Victimisation

Il faut se rendre compte que la délinquance des mineurs progresse depuis le début des années 90, notamment les atteintes aux personnes (≠ sur l’autorité publique) une accentuation des actes des violence. C’est ce que révèlent les enquêtes de victimisation. Robert Cario précise que les institutions qui étaient jusqu’ici préservées sont envahies par des conduites violentes On pourra toujours discuter sur la validité des statistiques criminelles (ex : quand on passe du papier à l’ordinateur).

à cette situation, certaines font des tentatives de suicide, d’autres sont hospitalisées et la plupart suivent des psychotérapies. La plupart du temps un fort sentiment de honte les assaille. Beaucoup de femmes n’arrivent pas à sortir de la victimisation et sont incapables d’agir seules. Le viol détruit la vie de la femme et celle du couple. Elles sont marquées à vie et le quotidien pour elles devient des plus pénibles. D’autre part, aucune victime n’échappe au cours de sa vie à des troubles sexuels

caractéristique du discours de Vichy envers les femmes. Le régime n’a pas appelé au châtiment des coupables, mais à leur retour, sous le contrôle de l’État, du père et du mari, à la place traditionnelle qui leur revenait. Ce discours de la victimisation sous tend celui de l’incapacité du libre arbitre des femmes. Coupables mais irresponsables, c’était à la société d’assigner les femmes à leur place. De ce point de vue, l’objectif était avant tout d’effacer toute marque d’autonomie des femmes et

occulterait de ce fait l'enjeu véritable qui est d'ordre moral. À ses yeux, l'esclavage est «irréparable» : «C'est fait, c'est l'Histoire, je n'y peux rien.» Il importe bien davantage, selon lui, de devenir «responsables de nous-mêmes» : «sortir de la victimisation est fondamental». Quant aux Européens, ils «ont des devoirs envers nous, comme à l'égard de tous les malheureux, mais plus encore à notre égard pour des maux dont ils sont la cause». Dans les dernières pages des entretiens, Césaire, évoquant les

s’interroger sur la contribution de la victime à sa propre victimisation. Exemple : la vulnérabilité de la victime qui l’a exposée plus facilement à une infraction. Il s’agit aussi de repérer un excès de victimisation. L’intervention de la victime dans les différentes étapes du procès judiciaire : la plainte, la constitution de partie civile, le témoignage, le procès et même aujourd’hui l’exécution de la peine. Analyser les séquelles de la victimisation parce que le statut de victime doit nécessairement

efficacement contre la victimisation et l’auto-discrimination des populations ; Actions de sensibilisation auprès des lycéens : les entreprises mènent des actions de sensibilisation auprès des lycéens de la diversité (jeunes issues de l’immigration, femmes pour les entreprises à dominante masculine, personnes handicapées, …). Ces journées de sensibilisation dans les écoles, qui s’inscrivent dans la démarche sociétale des entreprises, ont pour objectif de lutter contre la victimisation et d’aider ces populations

social et civique par l'effet de boomerang car elle génère une sentiment d'exaspération chez les dominants au vu des privilèges accordés aux dominés. En l'instituant comme une fin en soi, elle met les groupes en situation de rivalité dans la victimisation, ce qui ne fait donc que la renforcer. Elle a conduit a une démultiplication des formes d'assistance, des revendications catégorielles et des clivages sociaux. Ces politiques ont donc créé à terme un cercle vicieux. II) Les perspectives

Dès 1977, la sociologue américaine Suzanne Steinmetz crée le concept de « mari battu », ultérieurement remplacé par celui d'« homme battu ». Dans une étude de 1980 (BehindClosedDoors - Violence in The American Family), comprenant une enquête de victimisation, Strauss, Gelles et Steinmetz affirment que les femmes commettent la moitié des violences physiques domestiques. Selon eux, les hommes causent plus de dommages directs aux femmes, mais les femmes qui utilisent des armes peuvent provoquer des blessures

pour celui qui l’a vécu » P. 236. S’il est surmonté un traumatisme forge une personnalité (ce qui s’acquiert de façon traumatique en cas de dépassement ne très peu étudié). Le traumatisme est avant tout étudié sous la forme psychopathologique ou victimisation (pauvreté des référentiels théoriques). Les patients qui accèdent à cette étape ont des capacités nouvelles (échelles de valeurs). Avant, ils ne pouvaient pas positiver cette vision du monde (choses cachées) qui était la leur (amertume, désillusion)

Enfin, des partenariats en faveur de l’insertion professionnelle ou encore des formations aux savoirs fondamentaux sont mis en œuvre dans les régions et filiales de Veolia Propreté France. Partout, on privilégie le potentiel et l’opportunité à la victimisation ou aux politiques de quotas. L’axe des compétences ne doit jamais cesser d’être directeur. Nous voulons mettre du sens plutôt qu’afficher un chiffre. V. R. : Il est essentiel pour le Groupe d’accompagner ce changement. Cela se traduit notamment