Un Sourire Blindé

mais elle n’a pas répondu, elle a éteint son téléphone et elle m’a souri. « C’est rien, le boulot. Je n’ai pas envie de répondre... » Moi aussi je lui ai souri. Quel beau sourire elle avait, Elena... Mais pourquoi je parle au passé ? Elena a un beau sourire. Ces pensées le font sourire, lui aussi. Ou du moins, il se force à sourire, et il prend un virage. À toute allure. Et un autre souvenir qui remonte. Ce jour-là. Celui-ci est plus douloureux. Ce e conversa on est imprimée dans mon coeur comme si

L’exposition propose au visiteur de découvrir cette nouvelle silhouette dans son dernier film publicitaire. • Pour l’apprécier concrètement, le visiteur est également invité à faire lui-même l’expérience qui a fondé la forme de la bouteille : convié à un blind-test, il plonge sa main dans une glacière géante pour retrouver, sans la voir, la célèbre forme « contour ». oto © Ph Pierre Cornet tin Sa e te d de ie ph gra C yr pierre Cornette de saint-Cyr est le commissaire de l’exposition

miracle, attestent que les estaminets, les gargotes, les maisons et les édifices sont partis en fumée. La chaussée, auparavant bitumée, n’est que sentiers battus que les sandales et les sabots raclent à longueur de journée. Les boutiquiers ont mis leur sourire au placard. Les fumeurs de tchelam se sont volatilisés. Les hommes se sont retranchés derrière les ombres chinoises et les femmes, momifiées dans des suaires couleur de frayeur ou de fièvre, sont absolument anonymes. Mohsen avait dix ans, avant l’invasion

| | | |  | |Münzel Oskar |Général SS blindés |Conseiller militaire au Caire, années 50 | | | | 

soit LA boisson reconnaissable entre toutes, même au toucher, même au fond de la malette d’un vendeur. un design de légende sur toute la ligneChaque visiteur est invité à faire lui-même l'expérience qui a fondé la forme de la bouteille : convié à un blind-test, il plonge sa main dans une glacière géante pour retrouver, sans la voir, la célèbre forme légendaire ! Différentes expériences interactives et ludiques vous entraineront également dans la magie de la légende. La légendeen imagesVous le savez

et les Gorgonzola • Pauvre France • Pauvre tache • Pauvres fumeurs ! • Pavillon de la reine (le) • Pays aux 2 soleils (le) • Pays de la truffe (au) • Pays des neiges (au) • Pays des stars (le) • Pays du sourire (le) • Pays du sucre (le) • Paysage • Paysan et son vieux cheval (le) • Peau neuve • Peau noire • Pêche aux moules (la) • Péché de gourmandise* • Péché de jeunesse* • Pêche miraculeuse • Pêche privée

irréalistes... «Mais j’aimerais t’en parler plus longuement». Et le voici qui s’invite chez moi pour le surlendemain à 16 heures. Le jour dit, à 16 heures précises, la sonnerie retentit et la porte s’ouvre sur Abdalla, flanqué d’un grand garçon pâle au sourire timide qu’il me présente sous le nom de Philippe Marchenay. Philippe qui sera avec Abdalla, Phuong et moi-même le quatrième fondateur d’Asud. Abdalla, pour avoir rencontré les membres du «syndicat des junkies» nous initie peu à peu aux notions, encore

d’un air dubitatif avant de diagnostiquer : — Il a sûrement la colique. Ça leur dessine des plis de lèvres comme ça…, explique-t-il en remuant ses mains à l’horizontale, l’une par-dessus l’autre devant son visage. On peut parfois confondre avec des sourires mais ça n’en est pas. Ce sont des grimaces. Puis il glisse ses doigts sous la capote du landau et prend l’aïeule à témoin : — Regardez. Si je pousse les commissures de ses lèvres vers le menton, il ne sourit pas. Il fait la gueule comme son frère

d’un air dubitatif avant de diagnostiquer : ŕ Il a sûrement la colique. Ça leur dessine des plis de lèvres comme ça…, explique-t-il en remuant ses mains à l’horizontale, l’une par-dessus l’autre devant son visage. On peut parfois confondre avec des sourires mais ça n’en est pas. Ce sont des grimaces. Puis il glisse ses doigts sous la capote du landau et prend l’aïeule à témoin : ŕ Regardez. Si je pousse les commissures de ses lèvres vers le menton, il ne sourit pas. Il fait la gueule comme son frère

arrêt solennel dans la rue Morgue pour rendre hommage à un monument culturel important du monde des Monstres, mais cela ne se fera pas. Je réitère ma question plus tard à un chauffeur de taxi et j’ai droit à la même réponse, que Rita traduit avec un sourire un peu gêné. — Dexter, dit-elle. Ta prononciation est épouvantable. — Je me débrouillerais sûrement mieux en espagnol. -7- — Ça ne changerait rien. Il n’y a pas de rue Morgue. — Quoi ? — Elle n’existe pas. Edgar Allan Poe l’a imaginée. Il n’y