Usine de retraitement de la Hague

actuelle Il y a en France 24 sites nucléaires regroupant 55 réacteurs (qui fournissent 75% de notre électricité) soit 1 réacteur par million d’habitants ce qui est la plus forte proportion mondiale. Nous avons une usine de retraitement des déchets radioactifs (située à La Hague). Pour finir, nous avons un surgénérateur (Superphénix) située à Creys Malville.   c) Inconvénients Le plus important concerne les risques liés à la radioactivité. Invisible, inodore, impalpable, celle-ci est un

l’international. L’Oréal, l’industrie du luxe à la conquête du monde Spécialité française et parisienne, mais les entreprises de luxe sont celles qui se mondialisent le plus. Leader mondial du marché des cosmétiques, fortune de Liliane Bettencourt. Usine très moderne d’Aulnay-sous-Bois au nord de Paris, chaînes de production sont automatisées. Lieux de production essentiellement en France et dans pays développés (Espagne, Canada, Etats-Unis…). Groupe fondé sur une dizaine de marques mondialement connues

qu’elle va tout d’abord explorer les mines pour extraire de l’uranium, puis produire et enrichir le combustible, le traiter ou le recycler jusqu’à assainir et démanteler les installations. Elle a aussi plusieurs sites en France dont : Une usine de retraitement à La Hague 3 sites nucléaires à Marcoule, Cadarache et Pierrelatte Un centre de recherche à Cadarache Et des filiales : CFMM (Compagnie Française de Mines et Métaux) Euriware (informatique) Eurodif (enrichissement) STMI (Société des Techniques

Jusqu’à juin 2012, deux procédés différents étaient utilisés pour l’enrichissement. Areva, qui utilisait jusque là principalement la diffusion gazeuse, utilise la technologie de centrifugation dans sa nouvelle usine Georges-Besse II sur le Site nucléaire du Tricastin. La mise en service de cette usine est réalisée par étapes : en 2011 se sont déroulés la mise en production de la première cascade de centrifugeuses de l’unité sud et la production des premières Unités de Travail de Séparation (UTS) commerciales

le monde. La plus grande est en France et elle géré par Areva. Entreprise | Plant | Pays | Capacité de traitement (tonnes/an) | Areva | La Hague | France | 1.700 | British Nuclear Group, de BNFL | Sellafield | Royaume-Uni | 900 | État Russe | Complexe Nucléaire Maïak | Russie | 400 | Japan Nuclear Fuels Conversion Company | Usine de retraitement de Tokai | Japon | 14 | D. Energies renouvelables * La société danoise Vestas Wind Systems A/S  est le plus grand fabricant d'éoliennes au

été de fermer son usine de Sellafield, laissant à Areva la totalité du marché du MOX (mixed oxides). La France est aujourd'hui le seul pays au monde à en produire. La politique de la France est justifiée officiellement par le modèle dit du « cycle fermé », selon lequel les combustibles utilisés par les centrales françaises seraient traités puis recyclés pour être réutilisés par l'électricien. Ces opérations présentées comme du recyclage ont lieu dans les usines d'Areva à la Hague (Manche), qui emploie

production d’électricité. De plus, la France est capable de faire fonctionner ces réacteurs sans l’aide d’autres Etats, car elle possède sur son territoire des usines d’enrichissement de l’uranium 235, ainsi que des usines de retraitement des déchets, comme à la Hague, par exemple, et d’enfouissement des déchets radioactifs. [pic] Répartition des différentes installations liées au nucléaire, en France. Pour débuter notre dossier, nous allons essayer de comprendre comment une réaction nucléaire

de désactivation dans le bâtiment combustible. Ils y seront entreposés pour un séjour minimum d’un an pendant lequel ils perdront une partie de leur activité. Ils sont ensuite transportés à une usine de retraitement (en France, La Hague). Dans cette usine le combustible usé peut alors subir un retraitement qui permettra de recycler 96% des produits de fission. Les 4% restants sont des déchets ultimes qui sont vitrifiés et entreposés. La radioactivité émise par une centrale nucléaire est

produits au cours d'un cycle de production (récupération des gaz du gueulard du haut-fourneau par exemple). Le recyclage nécessite des opérations préalables de récupération et de transport des produits usés, entre le lieu de la collecte et le lieu de retraitement, qui entraînent souvent des coûts élevés. Or, si les produits radioactifs, par exemple, peuvent économiquement supporter des frais de transport élevés, il en va tout autrement quand il s'agit de produits de faible valeur tels que les vieux papiers

professionnels de l’assurance, a longtemps été perçu sous des angles préventifs mais aussi selon les perspectives de la réparation et de l’indemnisation des préjudices subis. Probables, les risques deviennent un jour des réalités. L’explosion de toute usine chimique est un risque. L’explosion de l’usine AZF à Toulouse est aujourd’hui, un fait. Il est illusoire d’agir pour parvenir à une survenance possible d’un risque proche de zéro. Pour une entreprise, le coût de cette quête serait très probablement