Vérisme

de parler de musique avec voix. La production est éclectique. Elle peut se répartir selon des grands courants esthétiques plus ou moins importants, comme par exemple : Le Réalisme au début du siècle; principaux représentants : Bruneau, Milhaud. Le Vérisme : mouvement italien parallèle au réalisme Français principalement représenté par Mascagni. L’Expressionnisme : mouvement caractérisé par l’exagération des sentiments, est représenté par Bartok avec « Le Mandarin merveilleux » écrit en 1919; et surtout

provenant du temple d'Hercules à Tivoli (c. 75-50 av. J.-C.) ou les statues-portraits en style hellénistique commandé par des colons romains à Délos (cf. le pseudo athlète) sont également des bons exemples. Ce goût des Romains pour le réalisme (le ‘vérisme’) s'est développé en lien étroit avec les pratiques funéraires et les coutumes des ancêtres. Ainsi, un homme en toge [004868] (fin du 1er s. av. J.-C.) porte encore les portraits de ses ancêtres mais on conserve également de la même période une série

». Le génie  de Houdon est dans cette faculté de saisir le personnage en entier, au‐delà de la  transcription mimétique des traits.    La galerie de portraits de Houdon, par son ampleur et sa diversité, inégalée au  XVIIIe siècle, décrit avec un vérisme exceptionnel des individus avec leurs caractères,  mais aussi des conditions.      *Houdon, Madame Houdon, buste, plâtre original, sur piédouche, H. totale ;  0,616m, Paris, musée du Louvre     53 Lors de sa présentation au Salon de 1787, ce buste fut commenté  ainsi : « Sa tête 

bonne ou la mauvaise mémoire et si la mémoire est complètement, et elle seule, responsable de tout ce qui concerne les souvenirs et les expériences déjà vécues et leur évocation ou bien si c’est l’inconscient qui intervient. 2- La vérité ou le "Vérisme": La vérité, dans le récit d'enfance, est une notion fortement liée à la subjectivité puisqu'il n'y a aucune possibilité de vérifier ces souvenirs, ou de mettre à l'épreuve le fonctionnement de la mémoire. 3- Le conflit entre, d'une part, l'accumulation

composition, caractères, expression, si familiers dans ma bouche, si vagues dans mon esprit, se sont fixés. C'est l'expérience concrète des couleurs et des formes qu'il a trouvé dans la peinture de Chardin qui a donné à Diderot la tentation du "vérisme dans son théâtre et le drame bourgois qu'il invente". Voyons comment il évoque l'art du grand Chardin dans le Salon de 1763 : O Chardin! ce n'est pas du blanc, du rouge, du noir que tu broies sur ta palette: c'est la substance même des objets,

au soleil. Commentaire C’était une oeuvre de commande. Valéry écrivit le livret en vers libres pour le musicien Arthur Honegger et la danseuse Ida Rubinstein. Il y reprit le thème qu’il avait déjà traité dans ‘’Air de Sémiramis’’. Ennemi du vérisme spécieux des opéras du XIXe siècle, il a cédé à cet orientalisme fit la réputation de Gustave Moreau dans ce qu’il appelait lui-même une «antiquaillerie avec mimes, danses, chants et orchestre». Mais l’œuvre est importante parce qu’il a dessiné son

sorte d’intermède et est donc abordée de manière un peu différente. Elles portent respectivement sur une approche de la presse italienne et du théâtre. Séquence VIII Enfin, la dernière séquence aborde des sujets d’ordre culturel ; ‘romantisme’ et ‘vérisme’ y sont évoqués. ̈ ̈ ̈ ᕢ Les séquences Commençons par les séquences type I, II, III, V et VI. Chacune d’elle est découpée en sept parties A, B, C, D, E, F, G. Le devoir correspondant à chacune des séquences vous amènera (sauf exception qui vous

dans le roman, mais il faut que l'écrivain ait la précaution et le talent de rendre tout naturel par le soin avec lequel il crée le milieu et prépare les événements au moyen des circonstances environnantes. » On s'éloigne, me semble-t-il, de tout vérisme anecdotique, aussi bien que de ces vérités moyennes dont parle ailleurs Maupassant. Les mots clefs sont mise en scène et atmosphère. Peu importe, ici, la vraisemblance initiale des faits et des personnages. Peu importe même leur possibilité. L'art

l’Ascension et de la rue de Kazan, le restaurant où Svidrigaïlov a son entretien avec Raskolnikov257. Cet extrême réalisme topographique surprend : cent ans après, il est encore possible d’en vérifier la réalité. Cette précision se double d’un vérisme historique et social. L’été 1865 pendant lequel se déroule l’action fut d’une chaleur insupportable, comme cela est rapporté dans le roman. Le journal La Feuille pétersbourgeoise décrit ainsi le mois de juillet 1865 dans la capitale impériale : La

l’Ascension et de la rue de Kazan, le restaurant où Svidrigaïlov a son entretien avec Raskolnikov257. Cet extrême réalisme topographique surprend : cent ans après, il est encore possible d’en vérifier la réalité. Cette précision se double d’un vérisme historique et social. L’été 1865 pendant lequel se déroule l’action fut d’une chaleur insupportable, comme cela est rapporté dans le roman. Le journal La Feuille pétersbourgeoise décrit ainsi le mois de juillet 1865 dans la capitale impériale :