Une Charogne Compréhension

Alimentation : Le plus opportuniste des requins macrophages, prédominance nocturne de tout animal mort ou vivant, poissons osseux et cartilagineux divers, céphalopodes, crustacés, reptiles (tortues, serpents de mer) et mammifères marins, oiseaux, charognes et déchets organiques et autres en tout genre (débris flottants : métalliques, végétaux etc.) Dangers potentiels : le plus dangereux des requins avec le Bouledogue pour l’homme notamment à la Réunion. Il a déjà attaqué plusieurs personnes à la fois

| |Catherine Tauveron | |La frontière invisible entre compréhension et interprétation. | |Philippe Bouaillon – Pratiques de littérature au cycle 3 – GRP Hérault 2005

la mort. Les événements se déroulent dans des espaces caractérisés par leur laideur marquée. Ces romans, inspirés de la réalité marocaine, sont l’occasion, pour l’auteur, d’interroger le réalisme cru, le misérabilisme. L’écrivain suscite la compréhension au lieu de provoquer ou de dénoncer directement. Il témoigne surtout par une écriture subtile de la réalité de son temps, ses joies et ses tristesses. L’espace laid décrit, accueillant tous les personnages, n’est pas seulement un simple décor

l'horreur du camp. 18 juillet 1942 page 107 à 108 21-23-25 juillet pages111 à113 souffle tiède délicatement religieusement teinte délicate, bistre, rosée ombrées de bleu dessin de ses hanches rondeur de ses seins douceur de son ventre charogne Copyright © Lettres Histoire Géographie en Lycée Professionel Page 17/22http://lettres-histoire.spip.ac-rouen.fr/spip.php?article62Sobibor Jean Molla gaz pestilentiels puanteur charnier fosses grouillantes de larves insoutenables crémation

Support: distribuer le texte de la nouvelle car les élèves n'auront pas encore acheté le livre. Distribuer le texte, le lire à haute voix, laisser les élèves répondre au QCM sur le texte, corriger, recueillir les avis sur le texte. Questions de compréhension : 1)La narration est à la 1ère personne / 2ème personne / 3ème personne . 2)Le narrateur est un narrateur qui sait tout sur ses personnages / la victime / un témoin de l'évènement 3)L'évènement a commencé dans un passé éloigné / huit mois plus

synecdote « poitrine »  seins et « flanc »  hanche, « nonchaloir »  relâchement du corps C. Le poète et le tombeau Détournement du confident : ce n’est pas la femme mais le tombeau Signale les problèmes de compréhension entre l’homme et la femme ( \\ au spleen de Paris ‘’ les yeux des pauvres’’ ou ‘’ le galant tireur’’) Incise qui signale le caractère privilégié du tombeau avec l’adverbe « toujours » d’éternité La figure féminine est mise de côté ( pas de Muse

particularité du recueil, tout existe, ensemble. Cette particularité est le reflet du poète, le langage paradoxal s’affronte sans cesse, pour cela il utilise dans ses poèmes des figures de style de l'opposition ou de la comparaison. Dans le poème une charogne, Baudelaire parle d’un cadavre en putréfaction comme il parlerait d’une femme sublime, « Et le ciel regardait la carcasse superbe » l’adjectif superbe n’est pas attendu du lecteur. Il y a bien d’autres exemple de vers inattendu dans ce recueil

faculté de juger, : « Une beauté naturelle est une belle chose, la beauté artistique est une belle représentation d’une chose », quelle que soit, par ailleurs, sa beauté ou sa laideur naturelle. Ainsi que l’illustre, de façon emblématique, « Une Charogne » – morbide élégie baudelairienne, qui compose le bouquet des Fleurs du Mal – il peut donc y avoir une figuration esthétique, voire poétique, de l’affreux, de l’horrible, de l’abject ou du laid, dans la mesure où, comme le précise Kant, « L’art

plus rien à penser. Sans la vie, la distinction même entre être et non être, entre vivant et mort, devient inopérante. En bref, avant de s’atteler à toute réflexion sur la vie, il convient de prendre conscience que celle-ci conditionne toute compréhension d’elle-même. Mais que faut-il entendre exactement par vie ? I. Une ambiguïté fondamentale. Il n’y a peut-être pas dans les langues latines (vita, vida, vie), ni même anglo-saxonne (life, leben) de terme plus équivoque. Outre le fait

« complexes » (ceci dit en langage savant) ou bien si nos « complexes » nous étoufferont. Critique de l’homme : « Toutes les préoccupations plus haut énumérées puent l’homme invraisemblablement, l’homme provisoire et matériel, je dirai même l’homme-charogne. » - Position de l’auteur (dégoût) : « Ces préoccupations en ce qui me concerne, me dégoûtent au plus haut degré comme à peu près tout le théâtre contemporain, aussi humain qu’il est anti-poétique, et qui, trois ou quatre pièces exceptées