Vestibule

« porta sur la jeune femme ses yeux... » > La femme est juste là pour la gloire de Jean, il fait son macho: Cliché de l'amoureuse => éléments qui rappelle le roman sentimental -Un roman réaliste > réalisme du cadre spatial: « quai », « la gare », « vestibule », >réalisme des tenues: « vareuse »,  « képi »... >noms des personnages « Denise », « Jean Herbillon » >réalisme du temps: « 20ans », « regarda l'heure » , de la géographie « Jonchery » >réalisme des émotions avec le champ lex de la séparation

actes dans une pièce. La scène d’exposition . Vocabulaire soutenu : Aimer : désirer Haïr : aborer Destin : sort, fatalité, providence (positif) Mourir : s’éteindre, périr Dieux : déité Malheur : malédiction, désagrément Buisson: Hallier. Hall: vestibule Attrapper : happer Téméraire : Hardi Grossier: Malotru Fatal: marqué par le destin. Funeste : mortel, rapport avec la mort. Trouble : émotion violente. Courroux : violente colère. Le registre épique : Emprunté de l’épopée quoi vise à susciter l’admiration

fruits, une petite fille, brune de peau, avec des cheveux noirs embroussaillés, se présentait chaque mois chez un avoué d'Aix, M.Rostand, tenant une énorme corbeille d'abricots ou de pêches, qu'elle avait peine à porter. Elle restait dans le large vestibule, et toute la famille, prévenue, descendait. « Ah ! c'est toi, Naïs, disait l'avoué. Tu nous apportes la récolte. Allons, tu es une brave fille... Et le père Micoulin, comment va-t-il ? - Bien, Monsieur », répondait la petite en montrant ses dents

Néanmoins si vous entrez par l’entrée principale de la maison vous pourrez observer « un grand et confortable vestibule au plafond bas, pavé de carreaux céramiques, chauffé (telle une maison de campagne) par la flamme claire d’un âtre ouvert, et meublé de précieux buffets de chêne. » qualifié de « vanité mignonne » par l’auteur. Toutefois, à l’instar du quartier, l’auteur donne au vestibule une dimension étrange et lugubre : « les reflets dansants de la flamme sur le poli des buffets et les sursauts

ici au rôle de songe : il suffisait qu’elle existât pour remplir ma nuit de sa présence. Je n’étais plus ce corps échoué sur une grève, je m’orientais, j’étais l’enfant de cette maison, plein du souvenir de ses odeurs, plein de la fraîcheur de ses vestibules, plein des voix qui l’avaient animée. Et jusqu’au chant des grenouilles dans les mares qui venait ici me rejoindre. J’avais besoin de ces mille repères, pour me reconnaître moi-même, pour découvrir de quelles absences était fait le goût de ce désert

palais une émicycle de colonnades qui ferme la cours donneur. C’est par la qu’entrent les visiteurs. Le palais est articulé selon le schéma classique « antichambre », « chambre » et « appartements privés » : 2 zones d’accueuil : • Grand vestibule rectangulaire (par la où on entre) qui sert d’antichambre au : • Salon oval central, appelé la salle de marbre qui est la pièce de reception principale Le plan intègre l'innovation issue de France d'une double circulation : • Celle destinée

statues en trompe-l’œil du côté des fenêtres répondent à la figure de Louis XIV par Jean Warin. Le salon de Diane Tout comme le salon de Vénus, le salon de Diane servait de vestibule au Grand Appartement et, au temps de Louis XIV, les soirs d’appartement, de chambre du billard. Deux estrades étaient réservées aux dames qui applaudissaient aux bons coups du roi, très habile à ce jeu, si bien que ce salon était aussi appelé « chambre

domestique et paysage. La maison de 64 mètres carrés (16m x 4m), est un parallélogramme simple sparadrap blanc avec un sol consistant en un salon, une chambre, salle d'eau, un petit salon qui pourrait être convertie en une chambre pour les invités, un vestibule, un salle de bains, une cuisine, et un placard pour ranger les vêtements et otther. La façade extérieure du mur a été ajouté plus tard, quand une nouvelle route a été construite en face de la propriété. Un porche sobre et même humble précède la

à Rome : les amorces de la réalisation disparaîtront au XVIIIè s. En 1655, Anne d’Autriche décore ses appartements d’été au rez-de-chaussée de la Petite galerie, ces appartement seront constitués de six pièces ( antichambre, grand salon, vestibule, grand cabinet, chambre a couche et petit cabinet). Le décor sera confié a Romanelli pour les fresques des plafonds et a Anguier qui réalisera les stucs. Le 6février 1661, un incendie se produit dans la Petite Galerie. Louis Le Vau demande alors

sa bienaimé. Il descendit du bateau, se hâta d’aller saluer quelques parents et amis, puis se dépêcha de rentrer chez lui. Il était bien devant sa famille qui avançait d’un pas nonchalant. Il franchit le seuil de la porte, courut dans le vestibule pour atteindre la salle à manger ; là, de la famille et des amis l’attendaient devant un festin en l’honneur de son retour. Niels fut abattu : il n’y avait pas Maria, il s’installa à table essayant de retenir ses larmes, des larmes de douleur et