Un Piège Sans Fin

Ruy Blas acte IV : Le ton : Dans la première scène de l'acte, le côté sombre et obscure est le principal ton : cela est dû au personnage Ruy Blas, qui a chu de son piédestal dû à Don Salluste : il le menace et le fait chanter à la fin de l'acte III (la première scène est donc tragique). Puis apparaît à la scène 2 Don César, qui va bouleverser le ton de la pièce en passant d'un registre tragique à un registre comique : en effet, avec l'arrivé de ce personnage, les lumières et le son vont

comme l’une des principales pièces de Victor Hugo. L’action de Ruy Blas se situe à la fin du XVIIe siècle, à la cour d’Espagne Don Salluste, est condamné par la reine à l’exil pour avoir déshonoré une jeune femme. Il décide finalement de se venger en mettant au point un piège pour la reine. Sachant la reine malheureuse, Don Salluste met au point son piège, prévoyant de rendre amoureuse la reine, puis de la faire surprendre et de la chasser

si révolutionnaire que ça: il est content de la chambre > il accepte la dépendance, il ne remet pas en cause l'ordre social maître/valet. Pour Figaro, tout est positif dans cette chambre, mais pour Suzanne, c'est le contraire: elle y voit un piège. Dans la didascalie du départ, Beaumarchais utilise le mot "démeublée", qui est dépréciatif. Ils sont confortablement installés (le fauteuil est un fauteuil pour malade, il est donc confortable). Ce qui manque cependant est le luxe >> c'est

morgue : Introduction : contexte d’émergence : texte appartient aux histoires extraordinairehistoire d’horreur à la base, issu d’un fond mythique qui entre dans La belle et la bête. Ce texte va dans la tradition du roman noir : genre apparaissant fin 18èmeroman lançant genre fantastique. Texte qui à avoir avec l’insolite, l’horreur, le fantastique. « Quelque chose d’excessif et de bizarre », « effroyable mystère ». Avec le personnage de Dupin, Poe instaure une différence car cette analyse l’emporte

182-184 dans l’éd. Belin/Gallimard – coll. ClassicoLycée 1) Introduction  : Le théâtre du début du XVIIIe siècle est marqué par la comédie - ballet inventée par Molière à la fin du XVIIe siècle, et voit la naissance du nouveau genre dramatique de l’opéra – comique, né dans la salle Favart de l’Opéra – Comique à Paris, en 1714. Amateur du théâtre de Molière, philosophe des Lumières dans l’âme, et adepte du renouveau qui touche

L’inflation est-elle toujours un mal ?Intro : « L’inflation est une maladie dangereuse et parfois fatale» dit Milton Friedman dans la liberté du Choix en 1980. En effet, si l’inflation est souhaitée jusqu’à la fin des 30 Glorieuses, l’apparition de la crise du choc pétrolier en 1973 met un terme à cette volonté d’avoir une inflation élevée. Aujourd’hui, en Europe la BCE désire maintenir une inflation a 2% afin de réduire les dettes de l’État mais aussi pour pousser les agents économiques à la consommation

11 et 12) ; « j’allais tout quitter pour te suivre » (l.20) … Rosine dévalorise l’apparence sociale au profit de ses sentiments évoqués l.14 par une périphrase : « vos intentions sont pures… ». Par amour, qu’elle considère supérieur, elle tend un piège à Lindor pour tester son amour. On relève l.16 à 23 : « malheureuse » ; « dangereuse » ; « misérable » ; « lâche » ; « indignité ». La déclaration d’amour du comte est directe : elle affirme elle aussi la supériorité des sentiments sur l’étiquette

serait pas celui de la femme qu'il aime. Dorante tombe donc dans le piège, mais alors qu'il y aurait pu avoir conflit, ou bien révélation et possiblement fin de l'histoire, Marton surgit, interrompant la scène. Le piège d'Araminte n'a fait que confirmer que Dorante a bien fait un portrait d'elle, et qu'il est amoureux d'elle, ce qu'elle savait déjà. Malgré qu'il n'y ait pas eu de réel conflit, il s'agit tout de même d'un piège tandis par l'un des deux amoureux contre l'autre amoureux.

tombe naïvement dans le piège que lui tend Elmire ; au vers 901, il affirme même bénéficier de la complicité du ciel. Les jeux de scène à partir du vers 915 provoquent le rire du spectateur aux dépens de Tartuffe, certes, mais aussi d'Elmire, prise à son propre piège. Mélange des tons : humilité, galanterie, mysticisme, pathétique : le langage dévot au service de la passion amoureuse : un mélange détonnant ! Mais Tartuffe s'oublie, peu à peu, et la passion l'emporte à la fin de la tirade (lyrisme

désigne également un piège destiné à assommer renards, blaireaux et autres bêtes. L'assommoir a donc une valeur métaphorique. C'est un piège qui va se refermer sur Gervaise et la tuer. Dès son titre, le livre inscrit la mort au programme. L'assommoir est redoublé à la fin du chapitre par la présence de l'abattoir (qui forme, avec l'hôpital, les limites du quartier où Gervaise sent que son destin va s'inscrire). Le titre dit la violence qui est au cœur de cette société. Le piège utilisé pour tuer les