Vespasienne

juive Bérénice. Dans son cas, ce fut : _________________________________________________________________________________ “Tite et Bérénice“ (1670) Comédie héroïque en cinq actes L'empereur Tite aime Bérénice, mais il a promis à son père, Vespasien, d'épouser Domitie qui, très ambitieuse, tout en aimant et étant aimée de Domitian, frère de Tite, veut épouser ce dernier afin de parvenir à l'empire. Désespéré, Domitian veut rallumer la passion de son frère pour la juive Bérénice, qui est de retour

(Lignes 1 à 2). Cette cité située en Afrique proconsulaire, sur la rive méridionale de la Méditerranée, a presque huit siècles d’existence à la naissance de Septime Sévère. Cette cité fut promue au rang de municipe de droit latin sous le règne de Vespasien entre 74 et 77, puis elle devint colonie romaine sous le règne de Trajan, peu avant 110 ; les habitants de la cité devenant donc tous citoyens romains : « ...avant que le droit de cité fut accordé à tous. » (Lignes 2 à 3). Sa promotion fut donc très

bêtes sauvages, vont effrayés peuples germanique qui envahissent Empire pendant 100 ans. Cours Rome  Le Colisée : (déb. travaux : 70 ap. J.-C. et inaug. 80) amphithéâtre où a lieu divers spectacles (combat de gladiateur). Construit par Flavien Vespasien et ses fils Titus et Domitien. Le Circus Maximus (Le Grand Cirque) : (VI siècle av. J.-C.) plus grand cirque de Rome. Principalement destiné aux courses de chevaux ou de chars. Construit par le Roi Tarquin l’Ancien. L’Insulae : immeubles d’habitation

basileus. On voit en Égypte dans Auguste le successeur des pharaons. Il est présenté dans le costume pharaonique. Auguste survivra à une nouvelle guerre civile en 69. En 69-70, le pouvoir va échoir à quelqu'un qui n'est pas le descendant d'Auguste : Vespasien. C'est la dynastie des Flaviens qui s'impose. I. L’œuvre de Sylla (82-81) Il a été dictateur pendant six mois. Il a tenté de stabiliser les institutions en ruinant le tribunat de la plèbe qui l'a privé de ses initiatives législatives. Sylla a doublé

Skulpturenausstattung der kaiserzeitlichen Thermenanlagen, Berlin, 1981. (FA 260 E MAN) Poulsen V., Les portraits romains. Vol. I. République et dynastie julienne, Copenhague, 1962. (FA 260 G1.1 POU 1) Poulsen V., Les portraits romains. Vol. II. De Vespasien à la Basse Antiquité, Copenhague, 1974. (FA 260 G1.1 POU 2/1-2) Rodenwaldt G., Die Kunst der Antike. Hellas und Rom, Propyläen Kunstgeschichte III, Berlin, 1927. (FA 240 B ROD) Roman Portraits, Oxford-Londres, 1945. (FA 260 G1.1 ROM) Schröder S.F

vérifie l’âge de chacun et écris-le nous. c) Copie certifiée conforme au registre des empereurs qui ont octroyé le droit de cité romaine, le divin Auguste, Tibère César Auguste, Caius César, le divin Claude, Néron, Galba, les divins Augustes Vespasien et Titus, César Domitien, les divins Augustes Nerva, Trajan Parthique, Trajan Hadrien, Hadrien Antonin le Pieux, Verus Germanique, Médique et très grand Parthique, l’empereur César Marc Aurèle Antonin Auguste Germanique et Sarmatique et l’empereur

bourreau le tue d’un coup de hache ou de couteau. Si les entrailles de la bête ont un bel aspect, on les brûle sur l’autel. Dans le cas contraire, on doit refaire un sacrifice. Au début, les Romains immolaient même des humains.65 Fresque du temple de Vespasien : sacrifice d'un taureau66 Les jeux Les jeux sont considérés comme des spectacles pour les dieux. Les premiers jeux ont été faits par Romulus pour enlever les Sabines et auraient été conçus en l’honneur du dieu Consus. C’est Tarquin l’Ancien qui

vaincus. On voit des captifs barbares. Des Parthes avec des bonnets phrygiens et des Germains avec de longs cheveux. Ils paraissent écrasés par la domination romaine. Cela témoigne de la puissance de la dynastie. ★ Arc de Titus: ! Lʼarc de Vespasien et de Titus est un arc de triomphe romain érigé à Rome commandé par Dominicien, son frère, pour commémorer la victoire de Titus sur les révoltes juives a Jérusalem en +70. Lʼarc fut consacré après la mort de Titus. Cet arc ne comporte quʼune baie

Julius Graecinus était le célèbre orateur et agronome victime de Caligula. Lui-même débuta sa carrière comme tribun militaire en Bretagne, poursuivit comme questeur en Asie (au plus tôt en 65-66), puis fut élu tribun de la plèbe et préteur. Rallié à Vespasien alors que sa mère avait été tuée par l’armée d’Othon, il est envoyé en Bretagne en qualité de légat de la XXème légion à Chester. Honoré de la dignité de patricien à l’occasion de la censure de 73-74, il fut gouverneur d’Aquitaine entre 74 et 76

entre Cologne et Bonn. Gallien concentra en 257-258, une forte armée à Mayence, libéra la Vettéravie et les champs décumates et fortifia de nouveau les castella danubiens, mais en ramenant la ligne de défense sur le Danube même comme au temps de Vespasien. Il semble avoir en 258, transféré son quartier général à Cologne contre les Frnacs, renforça la frontière qu'il confia au moment de partir pour la Pannonie, contre Ingénuus à son fils Saloninus que devaient protéger les généraux Silvanus et surtout