Un Personnage Aux Qualités Humaines

Introduction -Camus est un philosophe et un écrivain né en Algérie en 1913 et mort en 1960. Dans son œuvre, aussi bien philosophique que littéraire, il a mis en valeur l’absurdité de la condition humaine, c’est à dire l’idée que la vie humaine n’a pas de sens a prioriet que le monde nous est vraiment étranger. - L’Etrangerest un roman publié en 1942. Un roman passionnant tellement sa significationest ouvert. -Situation de l’extrait : L’extrait que nous allons étudier est l’incipit. -Lecture

erville est un personnage central du Colonel Chabert et apparaît dans de nombreux romans de La Comédie humaine : il joue un rôle important dans Gobseck (1830), César Birotteau (1837), Une ténébreuse affaire (1841), Le Père Goriot (1835), Splendeurs et misères des courtisanes (1838-1844). Il y joue toujours le rôle d’un avoué intègre. Il est, en effet, avec Chabert, face aux trois autres personnages (le comte et la comtesse Ferraud, Delbecq), le seul personnage honnête et généreux de ce roman. Il

texte plaisant qui met en scène des personnages attachants ou des aventures plaisantes, mais de même avec une mise en forme agréable. Un texte peut ainsi être plaisant grâce à des personnages attachant comme dans les contes de Perrault. En effet, dans le conte Cendrillon, Cendrillon est idéalisée par Perrault, elle fait ainsi donc preuve de beaucoup de qualités comme la générosité la beauté ou encore la gentillesse. Ces qualités nous inspirent donc un personnage attachant et positif qui nous donne

de la publicité et enfin on parlera de la critique de la bêtise humain. Maintenant je passe à la lecture. Analyse Une fausse anecdote A.Texte propose une structure d’anecdote -on a l’impression de l’histoire vraie -mais c’est un genre ambique-un mélange entre l’histoire vraie et la fiction a)l’emploi de la première personne -témoign (l.25 „Je le rencontrai un jour“) -c’est un texte court -qui met en scène une personnage qu la narrateur a rencontré l.1 „J’ai connu un brave garcon“ -on

Commentaire littéraire Ce texte est extrait du cinquième chapitre du livre « La bête humaine » écrit par Emile Zola, et publié en 1890, a l'apogée du naturalisme. C'est le 17éme volume de la série « Les Rougon-Macquart ». Comment le narrateur parvient-il a transfigurer la Lison pour en faire un personnage a part entière du récit ? Nous allons dans un premier temps étudier par quel procédé Zola a fait de ce passage , un texte a valeur documentaire. Après avoir étudier la valeur documentaire

des deux œuvres. Pour enfin terminer sur le style humaniste du texte et de la fresque. --- La remise des clefs du paradis à Saint-Pierre est une fresque de 330x550 cm, exposé à la Chapelle Sixtine réalisé par le Pérugin. Au premier plan, les personnages portant des chapeaux sont les gens du peuple, ils portent des vêtements du XVème et XVIème siècle, vêtements spécifiques de la Renaissance. Ensuite, la fresque est réalisé avec des jeux de lumière et étant imposante, la peinture utilisée devait

l’enfermant dans une forme figée lui a permis de connaître de grandes variations au cours des siècles. Deux tendances principales se dégagent toutefois dans le traitement du personnage romanesque : la première tend vers l’idéalisation et l’héroïsation des personnages tandis que la seconde recherche la vraisemblance des personnages en essayant d’être le plus proche de la réalité. Ainsi, Albert Camus nous engage à reconsidérer la notion de héros romanesque qui serait pour lui à mi-chemin entre le commun

Au cours du temps, les personnages de roman ont beaucoup évolué. Ils sont passés de personnages mythologiques, chevaleresques, véritables héros à des personnages ordinaires qui jouent le rôle principal de l'histoire. Les premiers, sont dotés de vertus exceptionnelles. Les seconds accomplissent de moins en moins d'actions spectaculaires et leurs capacités sont plus proches de celles d'un être humain. A partir de là, les écrivains créent tout un éventail d'individus qui peuvent être faibles et ne posséder

Les personnages des romans que vous connaissez peuvent-ils être considérés comme le reflet exact de  ce que sont les hommes ?                  Le personnage principal du roman s'oppose au héros antique et à celui du théâtre tragique : il n'a pas la grandeur et la noblesse des héros légendaires, et il ne représente pas la lutte face à un destin implacable. De manière nettement moins glorieuse ou grandiose, il incarne des sentiments et un parcours qui pourraient être ceux des lecteurs. D’après Stendal

lecture méthodique La Bête humaine, Zola Chapitre II : p.84-85 « Alors Jacques …… à la bête enragée » La Bête humaine, dix-septième roman du cycle des Rougon-Macquart, a été publié en 1890. Au-delà de la peinture du monde ferroviaire de son époque, Emile Zola met en scène Jacques Lantier, jeune mécanicien, en proie à son hérédité. Dès le chapitre 2, d’où est extrait notre passage, nous apprenons que malgré ses efforts et sa bonne volonté, Jacques, personnage principal, comprend que l’atavisme