Victoire De La Connaissance Sur Le Mal Radical Nietzsche

représentation de l’homme cultivé. De nos jours, au pays des Lumières, il peut apparaître comme celui qui semble ne pas avoir de lacune majeure dans les principaux champs de la connaissance, voire qui possède une maîtrise approfondie d’un ou deux de ces champs. Il excelle surtout dans l’art de mobiliser ses connaissances pour les insérer avec aisance dans les discours, débats, entretiens…, allant jusqu’à distiller des citations plus ou moins longues, ce qui subjugue souvent les esprits. À défaut

sujet peut en être l’auteur (E. Stengel, Suicide and Attempted Suicide, | |Londres, Penguin, 1969). La définition la plus complète, indiquant avec le plus de précision les caractéristiques de la décision personnelle | |(ferme intention et connaissance des conséquences) est sans doute celle-ci: «Par ce terme nous entendons l’acte qui résulte de la décision | |délibérée d’un individu qui veut mourir soit par sa propre main soit par l’intervention de quelqu’un d’autre, soit par la mise en

comme jurés… Comme il l’exprime ailleurs, avec pragmatisme et simplicité, c’est le fait d’être tour à tour gouvernant et gouverné. Même le mot de Churchill sur la démocratie comme le pire des régime à l’exception des autres ne fait que refléter sa connaissance de l’œuvre d’Aristote qui ne dit pas autre chose dans la Politique. Quant à la justice, le fait de n’exécuter personne sans procès, « mèdéna akriton apokteinai », est un droit pour les citoyens de la cité athénienne. De la même manière, quand Démosthène

Spinoza TTP 2013. INTRODUCTION GÉNÉRALE. biographie (à vous de faire, on a déjà vu pas mal de choses sur Spinoza). Rappel : 1. le sujet : l’illusion du libre-arbitre (Descartes vs Spinoza) 2. Corrigé rédigé et donné : La liberté n’est-elle qu’une illusion ? 3. Envoi d’un dossier sur L’Appendice du Livre I de L’Éthique. I. LA FINITUDE INHÉRENTE A LA NATURE HUMAINE COMME POINT DE DÉPART. Ontologie (la nature c’est dieu, et tout est en dieu qui est tout y compris l’homme qui

contradictions mêmes qui nous travaillent, témoignent d’un rapport à l’être dans sa totalité et d’une appréhension de la réalité qu’il revient à la philosophie d’élucider ou de déconstruire. – Rousseau et la question du mal. – Tocqueville, Marx et la question de la démocratie. – Nietzsche et la question du ressentiment. – Freud et la question de l’inconscient. – Heidegger et la question de la technique. – Carl Schmitt et la question de la guerre. – Lévinas et la question de l’éthique. Période : Automne

conscience, comme ouverture sur le monde et sur soi ? conscience L’intentionnalité de la conscience conscience intentionnelle 6 Le sujet La conscience que j’ai d’exister peut-elle être remise en doute ? Je peux me tromper dans la connaissance que je crois avoir de moi (celui qui croyait être courageux peut s’avérer n’être qu’un lâche, par exemple), mais la pure conscience d’être, elle, est nécessairement vraie. Ainsi, Descartes, au terme de la démarche du doute méthodique, découvre

aller la raison ?», se demande Kant dans la critique de la raison pure ; pour Bergson, il n’y a « qu’un moyen de savoir jusqu’où l’on peut aller : c’est de se mettre en route et de marcher ». En effet, la connaissance que l’on recherche, celle qui répond à la question vitale, est une connaissance qui doit, selon Bergson, parce qu’elle est réellement instructive, « dilater notre esprit » soit le rendre plus large qu’il n’est maintenant : elle doit nous augmenter, comme un ballon se dilate quand on

adhère conduit à fuir devant « les figures les plus négatives telles que la maladie, le néant de la vieillesse et la mort ».19 La nouvelle philosophie de la vie s’accompagne d’une campagne de dénigrement du royaume des ombres. Considérée comme le mal par excellence, la mort moderne ressortit aux réalités ignobles auxquelles l’existant travaille à échapper. Aujourd’hui, point n’est besoin de les dépeindre hideusement pour susciter l’effroi. Il n’est que de les nommer pour provoquer une tension

Romantisme, en attribuant à l’art le pouvoir de connaissance supérieure, installe l’art dans une sphère du religieux primordiale et indifférenciée. La philosophie des Lumières a voulu désenchanter le monde au nom de la raison, le premier romantisme se donne pour programme de le ré-enchanter au nom de l’émotion, du sublime, d’un sacré immanent etc. Le premier romantisme allemand refuse que nous soyons enfermés dans les seules limites de la connaissance objective (Kant). Grâce à l’art nous avons la possibilité

liée avec la psychanalyse. Il a lui-même pratiqué des thérapies de groupe. Lacan s'y réfère plusieurs fois, sans le nommer. Il y a aussi des parentés avec Piaget dans le refus des dualismes esprit/matière et la construction des conditions de la connaissance comme processus basé sur l'action, structuralisme génétique dont les figurations dépendent des configurations (structure, jeu, hiérarchie, réseau). Les civilisations peuvent représenter des stades cognitifs d'un processus dynamique d'organisation