Vêpres

des voix éloignées qui chantent sur un ton lugubre. VOIX au dehors. Sanctum et terribile nomen ejus. Initium sapientiæ timor domini. JEPPO. riant de plus belle. Écoutez, messieurs ! — Corbacque ! Pendant que nous chantons à boire, l’écho chante vêpres. TOUS. Écoutons. VOIX au-dehors, un peu plus rapprochées. Nisi Dominius custodierot civitatem, frustra vigilat qui custodit eam. Tous éclatent de rire. JEPPO. Du plain-chant tout pur. Oeuvre du Domaine public – Version retraitée par Libre Théâtre

l'auditeur sur la base de termes tels que : - objectifs et étendue des travaux, - utilisation prévue desdits travaux, - conditions d'accès aux informations, - communication des hypothèses et méthodes utilisées. L uiu pur dm ne dspéios u l poéue m ss nœ vepr ' d er or e adr e r s n sre rcdr i e ur a a t a ci s s e l'expert et examiner les données utilisées dans le cadre de ses travaux. En tout état de cause, l'auditeur reste seul responsable de l'expression de son opinion en fin de mission.

CHAPITRE II - PETIT OFFICE DU SAINT-ESPRIT………………………. I- OFFICE DU MATIN (LAUDES)………………………………………… II - OFFICE DU MILIEU DU JOUR……………………………………….. III- OFFICE DU SOIR (VÊPRES)………………………………………….. IV - OFFICE AVANT LE REPOS DE LA NUIT…………………………. CHAPITRE III : PRIÈRES ET LECTURES CONSEILLÉES……………. I - BRÈVE CATÉCHÈSE SUR L’ESPRIT-SAINT……………… A -

le coude Vous devriez acheter çà vous qu’êtes riche dit elle Ça vous tiendrait compagnie il vaut plus de trente francs c’t oiseau là Vous le revendrez toujours ben vingt à vingt cinq Quatre francs mesdames quatre francs répétait l’homme Il chante vêpres et prêche comme M le curé C’est un phénomène un miracle La Patin ajouta cinquante centimes et on lui remit dans une petite cage la bête au nez crochu qu’elle emporta » 2. Écrivez le mot entre parenthèses en utilisant l’apostrophe si elle s’impose

seront à J'estaminet, en face de l'église, jusqu'à midi. Si vous n'étiez point venus, y s'ront à vous attendre chez Labusette, au Pot cTor, C'est les fils à jusqu'à deux heures. Après quoi, si vous n'étiez point venus, y s'ront à la sortie des vêpres. Après quoi, si vous n'étiez point venus, y s'ront à II sortie sur la grand' route à jouer au bouchon jusqu'à six heures. Après quoi y-z-iront partout vous chercher dans 1' vil- pour vous arracher les oreilles. Et si vous amenez le Crollé, moi j'

sur le marché de l’emploi, surtout dans les périodes de crise. Ainsi, les manifestations d’hostilité à l’encontre des travailleurs étrangers se multiplient à Marseille au cours des années 1880, notamment après la chasse à l’homme tragique des « Vêpres marseillaises » en juin 1881 qui a pour conséquence le départ de milliers d’Italiens. Ces derniers, qui avaient massivement investi le secteur du port, 34 deviennent la cible de nombreuses pétitions, grèves, intimidations et rixes à répétition

pour leurs maris, les bourgeoises le redoutaient pour leurs bonnes, parce que la cuisinière de M. le sous-préfet y avait été surprise; et c'était, bien entendu, l'obsession secrète de tous les adolescents. Or, un dimanche, pendant qu'on était aux vêpres, Frédéric et Deslauriers, s'étant fait préalablement friser, cueillirent des fleurs dans le jardin de Mme Moreau, puis sortirent par la porte des champs, et, après un grand détour dans les vignes, revinrent par la Pêcherie et se glissèrent chez la

le « maudit français moderne » (OC I, p. 402), « l'affreux lagage contemporain » (OC I, p. 860) sont des expressions courantes à propos du langage « fin de siècle » et Verlaine semble en effet regretter un état de langue désormais perdu : « Eté «à Vêpres» comme disaient et écrivaient de bonnes gens, du temps qu'il y avait encore de bonnes gens et qu'on disait et écrivait bien» (lettre à Cazals du 26 août 1889). Historiquement, ce ne sont ni le XVIIIe, ni surtout le XVIe siècles («Ronsard... encore

britanniques occupent cette ville. Il se forme alors un comité national dans la ville qui proclame l’italianité de Fiume au nom du droit des peuples de disposer d’eux-mêmes. Des tensions existent et fin juin 1919, la population italienne, lors des « vêpres fiumaines », fait la chasse aux soldats français accusés d’être alliés des croates. Les alliés invitent alors les italiens à éloigner de la ville une unité, les grenadiers de Sardaigne, qu’on juge responsable de ce mouvement. Or, les officiers de

gouvernaient notre pensionnat. Par une astuce de règlement, le père Pons faisait en sorte que nous respections le shabbat : le repos était obligatoire le samedi. Nous ne pouvions rédiger nos devoirs et apprendre nos leçons que le dimanche, après les vêpres. — Pour les juifs, la semaine démarre le dimanche, pour les chrétiens le lundi. — Comment ça se fait, mon père ? — Dans la Bible – que doivent lire autant les juifs que les chrétiens – il est dit que Dieu, lorsqu’il créa le monde, œuvra six jours