Une nuit sur le mont Chauve

: une déchirure dans la toge de Rufus. On nous décrit l'agitation de la rue marchande, la Rue Large, où se trouve la salle de classe. Mucius aperçoit dans la rue l'ex-consul Tellus qui fait écarter les passants par des coups de bâton. Alors que la nuit tombe, le jeune Rufus est toujours assis sur le tonneau à l'extérieur de la salle de classe et soudainement court en direction du Tibre, qui est à l'opposé de là où il vit. Chapitre 2 Le lendemain, le maître ainsi que Caïus et Rufus sont absents

changée en un cachot humide/ où l’Espérance, comme une chauve-souris »). ==> Le « K » est une consonne explosive dont le son souligne l’enfermement du poète. Ecoutez comme l’allitération en « k » dans le premier vers fait entendre le bruit du couvercle qui se referme sur Baudelaire. L’idée d’enfermement est quasi obsessive dans le « spleen » de Baudelaire. Des images fortes évoquent avec force cet enfermement et accablement du poète : celle de la chauve-souris se cognant contre les murs, les araignées

d’Albert Camus et de Jean-Paul Sartre, les dramaturges de l’absurde voyaient, selon le mot d’Eugène Ionesco, « l’homme comme perdu dans le monde, toutes ses actions devenant insensées, absurdes, inutiles ». Rendu célèbre par Eugène Ionesco (la Cantatrice chauve, 1951 ; Rhinocéros, 1959) et par Samuel Beckett (En attendant Godot, 1952), le théâtre de l’absurde tend à éliminer tout déterminisme logique, à nier le pouvoir de communication du langage pour le restreindre à une fonction purement ludique, et à

verdeur sur la terre. Genèse I La voyez-vous passer, la nuée au flanc noir ? Tantôt pâle, tantôt rouge et splendide à voir, Morne comme un été stérile ? On croit voir à la fois, sur le vent de la nuit, Fuir toute la fumée ardente et tout le bruit De l’embrasement d’une ville. D’où vient-elle ? des cieux, de la mer ou des monts ? Est-ce le char de feu qui porte les démons À quelque planète prochaine ? Ô terreur ! de son sein, chaos mystérieux

parviennent à la sauver. Ils attachent Quasimodo, mais l’autre homme a réussi à s’enfuir. Le gendarme avec qui la fille est montée s’appelait le capitaine Phœbus de Châteaupers. La fille s’est évanouie. V Et VI : Voir page 56 pour le résumé.VII Une nuit de noces p.57 : Gringoire pose à Esmeralda des questions du genre, si elle le veut comme mari, comme amant ou comme ami. Elle dit non pour les deux questions et pour le troisième elle dit peut-être. Elle lui demande ce que signifie le mot « Phoebus »

capitaine au même instant Fit appeler son lieutenant Lieutenant te sens-tu l'courage Dis-moi te sens-tu assez fort Pour prendre l'Anglais à son bord 3- Le lieutenant fier'z et hardi Lui répondit capitaine oui Faites monter tout l'équipage Hardis gabiers, gais matelots Faites monter tout l'monde en haut 4- Le maître donna un coup d'sifflet En haut larguez les perroquets Larguez les ris en vent arrière Laissez porter jusqu'à son bord Pour voir qui sera le plus fort 5- Vir' lof pour lof, en

La rencontre est vécue selon le principe du défilé. Un personnage immobile voit arriver vers lui un marcheur qui s’approche jusqu’à ce que les regards puissent se croiser avant que le passant ne s’éloigne dans l’autre sens. Nicolas Poussin voit « monter » un « vieillard ». Ce qu’il peut percevoir en cet instant est l’habillement du visiteur. Notons alors une focalisation interne car le personnage rencontré est vu, apprécié par le jeune peintre. Ce dernier relève de loin deux caractéristiques majeures

lui-même par l’ennui et l dégoût de la vie. Les différentes images utilisées par Baudelaire pour décrire le spleen sont exposées dans les poèmes numéro 76; 77 et 78 ; intitulés Spleen. Le spleen est caractérisé par le néant, le néant de la mort, de la nuit, de l’ennui. Tout d’abord le spleen est caractérisé par le néant de la mort qui attend et omnibule le poète. En effet dans ces trois poèmes nous retrouvons la champ lexical rattaché à la mort : « morne, cadavre, tombeau, cimetière, fosse commune, squelette

d'Amazonie, qui peut atteindre 1,80 mètre et peser 13 kilos. On trouve aussi des toucans (que l'on peut difficilement dresser) (photo ci-dessous), des aras (que l'on peut, au contraire, facilement dresser), des pécaries, sortes de cochons sauvages, des chauve-souris, et l'aigle harpie, qui fait son nid à la cime des plus grands arbres. • L'Amazonie se défriche de plus en plus, car le gouvernement donne des passerelles exploitables par les paysans. Malheureusement, ces-dernières, parfois immenses, ne

Marguerite Duras estimait, en effet, que le jeu des acteurs n'apporte rien au texte. Elle prétendait, au contraire, qu'il amoindrit sa profondeur et affaiblit la puissance de la langue. Ce qui explique pourquoi tant de metteurs en scène hésitent encore à monter ses pièces. Ainsi, le fait que certains auteurs aient jugé que leurs pièces étaient destinées uniquement à être lues, et non pas jouées, montre parfaitement la place primordiale accordée à la parole dans le théâtre. Ainsi, la parole occupe une