Une femme douce

le temps ne sont pas définis, beaucoup d'éléments non définis (apparence physique v.9, prénom v.10) : la femme est "lointaine" (v.13) => Le rêve est confus : perte de la réalité. 2) Atemporalité du poème - Les temps verbaux : - présent domine "et que j’aime et qui m’aime" (v.2) : présent de vérité générale. - ruptures v.11 et 14 avec l'emploi du passé : caractère insaisissable de la femme, présente et absente (vie/mort) - Le poème semble hors du temps : - "souvent" (v.1) : présent qui englobe

intimes alors que la statue de Velléda nous rappelle que cet amour n'était pas partagé. Dans « Mon rêve familier », Verlaine évoque une dure condition de poète meurtri par son hypersensibilité et parle de lui-même, Verlaine s'est caché derrière la femme qui lui apparait pour nous concentrer sur son soit et nous faire connaitre son drame intérieur. Dans « L'angoisse », Verlaine rit de l'homme, de la poésie et de l'antiquité le pouvoir de discernement de l'auteur a disparu, il ne sait plus faire la

+ explications sur le titre du recueil Poèmes Saturniens + Le sonnet "Mon rêve familier", extrait de la 1ère des 4 sections du recueil appelée "Mélancholia" tente de saisir l'image d'une femme, mise en scène dans un rêve récurrent. Pb : Comment Verlaine évoque la mélancolie dans ce poème ? 1) Un rêve 2)La femme 3) Le refuge du poète 1) Un rêve a)Un rêve obssédant la caractère répétitif du rêve : l'adverbe de temps "souvent"+ présent du verbe "faire" = présent d'habitude/ le déterminant démonstratif

impressionne et qui fait peur. L’auteur affirme qu’il est plus simple et plus satisfaisant d’inspirer de la peur et d’agir de la manière forte pour obtenir des résultats concluants alors qu’inspirer de l’amour implique d’agir, de gouverner de manière douce. On peut traduire l’aphorisme par : « Pour un souverain, il est mieux d’inspirer de la peur à son peuple que d’être aimé par celui-ci » Dans la suite de la dissertation je vais développer dans le sens de l’auteur en m’aidant de ses deux questions

apprend qu'une belle femme serait à l'origine de ces enlèvements. Camille, l'une des servantes de Madame de La Fayette, a entendu les voisins planifier de nouveaux crimes. Elle prévient Exupère qu'elle connait pour l'avoir croisé plusieurs fois chez Madame de La Fayette. Aidé de la police, Exupère tend un piège à la ravisseuse. Personnages • Exupère Lecoq, jeune, beau, et de bonne éducation, est le fils d'un policier. Il aime la demoiselle de compagnie de Mme de La Fayette, la douce Camille. Surnommé

visage rigide. Et il plongea l’épée. Et le roi des rois n’était pas ce bloc d’airain et de fer qu’il imaginait, c’était une douce chair, facile à transpercer comme l’agneau ; il y alla trop fort, l’épée entailla la dalle. Les assassins ont tort de blesser le marbre, il a sa rancune : c’est à cette entaille que moi j’ai deviné le crime. Alors il cessa de lutter ; entre cette femme de plus en plus laide et cet homme de plus en plus beau, il se laissa aller ; la mort a ceci de bon qu’on peut se confier

amours innocents, L'homme en est l'étincelle, Les amours innocents, La femme en est l'encens. Couchez-vous sur la mousse Dans le beau mois de mai ; Dans le beau mois de mai, La chose la plus douce Dans le beau mois de mai C'est quand on est aimé. Parcourez les charmilles, Les sources, les buissons, Les sources, les buissons ; Autour des jeunes filles, Les sources, les buissons Chanteront des chansons. Sitôt qu'une femme aime, Au fond de son esprit, Au fond de son esprit Brille l'aube elle-même

mais irréalisé jusqu'à aujourd'hui. La description des lieux se fait a travers un lexique mélioratif. Le refrain énumère les qualités de ce lieu parfait souligné par la negation « ne....... que » et l'adverbe « tout ». Cette forme du poème dégage une douce harmonie qui favorise le rêve. Le poème est composée de 3 strophes de 12 vers suivie d'un refrain ce qui fait effet d'allongement et de fluidité. Le refrain donne au poème l'aspect d'une chanson tendre: Cela renforce cette impression d'apaisement.

musique est le reflet, harmonieuse et douce, familière par ses échos et ses répétitions. - mais cette apparente continuité est perturbée par des éléments dissonants : à la musique se mêle le bruit (“bat”, “coassante”-> induit l’ID de cacophonie) et le rire qui est irruption déréglée et qui marque une rupture par l’absence de rythme organisé : le rire est “éclat” ou “moquerie”, il brise le rythme. La dissonance est créée par l’effet d’alternance entre chanson douce, murmure (notion de fluidité), et

Par1e  1  Dénota)on • deux  personnages,  une  femme  et  un  enfant,  dans  une  cuisine • les  personnages  sont  roux • ils   sont   dans   une   cuisine   tradi)onnelle   en   bois,   décorée   avec   un vaisselier   rempli   d’assieHes   peintes   et   un   bouquet   de   fleurs   des champs  coupées • l’enfant  observe  la  femme  qui  tourne  le  beurre  et  le  démoule