Victor Hugo Les Chatiments La Société Est Sauvée

Édition du groupe « Ebooks libres et gratuits » William Shakespeare LE ROI LEAR (1606) Traduction de François-Victor Hugo Table des matières Personnages ..............................................................................4 ACTE PREMIER .......................................................................5 SCÈNE I ........................................................................................6 SCÈNE II.........................................................

écrits par des femmes. Après une introduction qui permettra de comprendre ce qu’a pu être la condition féminine dans les siècles passés, cinq textes vous seront proposés en lecture analytique, montrant des personnages féminins aux prises avec la société, l’opinion publique, les hommes... et tentant d’affirmer leur liberté. Chacune de ces lectures analytiques sera mise en perspective avec d’autres textes ou documents, qui pourront donner lieu à des ouvertures ou des comparaisons. Enfin, la lecture

The Project Gutenberg EBook of Les misérables Tome V, by Victor Hugo This eBook is for the use of anyone anywhere at no cost and with almost no restrictions whatsoever. You may copy it, give it away or re-use it under the terms of the Project Gutenberg License included with this eBook or online at www.gutenberg.org Title: Les misérables Tome V Jean Valjean Author: Victor Hugo Release Date: January 15, 2006 [EBook #17519] Language: French Character set encoding: ISO-8859-1 *** START OF THIS PROJECT

HISTOIRE ECONOMIQUE GENERALE LA GLOBALISATION DU XVe SIECLE A NOS JOURS Partie 1. Economies et sociétés européennes préindustrielles, 15e-18e siècles Chapitre 1. Une gigantesque paysannerie • 1.1. La prédominance de l’agriculture Prédominance de l’agriculture dans l’Ancien régime (80% de la population active vers 1500) L’agriculture donne la plus grande valeur à la société (les élites tirent leurs richesses des terres par les impôts tirés des paysans). Dès le XVIe siècle, l’Europe de l’est retombe

parler d’avènement du règne de la critique. L’esprit du siècle en effet, se caractérise par une croyance. Croyance en la raison et confiance dans les progrès de la civilisation. De la raison, procède pour les lumières les lois de fonctionnement des sociétés qui doivent être organisé pour le bonheur des hommes. Les lumières vont se livrer à l’examen critique des toutes les institutions et des coutumes et vont reformuler le lien politique et sociale à partir de l’idée de liberté. Le droit et le pouvoir

toi (1954) 46 3 72 Les sabots d'Hélène (1954)n 48 3 70 Chanson pour l'Auvergnat (1954)nn 52 3 76 Une jolie fleur (1954)n 54 3 *Gastibelza (Victor Hugo) (1954) 55 3 *La prière (Francis Jammes) (1954) 56 1 24 Hécatombe (1955)n 58 1 26 La chasse aux papillons (1955)n 60 1 *32 Corne d'Aurochs (1955) 62 3 74 Marinette (1956)n 64 3 *La légende de la nonne (Victor Hugo) (1956) 66 3 *78 Auprès de mon arbre (1956) 68 3 *Colombine (Paul Verlaine) (1956) 72 3 82 Le testament (1956)n 74 3 86 Les croquants (1956)n

avait un éclat et une douceur bizarres, était toujours fourré chez les Fraisier, avec sa petite fille, une amie de Linette. Son air intelligent, sa voix musicale, ses façons étranges, pouvaient séduire un cœur naïf et romanesque. Il y avait aussi Victor Moussemond, le fils de 38 l’huissier, un petit monsieur fat et pédant, qui devait plus tard succéder à son père, et qu’on appelait familièrement Toto Mousse. Le monocle à l’œil, l’allure insolente, le teint fleuri, la lèvre gourmande et toujours

Maigrat y vint «réclamer aide et protection» (page 343). Quand se présenta la voiture des promeneurs, la colère des femmes se déchaîna contre Cécile qui fut saisie par Bonnemort «sorti brusquement de sa résignation d’un demi-siècle» (page 346). Elle fut sauvée par Deneulin qui se servit de son cheval «avec une adresse et une force extraordinaires» (page 347). Il annonça sa ruine et l’annexion de sa mine à celle de Montsou. Étienne, ayant détourné la foule, «enfonçait à coups de hache le magasin de Maigrat»

injustice, rendu à la liberté, présenté à Louis XIV, il avait conversé avec les grands hommes de ce siècle, et assisté aux fêtes de Versailles, aux tragédie de Racine, aux oraisons funèbres de Bossuet : en un mot, le Sauvage avait contemplé la société à son plus haut point de splendeur. Depuis plusieurs années, rentré dans le sein de sa patrie, Chactas jouissait du repos. Toutefois le ciel lui vendait encore cher cette faveur ; le vieillard était devenu aveugle. Une jeune fille l’accompagnait

Paris, 1997. J.-C. Margolin, L’Humanisme en Europe au temps de la Renaissance, PUF, coll. «QSJ», Paris, 1981. M. Baxandall, L’OEil du Quattrocento : l’usage de la peinture dans l’Italie de la Renaissance, Gallimard, Paris, 1985. M. Daumas, Images et société dans l’Europe moderne, Armand Colin, coll. «U», Paris, 2000. M. Warnke, L’Artiste et la cour. Aux origines de l’artiste moderne, Maison des sciences de l’homme, Paris, 1989. Documentation Photographique et diapos : « L’Europe de la Renaissance »,