Victor Hugo Les Pauvres Gens Ii

Rousseau, écrit en 1762. Le romantisme (1820 - 1850) Les plus grands auteurs romantiques sont Chateaubriand (1768 - 1848), Stendhal (1783 - 1842), Victor Hugo (1802 - 1885) et Alphonse de Lamartine ( 1790 - 1869). C'est un mouvement littéraire qui rompt avec les règles et le Beau traditionnel. Il incarne la liberté: c'est, comme le dit Victor Hugo, "le libéralisme en littérature". Il cherche l'évasion dans le rêve, dans l'exotisme, il exalte le goût du mystère et du fantastique. Le mot "romantique"

romantisme, tourné vers le classicisme, à la croisée entre le Parnasse et le symbolisme, chantre de la « modernité », il occupe une place considérable parmi les poètes français pour un recueil certes bref au regard de l'œuvre de son contemporain Victor Hugo (Baudelaire s'ouvrit à son éditeur de sa crainte que son volume ne ressemblât trop à une plaquette…), mais qu'il aura façonné sa vie durant : Les Fleurs du mal. Au cœur des débats sur la fonction de la littérature de son époque, Baudelaire détache

d’une époque. Exemple de mémoires : La Guerre des Gaules , de César, Hugo y fait référence dans ce poème: « Veni, vidi, vixi » (Livre IV, poème 13) = je suis venu, j’ai vu, j’ai vécu, qui fait écho à la célèbre phrase de Jules César « Veni, vidi, vici » = je suis venu, j’ai vu, j’ai vaincu. (« vaincu « devient « vécu »)En effet, dans ce poème, Hugo fait une sorte de prière à Dieu pour être délivré de sa longue vie pénible et sans joie depuis la mort de

d'abord l'idée de responsabilité collective de la population, ensuite l'idée de dissociation d la grand-mère, puis la responsabilité directe. Sujet de l'infinitif " tuer ". Il existe un registre ironique.    Association inattendue entre " prince " et " pauvre ". Par " richesse " : côté superficiel et luxueux de la vie de Napoléon. Accumulation : effet accusateur, contraste avec pauvreté de l'enfant.    Effet de décalage entre les biens recherchés et possédés, et le rôle moralisateur. Rapport faussement

romantisme, tourné vers le classicisme, à la croisée entre le Parnasse et le symbolisme, chantre de la « modernité », il occupe une place considérable parmi les poètes français pour un recueil certes bref au regard de l'œuvre de son contemporain Victor Hugo (Baudelaire s'ouvrit à son éditeur de sa crainte que son volume ne ressemblât trop à une plaquette…), mais qu'il aura façonné sa vie durant : Les Fleurs du mal. Au cœur des débats sur la fonction de la littérature de son époque, Baudelaire détache

permet le contournement de ces obstacles. Lorsqu’un auteur écrit un livre, il vise évidemment à toucher les lecteurs.Ceux ci doivent doncpouvoir avoir accès à ces livres, or ce n’est pas donné à tout le monde. Certains sont illettrés, d’autres trop pauvres pour se permettre l’achat d’un livre. Les moyens de diffusion n’ont pas toujoursété abondants. Au XVIIIème siècle par exemple, les seules personnes à avoir accès facilement à la littérature étaient les nobles et bourgeois, qui bénéficiaient d’une

fainéantises, Me laissant consulter en route son devoir, Elle sut m'épargner l'horreur du cachot noir. Moi, je grimpais pour elle à l'arbre des cerises, Pour elle je pillais la vigne et le pommier, Et je la défendais comme un bon chevalier. II Plus tard, à l'âge d'or où dans notre poitrine Vibre l'enchantement des frissons amoureux, A l'âge où l'on s'égare au fond des rêves bleus, Sans songer à demain et ce qu'il nous destine, Sous les érables du grand parc, à la sourdine, Nous nous

......................................................................... 23 Fantaisie triste. Aristide Bruant .................................................................................................................................... 23 Pauvre garçon. Tristan Corbière ................................................................................................................................... 24 A Marcelle - La cigale et le poète. Tristan Corbière..................................

Pelletier du Mans, Dorat.             Ces poètes avaient pour principe de n'utiliser que la langue française pour composer leurs poèmes (à une époque où dominait le latin – à la cour - ou les patois –en province), et si celle-ci se trouvait être trop pauvre, on l'enrichissait en créant de nouveaux mots. Ils imposent l’alexandrin, l'ode et le sonnet comme des formes poétiques majeures. Ils privilégiaient la beauté au sens et réhabilitèrent la rhétorique antique             Enfin, ils ont une conception

bijoux de vingt-neuf sous Dont je ne puis, oh ! pardon ! Te faire don. Va donc, sans autre ornement, Parfum, perles, diamant, Que ta maigre nudité, Ô ma beauté ! LXXXIX. – Le Cygne À Victor Hugo I Andromaque, je pense à vous ! Ce petit fleuve, Pauvre et triste miroir où jadis resplendit L’immense majesté de vos douleurs de veuve, Ce Simoïs menteur qui par vos pleurs grandit, A fécondé soudain ma mémoire fertile, Comme je traversais le nouveau