Un Si Terrible Secret

Dossier sur Petit Eyolf d’Henrik Ibsen. 1) Si l’on doit retenir une réplique dans chaque acte de la pièce & pourquoi ? Pour l’acte I, la réplique choisie est : Allmers «  Impossible autrement ! Une vie si chère ! Une vie si chère ! » J’ai choisi la réplique qui clôturait l’acte I, car d’une part je l’ai trouvé poignante du fait que c’est Alfred le père d’Eyolf qui dit cette réplique car s‘était son père, mais aussi son professeur particulier, entre les deux il y a avait une complicité

silence du commandant Cousteau. Le silence, handicape des personnes sourdes et/ou muettes. Le silence, aveu de culpabilité de l’accusé. Le silence de la mort. Le silence en tant que pratique volontaire et forcée: La minute de silence. Le silence du Secret. Le silence de l'Apprenti Maçon. Etc. …, en cherchant un peu, les exemples ne manquent pas. Mais dans le cas qui nous intéresse, le sujet portera sur le silence de 'Apprenti Maçon. PARLER DU SILENCE, C’EST PARLER DU LANGUAGE Alors, comment aborder

passage. • Dissertation «... Je voudrais que cet exemple te mette en garde », déclare Osman au sultan Yaya. En prenant appui sur l'exemple de La gazelle du sultan et sur d'autres apologues (Fables ou contes) que vous connaissez, vous vous demanderez si les récits à valeur morale peuvent instruire et intéresser les lecteurs d'aujourd'hui. • Invention Plusieurs années après s'être retiré dans sa palmeraie de Kauka, Osman reçoit une lettre du sultan Yaya. Celui-ci tire sa leçon de l'épisode. Rédigez

signalant un temps définit (Moyen-Age, moderne, etc) n'est mentionner dans cet incipit. Nous savons seulement que l'auteur nous parle "maintenant" d'une histoire passée. Ce passé correspondant au temps de son enfance: « Lorsque j'avais six ans ». Si nous nous penchons sur les temps verbaux, nous observons un passé composé signifiant qu'on parle d'un fait passé, achevé au moment où l'on parle mais relié au présent. Le complément de temps « une fois » renforce l'idée d'un fait passé achevé. Ensuite

depuis la première parution de ces romans, l'idée de l'histoire des treize, société secrète d'hommes « assez forts pour se mettre au-dessus de toutes les lois, assez hardis pour tout entreprendre, et assez heureux pour avoir presque toujours réussi dans leurs desseins », n'est guère nécessaire pour lire, comprendre ou interpréter la trilogie. Sans la préface dont Balzac coiffa la publication de Ferragus c'est à peine si on comprendrait le sens des rares allusions explicites aux Treize que l'on trouve

reprend cette tradition grecque qui consiste à confier à un personnage particulier un monologue permettant aux spectateurs de se rafraîchir la mémoire. Le Prologue replace la pièce dans son contexte mythique). Toute la troupe des comédiens est en scène. Si certains personnages semblent ignorer le drame qui se noue, d'autres songent déjà au désastre annoncé. Antigone rentre chez elle , à l'aube, après une escapade nocturne. Elle est surprise par sa nourrice qui lui adresse des reproches. L'héroïne doit

poussé à faire des choses si dégoutantes. La bonne volonté de faire tout nécessaire pour gagner Daisy, son amant, semble très honorable et romantique. Nick sait que Gatsby est un homme généreux, fidèle, sincère et magnifique. L'histoire se déroule au lendemain de la Grande Guerre, principalement à West Egg, Long Island, dans le manoir de Gatsby et aussi à New York. Le personnage principal, Jay Gatsby, est un jeune homme, âgé de environ 30 ans, qui a vécu une jeunesse terrible et appauvrie et qui

Séquence IV : Un secret, du roman autobiographique de Philippe Grimbert à son adaptation cinématographique par Claude Miller Séance 1 : Emettre des hypothèses de lecture à partir du titre, de la couverture et de la quatrième de couverture Séance 2 : Analyser la bande-annonce du film Séance 3 : Questions sur Un secret: le livre de Philippe Grimbert et le film de Claude Miller Séance 4 : La chronologie du roman et celle du film : des choix symboliques OL : Les connecteurs spatio-temporels

brûle encore ! Ô mon cher et fatal ! ... Abailard ... je t' adore ! Cette lettre, ces traits, à mes yeux si connus, Je les baise cent fois, cent fois je les ai lus. De sa bouche amoureuse Héloïse les presse ; Abailard ! Cher amant ! Mais quelle est ma faiblesse ? Quel nom, dans ma retraite, osé-je prononcer ? Ma main l' écrit ! ... hé bien, mes pleurs vont l' effacer ! Dieu terrible, pardonne, Héloïse soupire. Au plus cher des époux tu lui défends d' écrire, À tes ordres cruels Héloïse

va provoquer l’aveu et déstabiliser Phèdre. Phèdre fait une analepse, « Mon mal vient de plus loin », les racines du mal sont issues du premier regard qui a déclenché le coup de foudre avec Hyppolite. Cela fait donc longtemps qu’elle garde son secret, secret qui la dévore plus le temps passe. Pour le moment, la narration est cohérente, Phèdre est tout à fait lucide, elle s’explique, raconte à Oenone d’où vient sa peine. Elle nous donne une explication physique de la maladie qui l’emporte pas à pas