V2

Débit Qv1 Qv2 = Qv1 Qv1 = Qv2 ⇔ V1S1 = V2S2 S1 S2 V1S1 = V2S2 ⇔ V2 = V1 16 Mécanique des Fluides 4. Relation de Bernoulli 4.1 Observations Chapitre III Bernoulli 17 Mécanique des Fluides 4.2 Théorème de Bernoulli (1738) Chapitre III Bernoulli pour un écoulement permanent d’un fluide parfait incompressible z 1 2 pM + ρgz M + ρVM = Cte 2 [Pa] = [J.m- 3] V1 z1 z2 V2 traduit la conservation de l’énergie mécanique totale 18 1 1 2 2 p1 + ρgz1

u U=V v2 2π π 0 VD1 Tension maximale supportée par la diode : i    VDmax = 2V√2 D2 D2 passante D1 passante Redresseur triphasé Schéma de montage P3 VD1 D1 v1 D2 v2 D3 v3 1, 2 et 3 Grandeurs caractéristiques Valeur moyenne de u : u VD1 umoy = 3√3 V√2/2π v1 v1 U=V√[1 +(sin2π/3) / 2 π/3] 0 u Tension maximale supportée par la diode : VDmax = √3.V√2 R Grandeurs caractéristiques v1 v2 u R v3

Allemands : rime entre « crosse » (v3) et « féroce » (v2) > insiste sur la cruauté et la férocité des allemands hyperbole « surenchérir l'enfer » (v2) + préfixe « sur » (v2) + absence de ponctuation > rythme où tout s'enchaîne et rien ne s'arrête > les allemands sont sans pitié 3 alexandrins suivis d'un vers de 3 syllabes > combat inégal entre la petite fille et les allemands acharnés, de plus, ceci met en valeur la cible du poète : les allemands « enfer » (v2) > met en valeur le diable et la cruauté des

aucune source de tension. Nous présentons la théorie 70 2 • Les réseaux linéaires en régime statique appliquée à l’exemple du circuit de la figure 2.22 qui comporte B (B = 8) branches et N (N = 5) nœuds. V8 R8 R2 A R4 B V2 V1 R6 C V6 V4 R3 V3 D R5 V5 R7 V7 I1 M M M M Figure 2.22 Exemple de circuit avec sources de courants. Supposons que l’on choisisse le potentiel du nœud M comme référence. Les potentiels des nœuds A

Cu(s) |On voit que xmax = C2.V2 et de plus on voit que n(e–) = 2xmax = 2× C2×V2 | | |Or la charge électrique est égale : Q = n(e–).NA.e donc Q = 2xmax.NA.e = 2 C2.V2.NA.e | | |Q = 2(1,0(0,100(6,02.1023(1,6.10-19 = 1,9.104 C | |C2×V2 |0 |nCu init |

évolution depuis un état d’équilibre initial noté 1 et un état d’équilibre final noté 2. Ici, W12 = /12 – pext.dV = - pext * /12 dV = - pext ( V2 - V1) Etat initial = Etat d’équilibre  pext = psyst = p1 Etat final = Etat d’équilibre  pext = psyst = p2 D’où W12 = - p2.V2 + p1.V1 Ensuite, ∆U12 = W12 + Q12  U2 - U1 = p1.V1 - p2.V2 + Q12  ( U2 + p2.V2 ) – ( U1 + p1.V1 ) = Q12  ∆H12 = Q12 II) Grandeurs de réaction 1) Définitions Cas général : H dépend de T, p, avancement

d’information capable de gérer les opérations de suivi de traitements machine (nettoyage, vérification, change filtre,...). Après étude et analyse de ce système on vous propose la base de données suivante : Dossier 1 (6 pts) Epreuve : Pratique – V2-3 Barème : /20 pts V2-3 1/5 Travail à faire : www.ofppt-examen.blogspot.com Enregistrer sur un fichier texte qui porte le nom « dossier1.txt » les requêtes SQL qui répondent aux questions suivantes. 1. Elaborer les requêtes SQL pour la création des

en mer Contexte = jeu des rimes v2/4 + champ lexical maritime Evocation du lieu : 1èr Q : plan d’ensemble 2ème Q : plan rapproché 3ème Q : confrontation A/marins  Les acteurs : marins très peu décrits mais + la communauté (« les hommes ») = indifférenciés (« l’un, l’autre ») , définis par le monde auquel ils appartiennent «(« le monde des planches ») peints en action (verbes de mouvement + v2/11/12) caractérisé par un terme

perfusés, tels la peau, le tissu adipeux, le muscle et les os par un compartiment 2 (V2); pour simplifier plus la discussion, nous allons imaginer que le médicament est administré par voie intraveineuse (Figure 16). Figure 16. Influence du volume de distribution d’un médicament sur les concentrations plasmatiques du médicament. V2’>V2>V2’’ V2’ témoin V1 C1 kel dE = C1 kel dt V2 ↑ V2 C2 V2 ↓ Temps V2’’ Suite à la pénétration dans le sang, le médicament se distribue très rapidement

pour repérer les variables de l’espace cartésien. – Nous utiliserons aussi la convention de sommation d’Einstein : quand le même indice est ∂vj ∂vj ∧ = v1 · + répété dans un produit, cela signifie que l’on somme tous les indices : vi · ∂xi ∂x1 ∂vj ∂vj v2 · + v3 · . Notez qu’ici on ne somme que sur l’indice i, car l’indice j n’est pas répété ∂x2 ∂x3 et vaut 1, 2 ou 3. C’est une convention dont le seul avantage est de simplifier l’écriture des équations, et donc d’en améliorer la lisibilité (pourvu qu’on