Une Croissance Sans épargne Est Elle Possible

Introduction à l’économie 1-Une totalité 4 2-Un ensemble d’acteurs en interaction 4 3-L’organisation 5 4-Les émergences 6 5-La complexité 6 6-Rappel sur le concept de croissance 9 7-Eléments constitutifs des agrégats 10 8-Trois grands agrégats économiques 12 1-Le produit intérieur brut (PIB) 12 2-Le produit national brut (PNB) 12 3-Le revenu national (RN) 12 1-L'hypothèse de concurrence pure et parfaite : 15 9-L'hypothèse de rationalité parfaite: 15 10-L'existence de marché parfait :

155 x 240 mm - dos 18 mm Le guide de la MICROFINANCE Microcrédit et épargne pour le développement Sébastien BOYÉ Jérémy HAJDENBERG Christine POURSAT Préface de Maria NOWAK - tirage n° 36386 86 Éditions d’Organisation Groupe Eyrolles 61, bd Saint-Germain 75240 Paris cedex 05 363 www.editions-organisation.com www.editions-eyrolles.com n° Le code de la propriété intellectuelle du 1er juillet 1992 interdit en effet expressément la photocopie à usage collectif sans autorisation des ayants droit

CONTEMPORAINS Croissance Chômage Inflation Inégalités socio-économiques Environnement Mondialisation Globalisation financière http://www.oeconomia.net Rubrique : Economie générale GPEC 1 Université d’Auvergne, 1ère année de Licence, Arnaud Diemer LA CROISSANCE Thème 1 Grands problèmes économiques contemporains 2 CROISSANCE I. QU’EST CE QUE LA CROISSANCE ? A. Définition B. Quelques précisions de vocabulaire C. La croissance équilibrée II. COMMENT EXPLIQUER LA CROISSANCE ? A. Les

devrait théoriquement favoriser l’investissement et la croissance économique, mais l’instabilité financière ne remet-elle pas en cause cet avantage ? I) La globalisation offre des opportunités de croissance. Un marché international du capital s’est constitué au cours des dernières décennies. En principe, cela devrait permettre une utilisation plus efficace de l’épargne au niveau mondial et favoriser l’investissement et la croissance économique. A) La création d’un marché mondial des

du Conseil d'Orientation des Retraites, on constate que par rapport aux prévisions de 2007, le besoin de financement a été multiplié par deux du fait de la crise qui diminué les ressources et qui risque de peser durant de nombreuses années sur la croissance potentielle. Ce besoin, en fonction des scenarii qu'il a définit, varie entre 1,7 à 3 points de PIB, soit de 72 à 115 milliards d’euros. La dégradation serait très rapide ; à l’horizon 2015 le besoin de financement pour les trois scénarios atteindrait

généralement une somme forfaitaire, versée chaque mois, sans référence à une quantité de production. Si le salaire est librement négocié entre l’employeur et le salarié, le législateur a instauré le Smic (Salaire minimum interprofessionnel de croissance) pour garantir aux salariés les moins qualifiés un revenu décent en dessous duquel les entreprises ne peuvent pas descendre. L'employeur doit délivrer aux salariés un bulletin de paie à chaque versement de rémunération. Le bulletin de paie comporte

Le miracle Japonais (1947-1973) Introduction : Durant les 30 Glorieuses, le Japon a connu une période de très forte croissance que l’on qualifie de miracle japonais car il est d’autant plus exceptionnelle que le pays sort vaincu et ravagé par la 2nd guerre mondiale. Nous pouvons donc nous demander « Comment le Japon a-t-il réalisé son essor économique ? » Pour y répondre nous étudierons tout d’abord l’héritage de la 2nd guerre mondiale pour ensuite nous intéresser bases du miracle japonais

d’affaires : 5,2 milliards d’euros en 2009 (-2% par rapport à 2008) : baisse du chiffre d’affaire mais le nombre de pièces vendues augmente : Hypothèses : - Baisse du panier moyen - Achats en promotion, réductions, etc. La Crise n’a pas épargné la bijouterie, cela dit la France s’en sort relativement bien par rapport aux autres pays de L’UE, et la bijouterie fantaisie a le vent en poupe! Prix moyen du bijou : 204 euros pour le bijou en or (augmentation en 2009 liée à l’augmentation

atteindre. La politique économique est le choix d’objectifs hiérarchisés avec différents moyens. Les auteurs sont quasiment tous d’accord sur ces objectifs, mais ne le sont pas sur la hiérarchie des objectifs ni des moyens mis en place : * La croissance. * Le plein-emploi : s’il y a du chômage, possibilité pour les patrons de faire pression pour la baisse des salaires. * La stabilité des prix : et donc l’inflation. * L’équilibre des échanges extérieurs : si la balance est déficitaire

l'activité (rémunération du travail salarié et du travail non salarié) + revenus de la propriété (loyers, dividendes, profits non distribués) III - les limites de la mesure de production * le PNB ne prend pas en compte les nuisances résultant de la croissance (pollution, bruit...) * le PNB ignore l'économie parallèle (travail clandestin) * le PNB ne prend pas en compte le travail domestique (ménage, bricolage...) * le PNB ne comptabilise que la valeur monétaire d'un bien et non sa qualité. IV -