Une Croissance Sans épargne Est Elle Possible

2ème partie : Introduction à l’analyse macroéconomique 1 Chapitre I : Le calcul du PIB et de la croissance économique A] Le Produit Intérieur Brut Le PIB = une mesure de la valeur marchande de la totalité des biens et services finals produits dans un pays au cours d’une période donnée. Le PIB = agrégat, mesure de la production Qu’est-ce que la production ? déf de l’INSEE : “ activité économique socialement organisée consistant à créer des B et S s’échangeant habituellement sur le marché ou

sont des débouchés qui se retournent contre la croissance du pays et qui se fait sentir de manière négative dans un premier temps (commandes en moins). A l'inverse, les exportations sont des débouchés qui jouent en faveur de la croissance (commandes en plus). Les « contributions » à la croissance française (estimation du rôle des différents « moteurs » qui tirent la croissance en France) La contribution des dépenses ménages à la croissance (du PIB) : CM

recettes Besoin de financement : Investissement supérieur à leur épargne Financement interne : utilisation de sa propre épargne Financement externe : appel à d’autres agents II. Le financement interne ou l‘autofinancement Déf : L’autofinancement se compose de la partie non distribuée du bénéfice ainsi que des amortissements et des provisions d’une période. Le financement interne est mesuré par le taux d’autofinancement = épargne brute / montant des investissements mesuré par la FBCF III. Le financement

L’épargne est définie comme la partie du revenu disponible qui n’est pas consommée. La croissance, elle, se traduit par une augmentation des embauches au sein des entreprises et par une augmentation des investissements. La croissance va donc créer une augmentation des revenus, du niveau de vie. La relation entre épargne et croissance économique est très étroite. L’épargne est-elle un vice ou une vertu ? Depuis plus de deux siècles, les économistes débattent à ce sujet. Nous verrons qu’en fonction

Sujet : (BTS 2001) depuis les années 1950, les prélèvements obligatoires ont nettement progressé en France. Dans un contexte de croissance retrouvée, ils représentent aujourd’hui plus de 47 % du PIB. Doit-on réduire les prélèvements obligatoires ? Thème : les prélèvements obligatoires définitions à mettre en introduction : Prélèvements obligatoires:ensemble des impôts directs Problème : réduire et indirects y compris les cotisations sociales prélevés sur les revenus

Chapitre 1 : Quelles sont les sources de la croissance économique ? I- Définir et mesurer la croissance 1- Qu’est-ce que la croissance économique ? 1-1- Définition La croissance économique : C’est l’accroissement de la production globale d’une économie. C’est un phénomène durable, quantitatif et de longue période. Elle s’accompagne de transformations irréversibles des structures économiques. Définition de François Perroux (1903-1987) : La croissance est définie comme un accroissement durable

 LA CROISSANCE ECONOMIQUE Le Modèle Keynésien HARROD-DOMAR INTRODUCTION : LE CONTEXTE : LA PENSEE KEYNESIENNE ET LA CRISE DE 1929 PARTIE I. HARROD ET L’INSTABILITE DE LA CROISSANCE A.) Le taux de croissance garanti B.) Le fil du rasoir C.) Le taux de croissance naturel PARTIE II. DOMAR ET LES 2 EFFETS DE L'INVESTISSEMENT A.) La double nature de l’investissement 1) L’effet "capacité" de l’investissement 2) L’effet "revenu" de l’investissement B.) La

 Chapitre 1/ Economie et Démographie 1/Comment la dynamique démographique influe t’elle sur la croissance économique ? Nous allons principalement parler des évolutions démographiques (populations) et des caractéristiques de cette population. Doc1 : Malthus et la loi de surpopulation absolue : pour Malthus la population augmente plus vite que la capacité à produire de la nourriture. Pour éviter la famine, il faut une limitation de l’augmentation de la population

humain" On doit considérer le potentiel de travail humain comme un "capital", c'est à dire un stock de ressources qu'il est possible d'améliorer, notamment par la formation initiale et continue (qui doit elle-même être vue comme un investissement, et non comme une charge), mais aussi par l'accès aux soins. eg1-2.doc Page 2 / 9 Michel Barot CONSOMMATION & ÉPARGNE (Manuel p. 115) I DÉTERMINANTS DE LA CONSOMMATION ET DE L'ÉPARGNE A - LES COMPORTEMENTS 1° La Consommation a) Les besoins

Chapitre 2 : La consommation et l’épargne. Nous savons que le revenu dispo’ des agents éco’ a deux affectations possibles, qui sont complémentaires : conso’ et épargne. La conso’, c’est un acte d’acquisition des B. et S. qui sont utilisés pour satisfaire les besoins, essentiellement, ceux des ménages. La consommation procède à la destruction à plus ou moins long terme de ces b. et s. La conso’, c’est aussi le principal emploi du PIB, très exactement 56,9 pourcent en 2009, en Fr. Cela veut dire