Une Charogne Baudelaire Texte

en rythme, facile à retenir. Et il y a même un refrain : « le hareng saur – sec, sec, sec »… Cela rend le texte entraînant et vivant à la lecture. Et puis il y a un véritable travail sur les sonorités dans ce genre de poème, pour souligner le rythme des vers : remarque les mots avec des dentales, comme « pointu », répétés trois fois, par exemple ! Je trouve que c’est très efficace. Un texte de ce genre est fait essentiellement pour être lu, peut-être même chanté. Après tout, la poésie est aussi affaire

INTRODUCTION : Situation du poème dans l’œuvre : Lecture  : fichier audio n°2 sur le drive Projet de lecture : Quel pacte de lecture Baudelaire institue-t-il avec son lecteur au début du recueil ? Composition du passage : 1er mouvement : strophes 1 et 2 ; l’homme est un pécheur 2ème mouvement : strophes 3 et 4 : l’homme est mu par le Diable 3ème mouvement : strophes 5, 6 et 7 : la débauche grouille en nous 4ème mouvement : strophes 8, 9 et 10 : parmi tous

l’univers correspondent entre eux selon un système complexe. Au fil de son histoire, l’alchimie se charge d’une part d’hermétisme : son langage se codifie et devient difficile d’accès. Au VII°s l’alchimie arabe se développe, celle-ci produira un texte important de l’alchimie La Table d’émeraude .Elle revient en occident chrétien par le biais de traductions latines de textes arabes et atteint son apogée au Moyen-âge et à la renaissance grâce à de fameux alchimistes comme Albert le Grand et Paracelse

Charles Pierre Baudelaire est un poète français, né à Paris le 9 avril 1821 et mort dans la même ville le 31 août 1867. « Dante d'une époque déchue »[1] selon le mot de Barbey d'Aurevilly, nourri de romantisme, tourné vers le classicisme, à la croisée entre le Parnasse et le symbolisme, chantre de la "modernité", il occupe une place qui lui est propre dans l'histoire littéraire du 19e siècle. Au cœur des débats sur la fonction de la littérature de son époque, Baudelaire détache la poésie de

a) Lyrisme sensible dans le premier texte Dimension personnelle, sentiment (regret, angoisse) → recul dans le 2nd généraliste b) Images renforcée dans le second Répulsion, les sens, baroque c) Réflexion condition humaine 1er : sous-jacente → impuissante de l'homme devant la mort 2nd : Explicite → didactique avec une leçon à la fin * Charles Baudelaire : 19 eme siècle Poète critique d'art et d'essai, essayiste Il rompt avec les éthiques classiques Une charogne → 1857 « Les fleurs du mal » → Œuvre

Charles Baudelaire I. La toute-puissance de la volupté A. Un monstre d’érotisme 1. La mise en scène du corps féminin Abolissant la tradition courtoise des blasons Renaissance, Baudelaire évoque un corps de chair voué au désir : connotations sexuelles de la " bouche de fraise ", féminité sensuelle ("seins", "lèvre humide", "buste"). Un corps naturel et sexuel mis en valeur par deux accessoires : le busc et le musc. 2. Une femme animale La femme "naturelle" tant haïe par Baudelaire apparaît

homme agé qui à perdu sa femme et qui à pris un chien pour se sentir moins seul (tout le chapitre cinq de la partie est consacré à l'histoire de cet homme). Cet homme maltraite son chien et n'héstite pas à l'insulter à tout bout de champ (:"Salaud ! Charogne !" (p.45, 57)) mais quand celui ci disparait, Salamano est triste est seul (: "Ils ne vont pas me le prendre, dites, monsieur Meursault. Ils vont me le rendre. Ou qu'est-ce que je vais devenir ?" (p.63)). Il y'a aussi Raymond, un petit homme violent

 Au lecteur est issue du recueil Les Fleurs du Mal de Charles Baudelaire. Baudelaire un poète symboliste du XIXème siècle. Au Lecteur est le poème liminaire du recueil Les Fleurs du Mal, placé hors numérotation, il a été placé en tête dans toutes les éditions. Il a donc une importance majeure : il présente et ouvre le recueil. Il montre l’esthétique moderne de Baudelaire qui associe le Beau et le Mal. Au Lecteur est un portrait de la condition humaine. Ce poème aborde des thèmes qui seront récurrents

siècle au XXIe siècle Œuvre intégrale : Baudelaire, Les Fleurs du Mal Parcours associé : Alchimie poétique : la boue et l’or Lecture cursive : Francis Ponge, Le Parti pris des Choses, 1942 Texte n°1 : Baudelaire, Les Fleurs du Mal, « Elévation » Texte n°2 : Baudelaire, Les Fleurs du Mal, « Une Charogne » Texte n°3 : Baudelaire, Les Fleurs du Mal, « Spleen », LXXVI Texte n°4 : Arthur Rimbaud, Cahiers de Douai, « Vénus anadyomène », 1870 Texte n°5 : Tristan Corbière, Les Amours jaunes

Jean Racine, Phèdre (1677) Explications de texte Phèdre : Acte II, Scène 5 (623-670) Situation : ils viennent d’apprendre que Thésée est mort. C’est l’un des aveux les plus envoûtants et les plus tragiques de la pièce. C’est le moment où Phèdre tente de vivre son amour en confondant Hippolyte et Thésée. Par le mécanisme du fantasme, elle récrit l’aventure du minotaure et par une série de glissements successifs, elle remplace Thésée par Hippolyte et Ariane par elle-même. Problématique :