Une Parisienne

des articles déjà publiés des concurrents. Il était le 1er à inclure des réclames, qui permettait de réduire les couts. Publié a 22000 exemplaires. Le petit journal 1863 créé par Millaud, prix de vente 5 centimes, 1 000000 d’exemplaires Le petit parisien en 1876, 1,5 millions d’exemplaires La gazette de Renaudot en 1631 A Londres le daily universal en 1785 1889 le wallstreet journal a NY Le time en 1923 La radio : Média le plus répondu, + de 99% des français possèdent un récepteur et 83%

retour, idéalisait la presse. Il fallut très vite déchanter. Les désillusions, plus nombreuses d’année en année, ont pris le pas sur cet espoir que les journaux avaient fait naître. Un siècle après que le journal qui s’appelait alors le Petit Parisien, né en 1876, était devenu, avant 1914, le plus grand journal du monde, avec un million et demi d’exemplaires vendus chaque jour, après un demi siècle d’une télévision omniprésente, alors que les grands quotidiens sont pris en tenailles entre les

1) L’âge d’or de la presse française. doc 2 p 160: a- fin 19° siècle, presse française vit un véritable âge d’or. Avant WW1, ≈ 300 quotidiens, ≈ 10M d’exemplaires, ≈ 6000 journalistes. Quotidiens les + populaires (Le petit journal et Le petit parisien) tirent ensemble à 2,5M d’exemplaires / jour (en 2011, 20 minutes tirait à 870 000 exemplaires). Presse devient donc média de masse. b- Cette situation s’explique par: - Evolut° techniques → industrialisat° de product° (rotative depuis 1872 et linotype

Fin XIXème : Importants progrès techniques (rotatives + train) Début XXème : Français  1er lecteurs de journaux au monde (+10 millions d’exemplaires vendus) Différents types de journaux : Pas d’opinion publique (Ex : Le petit journal, Le petit parisien ) Qui affichent leur opinion publique (avec des éditoriaux : prise de position) (Ex : L’humanité  J. Jaurès, parti socialiste) b) Les entorses à la liberté de la presse. Censure très courante tout le long du XIXème siècle (loi sur les droits de

– pk 346,00) est de 78 650 km², soit 14 % de la superficie nationale (Guezennec et al, 1999). Figure 1. Carte du bassin versant de la Seine (Dupont, 2001) b. La géologie Les méandres du fleuve s’inscrivent dans la bordure ouest du Bassin Parisien (figure 2). Le fleuve correspond à la limite le sud du Pays de Caux (Bessineton et al, 1996) . Le bassin versant continental de la Seine et de ses affluents draine une grande partie du bassin de Paris, formé de terrains crayeux datés du Crétacé.

proches de la majorité radicale soutenaient l'initiative parlementaire. Le Matin titrait son editorial du 23 novembre «Pas assez payés» et, pour répondre aux critiques, dressait bientôt un tableau de «la misère du député»^. L'éditorialiste du Petit Parisien demandait «l'indulgence du public»**. Chaque quotidien se sentait sommé de réagir. Dans le même temps, la campagne de La Libre Parole était aussi une entreprise de pression sur les parlementaires. La Libre Parole ne s'était pas contentée de jeter

Décrochement par le Grand sillon houiller de la faille du Nort sur Erdre, se prolonge par la faille de Lalaye-Lubine dans la Foret Noire = zone de suture sud. La zone de suture nord passerait en Manche, grand décrochement très ancien dans le bassin parisien : faille de Braye. Se branche sur une grande faille qui passe par le bord sud du schiste rhénan et se prolonge toujours plus vers le Nord Est. Structure nord : Anomalie magmatique sous la Manche : roches basique. Elle serait décalé par la

Tradition des Tableaux de Paris. Allégorisation de la ville La section « Tableaux parisiens » des Fleurs du Mal regroupe dix-huit « tableaux » liés comme le souligne Ross Chambers, à un contexte qui est la ville de Paris, la « parisianité » de ces tableaux étant donnée ainsi comme la source de leur signification. Mais « la notion de Paris qui est pertinente n’est pas une idée spatiale, mais un concept discursif. Paris n’est pas un lieu, par exemple la capitale de la France sous le Second

la première fois en 1928. En effet, les planches de Mickey sont ponctuellement publiées dans les quotidiens nationaux. En 1930, Paul Winkler, responsable de l’agence Opéra Mundi propose une collaboration régulière aux journaux français, le Petit Parisien accepte de publier chaque jour les aventures de la souris américaine. En 1931, Hachette s’associe à Opera Mundi pour créer un recueil des parutions qui s’intitule Les Aventures de Mickey. C’est la première compilation créée pour le personnage. En

journalistes à l’occasion. • Les plus fortes ventes sont réalisées par des quotidiens populaires mais difficiles à classer politiquement (adoptent des positions mesurées pour ne pas heurter le lectorat), comme Le Petit Journal ou Le Petit Parisien (cf p.121 diffusion du Petit Parisien). • Mais des journaux d’opinion émergent également, comme le quotidien radical L’Aurore, Le Figaro, de centre-droit, L’Action française, d’extrême-droite, etc. le citoyen a dorénavant les moyens de lire le journal pour se forger