Une Charogne Plan

: monde rural fragmenté, régie par des relations inter personnel (paysan-seigneur) dominé par l'Eglise, mais qui se recompose et se transforme au XIVe XVe et va donner naissance à de nouvelles formes de l'état & de la sensibilité, plus moderne, Plan : I/ Societé féodale des XIe-XIIIes II/ Emprise de la religion III/ Lignes de force politique et l'évolution des XIVe et XVe siècles Chap 1 : Societé féodale des XIe-XIIIes I/ La croissance dans le cadre seignorial A- L'essort démographique

notons-le, le besoin d’une garantie de la folie pour expliciter ce dont il s’agit dans le récit. Certes, on peut dire que l’anecdote de ce récit est « simple » ; plus d’un mois après avoir jeté à la rivière sa chienne aimée Cocotte, François en revoit la charogne par hasard, et ce choc très fort provoque la démence : Il poussa un cri épouvantable et il se mit à nager de toute sa force vers la berge, en continuant à hurler ; et, dès qu’il eut atteint la terre, il se sauva éperdu, tout nu, par la campagne.

aux côtes pelées, à la laine tressée d’immondices, venaient brouter – brouter quoi ?- L’air ? Des gosses nus, perpétuellement affamé promenaient leurs omoplates saillantes et leurs ventres gonflés ; ils disputaient aux vautours ce qui restait des charognes. Thiès : la zone où tous, hommes, femme, enfants avaient des visages couleur de terre » (pp. 35-36). Le contraste est criant avec la ville blanche, épanouie, rayonnante :                 Toutes semblables avec leurs toits de série, leurs pelouses

non la « mini-biographie », une autre opinion est-elle envisageable ? Ce problème peut être problématisé de la manière suivante : Quel impact la lecture de la biographie d’un auteur a-t-elle sur la perception que l’on a de son œuvre ? Pour cela, un plan en trois parties présentera les arguments en faveur de la thèse de Valéry, puis les différentes nuances et réserves pouvant être émises. Enfin, une autre conception de la biographie sera proposée. La première opinion défendue est celle introduite

n’est pas seulement conçu comme étant un simple décor ou un mode de description dans le roman, mais s’impose comme enjeu diégétique et matière créatrice de sens. Enfin, Nous verrons comment la beauté se dégage de sa confrontation à la laideur sur le plan esthétique et moral. I- Mahi Binebine, la fiction du réel ou l’écriture de l’engagement social Mahi Binebine est un artiste polyvalent dont l’œuvre se dégageant de la contemplation du réel met la lumière sur l’absurdité de la vie social et la cruauté

« rats de cour »). La virulence du propos s'énonce d'une manière rythmée par les syllabes longues (voyelles nasalisées dans « rongés », « envie ») et par la raucité des gutturales (occurrences du son consonantique /r/). Le polémiste met au premier plan une idée simple qui résonne comme un acte d'accusation : dans ce royaume, le chacun pour soi a remplacé l'envie de vivre ensemble. Tout exsude la bassesse, la perfidie, l'hypocrisie, la féroce vanité dans la comédie noire de la Cour. La diatribe verbale

pour trouver du nouveau ! ». Ainsi est fait le recueil, le chemin d’une âme de la naissance à sa mort. Il existe, comme vu précédemment une architecture secrète dans l’oeuvre de Baudelaire, un plan logique que le poète a sciemment crée. Ce n’est pas l’aspect esthétique qui est mis en avant par ce plan mais bien l’aspect moral. Dès l'ouverture du recueil on remarque l’absence d’amour maternel envers un enfant à peine né, le poète exprime par ces vers la méchanceté humaine pure et innée, il expose

la socidt6 de la nature. rituel', simple les l"'abattage 83 This content downloaded from 196.200.176.206 on Thu, 4 Apr 2013 13:09:19 PM All use subject to JSTOR Terms and Conditions Bonte en mais selon traductionsusage, oula 'charogne', lesdiff6rentes noncivilisee nonhumaiou la victime d'unemort d6sinstitude, chairsl4. nous r6solument le des loi En islam, butde l'abattage rituel animaux, divine ne" (1996,p. 21). Dans unlangage moderne une'nourriture prohicarn6e

la Beauté. Ce poème est allégorique et donne une définition de l’art selon Baudelaire. Problématique : On se demandera en quoi cette allégorie de la Beauté incarne une nouvelle esthétique dont la modernité à la fois fascine et détruise le poète. Plan : Nous répondrons à cette problématique en trois temps. D’abord, nous analyserons la figure allégorique puis la divinité double et une attraction fatale, la souffrance du poète. I – FIGURE ALLEGORIQUE : UNE DIVINITE DOUBLE Dans cette première partie

Cet acte montre son amour pour la France et sa haine contre l’ennemi. Cette haine : de l’occupant s’exprime aussi par une agression verbale : elle demande à l’aubergiste de : transmettre son refus formel à « cette crapule, à ce saligaud, à cette charogne de Prussien » : (p.30). Elle manifeste également ses pudeurs patriotiques de manière symbolique. Lorsque : Cornudet lui demande ses faveurs, elle refuse, non parce qu’il lui déplaît, mais à cause de la : présence de l’Allemand. Enfin, lorsque