Un prêtre marié

La Faute de l’abbé Mouret parait en 1875, et est le cinquième volume de la série les Rougon-Macquart. Faisant suite à la Conquête de Plassans, c’est le second ouvrage de la série qui traite du catholicisme. Le thème en est la vie d'un prêtre déchiré entre sa vocation religieuse et l'amour d'une femme. A la même époque apparait également le mouvement littéraire naturaliste, que Zola a pour beaucoup créé, et dont il devient rapidement le chef de file. Il affirme d'ailleurs dans un article du Figaro

mauvaise santé et d'un esprit faible. Elle mourra aussi. À moins qu'elle ne devienne folle. On dit que cela fait vivre ; mais du moins, l'intelligence ne souffre pas ; elle dort, elle est comme morte. Mais ma fille, mon enfant, ma pauvre petite Marie, qui rit, qui joue, qui chante à cette heure et ne pense à rien, c'est celle-là qui me fait mal ! X Voici ce que c'est que mon cachot : Huit pieds carrés. Quatre murailles de pierre de taille qui s'appuient à angle droit sur un pavé de dalles

RESUME DU ROMAN Hélène Mouret a perdu son mari Grandjean. Elle se retrouve seule avec sa petite fille Jeanne dans cette grande ville, qu'elle ne connaît pas : Paris. Elle reçoit l'aide de deux amis venus du Midi comme elle : Jouve, prêtre, et son frère Rambaud, riche commerçant. Ce dernier lui offre gratuitement l'hospitalité dans un bel appartement. Elle mène une vie bien tranquille et observe Paris de sa fenêtre. Jeanne accompagne sa mère où qu'elle aille. Cette enfant, d'une santé très fragile

surtout aux sensations physiques et non sociales ou sentimentales. Il ne vit que pour le présent, et a de la peine à distinguer le bien du mal. Après la mort de sa mère, Meursault prendra des bains, ira au cinéma, et s’engagera dans une relation avec Marie. Ces actes sont jugés indignes d’un bon fils, et c’est une des raisons principales que Meursault sera condamné à mort pour le meurtre d’un arabe. Sa manière d’être, son indifférence à sa situation, son refus de faire ce que la société trouve juste

jour de la fête de la fédération, le 14 juillet 1790, que le Général Lafayette ainsi que le Roi et les délégués des différentes provinces ont prêtée le serment de protéger le pouvoir instauré, d'appliquer la loi et enfin de maintenir la constitution. Marie Antionette par la suite, déclenche l'enthousiasme du peuple. Le serment que cette dernière a exprimé parle de l'avenir du peuple, et elle est ardente d'affirmer qu'elle est pour la constitution, leur donne donc l'espoir que la famille royale adhère

François Marie Arouet dit Voltaire est né le 21 Novembre à Paris et mort en 1778, il vécut sous le règne de Louis XVI. Voltaire était le chef de file du parti philosophique et symbole des Lumières. L’écrivain et philosophe français à marqué le XVIII ème siècle. Voltaire a montré son engagement à travers bon nombre de genre comme le théâtre, l’encyclopédie et notamment les contes philosophiques tels que Zadig ou la destinée écrit en 1747. L’histoire se passe en majorité à Babylone, où nous suivons

Une communauté chrétienne au cœur du diocèse (p. 2 et 3) L’ensemble paroissial de la grande vallée Le rôle des laïcs autour des prêtres Les réunions traitant des différents aspects touchant la vie de notre communauté (mariage, décès, baptême, …) Notre paroisse Feuille de semaine Le nom de notre paroisse et de nos églises Notre curé, le nom des autres prêtres, des diacres Des personnes que l’on connait et qui participent à la vie de la paroisse Le diocèse (p. 4 et 5) Notre diocèse :

pour les catholiques.Ensuite les catholiques considèrent le Pape comme chef de l’Eglise tant dit que lesOrthodoxes considèrent celui-ci comme étant Jésus christ.Enfin il y aussi divergence avec les obligations des prêtres, les orthodoxes portent la barbe et se marie tant dit que les prêtres chrétiens catholiques se voues au célibat et sont imberbe, les uns sont souvent dégoutées des autres.JANNA : Enfin nous pouvons en conclure que l’empire byzantin est un empire fort, riche, et croyants, que son empereur

maternelle, Sophie Marie Adelaïde-Julienne Allotte de la Fuÿe (née Guillochet de La Perrière4)5. Il est le fils de Pierre Verne, avoué, originaire de Provins, et de Sophie Allote de la Fuÿe, issue d'une famille nantaise de navigateurs et d'armateurs, d'ascendance écossaiseN 1. Jules est l'aîné d'une famille de cinq enfants, comprenant son frère Paul (1829-1897) et ses trois sœurs : Anna (épouse du Crest de Villeneuve), née en 1836, Mathilde (épouse Fleury), née en 1839, et Marie (épouse Guillon, mère

d'une mauvaise santé et d'un esprit faible. Elle mourra aussi. À moins qu'elle ne devienne folle. On dit que cela fait vivre ; mais du moins, l'intelligence ne souffre pas ; elle dort, elle est comme morte. Mais ma fille, mon enfant, ma pauvre petite Marie, qui rit, qui joue, qui chante à cette heure et ne pense à rien, c'est celle-là qui me fait mal ! X Voici ce que c'est que mon cachot : Huit pieds carrés. Quatre murailles de pierre de taille qui s'appuient à angle droit sur un pavé de dalles