Utilitarisme Marginalisme

Introduction Comment peut-on évaluer la moralité d’une action? D’abord par définition, la morale est la nature du bien, elle se rapporte à la conduite l’homme envers autrui, lui-même et la société. C’est grâce à cette morale, que l’on peut savoir si notre action ou conduite est bonne ou mauvaise. Et l’action se définit par les actes et les agissements. Mais comment peut-on juger notre action si elle est bonne ou mauvaise? Comment peut-on savoir si notre action est qualifiée de morale? Pour répondre

Éthique et justice Aujourd’hui, la justice agit en fonction d’un code légal, dont l’ensemble de la population est soumis. Celle-ci ne peut remettre en question cette institution. Pourtant la population a le droit de pouvoir s’interroger sur son propre système judiciaire, car il est question ici de sa propre sécurité et aussi de son droit personnel d’être au courant de la manière dont celle-ci fonctionne. Bien évidemment, pour bien des gens le droit est très flou. La justice s’oppose bien souvent

l’information sont les éléments qui sont en conflit dans cette situation. Alors comment et pourquoi faudrait-il instaurer ce répertoire. Application de l’utilitarisme L’éthique est partout et je justifierai mon raisonnement avec la théorie utilitarisme. Selon cette doctrine, une action est juste s’il en résulte de bonnes conséquences. Si on applique la pensée de Bentham à la question sur le bien fondé du registre au Québec, il faut utiliser les 7 dimensions du plaisir et comprendre que l‘instauration

« On peut dire d’une action qu’elle est conforme au principe d’utilité ou plus simplement qu’elle est utile (relativement à la société en général) lorsque sa tendance à accroître le bonheur de la société est supérieure à ce qui la diminue. On dira d’une action gouvernementale (qui n’est qu’un cas d’action accomplie par une ou plusieurs personnes) qu’elle est conforme ou commandée par le principe d’utilité, lorsque de la même façon, sa tendance à augmenter le bonheur de la société est supérieure à

Rappel : Paix perpétuelle : a engendré toute une problématique qui avec l’avènement de la mondialisation a tendance à s’accélérer. Héritage de Kant : * Doctrine du droit universel : droit fondamental lié à la dignité humaine qui selon lui se situe au dessus des états. * Conception Kantienne du contractualisme : selon lui, le contrat social n’est pas un événement mais un mécanisme de représentation utilisé pour réfléchir sur la politique. * Critique du naturalisme * Principe

References and concepts of the Utilitarianism Reference: JS Mill was inspired by Bentham for his theory. Jeremy Bentham was born in 15 February 1748. He was an English jurist, philosopher, and legal and social reformer. For him the utilitarianism was "the greatest happiness or greatest felicity principle". Utility, the good to be maximized, has been defined as happiness or pleasure (versus suffering or pain), although preference utilitarians define it as the satisfaction of preferences. It may

empiété sur le bonheur d’autruit. Un homme ne peut donc pas devenir opportuniste et ainsi trouver son bonheur dans le malheur des autres ou en utilisant l’homme comme un moyen. Bref, pour les utilitarismes, l’action est morale si les conséquences le sont aussi. Donc pour assurer son bonheur, les utilitarismes contrairement à Kant nous suggère de succomber à nos inclinaisons. Pour ma part, je suis en faveur de Kant car je crois que le bonheur est trop complexe car losqu’on crois enfin être heureux

Comment arriver à trancher entre trois enfants quand l’acquisition d’une flûte est en jeu Dissertation philosophique présentée à Cuauhtémoc Aviles 12 décembre 2010 Cégep du Vieux Montréal La philosophie guide les hommes à travers leurs réflexions en offrant des modèles de pensées qui se répondent mutuellement. Ces modèles, proposés par des philosophes, marquent notre histoire. Parfois, les philosophes posent des problématiques complexes nécessitant de longues périodes

L'utilitarisme est donc un conséquentialisme eudémoniste. Cependant cette définition minimale du principe d'utilité ne doit pas masquer les nombreuses différences existantes entre les systèmes utilitaristes: utilitarisme hédoniste, utilitarisme indirect, utilitarisme de l'acte contre utilitarisme des préférences, etc. Ce sont avant tout Jeremy Bentham (1748-1832) et John Stuart Mill (1806-1873) qui ont donné une forme systématique au principe d'utilité et ont entrepris de l'appliquer à des questions

Se demander si être heureux est un devoir, c’est s’interroger sur la nature de ce qui nous porte à chercher le bonheur, à supposer que nous le cherchions. A priori, on aurait tendance à opposer le devoir, pensé comme contraignant ou, d’autre part, désintéressé, au bonheur, associé à l’idée d’une spontanéité égoïste. Pourtant, il semble bien que le bonheur fasse l’objet, tout au moins, d’un impératif social, et que le malheur fasse l’objet, lui, d’une négation : qu’on le cache, ou qu’on entende