Union syndicale Solidaires

contexte de vives tensions sociales, la création d’une Confédération chrétienne française s’impose pour faire face au «danger révolutionnaire bolchevique», selon l'expression de l'époque, et donner aux Français une place éminente dans l’Internationale Syndicale Catholique alors en gestation. Il s'agit aussi d'accueillir 21 000 syndiqués catholiques et protestants de l’Alsace-Lorraine retrouvée. Le congrès de création de la Confédération française des travailleurs chrétiens (CFTC) se tient à Paris en novem¬bre

pour éviter de trop dépendre des fonds institutionnels. Ainsi depuis 2004 Handicap International a mis en place un commerce solidaire et équitable en promouvant l’exportation de noix de cajou produites au Sénégal. L’association a aussi lancé des processus de parrainages d’enfants qui est l’une des modalités les plus rentables de la collecte de fonds. CONFEDERATION SYNDICALE DES FAMILLES A la fin de la seconde guerre mondiale, des familles ouvrières décidèrent de se regrouper et de s’organiser

L'histoire du droit du travail débute avec la Révolution française. Elle est liée à l'évolution du mouvement syndical ouvrier. 1789-1895 : AVANT LA NAISSANCE DU MOUVEMENT SYNDICAL Révolution française : fondements juridiques du capitalisme La révolution française marque le passage du féodalisme au capitalisme. La bourgeoisie a besoin de " révolutionner " les rapports sociaux pour assurer son développement et sa suprématie. La Révolution crée alors les bases juridiques du capitalisme

grévistes et recruter des informateurs parmi les permanents syndicaux pour anticiper le déploiement des piquets volants. Ian McGregor, américain réputé pour son intolérance aux grèves, a été nommé à la Direction des Charbonnages pour dissuader toute tentative de grève. Mais Thatcher n’est pas encore prête à affronter les mineurs qui, en 1981, portent à la tête du National Union of Mineworkers (NUM) Arthur Scargill, leader de la « gauche » syndicale. Cette année-là, le gouvernement doit reculer face aux

dispositions juridiques et conventionnelles : • reconnaissance du droit syndical dans l’entreprise • élection des délégués ouvriers • mise en place des conventions collectives • semaine de 40 heures • création de congés payés En 1968, du 14 mai à la mi-juin, on assiste à des occupations massives de sites mais, à l’inverse de 1936, le mouvement est basiste, contestant alors l’autorité des directions syndicales. Les acquis juridiques obtenus durant cette période sont nombreux :

travail »3. Enfin, le préambule de la Constitution du 27 octobre 1946 repris par celui de la Constitution du 4 octobre 1958 proclame que « tout homme peut défendre ses droits et ses intérêts par l’action syndicale et adhérer au syndicat de son choix »4. Aujourd’hui, il y a cinq confédérations syndicales qui sont reconnues représentatives au niveau national en France. Ce sont la CGT (Confédération Générale du Travail), la CGT-FO (Force ouvrière), la CFDT (Confédération Française Démocratique du Travail)

départements. Un succès considérable à une époque où n'existe aucune force syndicale ou politique organisée. LIGUE DE L’ENSEIGNEMENT : UN MOUVEMENT D’EDUCATION POPULAIRE La Ligue de l'enseignement est un mouvement d'éducation populaire, elle invite les citoyens à s'associer dans la lutte contre les inégalités, à débattre et à être acteurs dans la cité afin de construire une société plus juste, plus libre et plus solidaire visant à l'émancipation de tous. Pour ce faire, la Ligue de l'enseignement

du Développement à Genève. Email : Isabelle.Hillenkamp@iued.unige.ch Une thèse sur « l’économie solidaire au Sud » « L’économie solidaire au Sud : le cas de la ville solidaire d’El Alto (Bolivie) », sous la codirection d’Isabelle Milbert, politologue, professeure à l’IUED et de Jean-Michel Servet, économiste, professeur à l’IUED. Quel sens recouvre la notion d’économie solidaire dans les pays du Sud dits « en développement » ? À quel type de pratiques de production, d’échange ou de financement

qu’y ont joué les différents organismes dans lesquels l’auteur s’est impliqué. La première partie, « agriculteur d’une génération à l’autre et implications syndicales », expose ainsi les conditions de son implantation en agriculture et la mise en place des principaux organismes d’encadrement agricole (Union catholique des agriculteurs, Union des producteurs agricoles) Dans la seconde partie, portant sur « la ressource forestière : un complément essentiel à l’agriculture », l’auteur, président

progressivement et durablement reconnues par les pouvoirs publics : suppression du délit de coalition et reconnaissance partielle du droit de grève sous le Second Empire, Loi de 1867 sur les sociétés commerciales coopératives, reconnaissance de la liberté syndicale en 1884, Charte de la Mutualité en 1898, « Palais de l’économie sociale » à l’Exposition Universelle de 1900, Loi du 1er juillet 1901 sur la liberté d’association, apparition des premières mutuelles d’assurance dans l’Entre-deux-guerres… Si les composantes