dont l’entrée est tournée vers l’Érébos et c’est de cette caverne, illustre Odysseus, qu’il faut approcher ta nef creuse. Un homme

constate que dans les deux cas, il s’agit d’un mirage dû au soleil et à la lumière qu’il produit. 2. Les éléments naturels, la plage et le soleil, sont personnifiés car le narrateur leur prête des intentions : « toute une plage vibrante de soleil se pressait derrière moi ». À travers cette formulation, on comprend que les éléments apparaissent comme une force qui pousse le personnage à agir malgré lui. De même, le lien que la présence du soleil dessine avec l’enterrement de « maman » montre qu’il suit

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