Un Pere Prodigue

ces échanges superficiels avec sa famille, Harwan est seul à la recherche de lui-même. C’est au moment où Harwan apprend que son père est dans le coma que tout bascule, et c’est à ce moment nous commençons doucement à rentrer dans l’espace mental du personnage. Il se met à parler, beaucoup, à dire ce qu’il ressent sur la vie en général, sur ses relations avec son père, sur son enfance presque oubliée au Liban. C’est intéressant de voir comme il parle calmement mais avec une point de sarcasme voire

Ce n'est ni du vol ni du plagia. C'était une pratique courante ( ex: La Fontaine qui reprend des fables d'Esope) Molière a aussi été influencé par La Belle plaideuse de Boisrobert : Jeune homme obligé d'emprunter à un usurier qui en fait est son père. Emprunt à Arioste (comédie Italienne) : jeune homme déguisé en domestique car il est amoureux de la jeune fille de la maison et retrouve sa fortune à la fin de la pièce. Plus héritage de la commedia dell'arte (XVIème) → joue en impro sur scenario

conter ici, l'histoire du plus puissant membre de la guild [NooB]. ...A l’époque des Âges Troublés, lors du Temps des Conflits, où les peuples de ce monde se déchiraient, est venu Sparadrap, né sous l'éclipse noire d'une mère morte en couche et d'un père inconnu. Dès son plus jeune âge, il maîtrisait toutes les techniques, tous les savoirs, pouvant rivaliser avec les meilleurs archers, les sages anciens, les plus forts combattants, ses connaissances étaient pour lui naturelles. Il montrait d'indéniables

titulaire de droits et d’obligations et à les exercer soi- même. L’aptitude à être titulaire de droits et d’obligations =LA CAPACITE DE JOUISSANCE L’aptitude à exercer personnellement ses droits=LA CAPACITE D’EXERCICE Suite à un accident le père et mère décèdent en laissant deux enfants : 18 ans et à 5 ans. A qui reviendra la succession constituée de deux appartements et un fonds de commerce? Réponse : aux deux enfants. Chacun sera propriétaire de la moitié. Pour couvrir ses frais de scolarité

valeur suprême censée légitimer tous les sacrifices. « j’ai besoin d’argent affirme Cléante, il faut bien que je consente à tous ». Chez Cléante l’argent se substitue à l’amour filial au point qu’il souhaite que son père meure et donne comme gage au préteur la mort imminente du père. Harpagon l’exact opposé du seigneur Anselme, finit dans la solitude. Au contraire Anselme restaure les droits de l’amour filial en considérant les retrouvailles avec son fils et sa fille comme étant d’une valeur inestimable

strict nécessaire. Dans la même continuité que l’avare, on retrouve le prodigue, qui lui dépense sans compter. A l’image de Cléante, le fils d’Harpagon. Il perd en dépensant, en n’épargnant pas. Le seul fait d’acheter lui apporte un sentiment de puissance, de pouvoir. Le prodigue selon Simmel « s’attache au moment où s’effectue la dépense de l’argent, quel qu’en soit l’objet ; l’attrait de ce moment l’emporte chez le prodigue sur une estimation adéquate de l’argent d’une part et des objets d’autre

l’intérêt psychologique (page 5) l’intérêt philosophique (page 6) la destinée de l’œuvre (page 7) l’analyse d’une scène (page 7) Bonne lecture ! Harpagon, veuf qui est le père de deux enfants, leur impose, comme à ses domestiques, des conditions d'existence indignes du fait de son avarice de bourgeois pourtant riche qui fait obstacle à leurs amours respectifs. Sa fille, Élise, est amoureuse de Valère, un gentilhomme napolitain

lecture de romans, où elle sombre dans la névrose. Sens actuel : état d’insatisfaction, sur les plans affectifs et sociaux, qui se rencontre en particulier chez certaines jeunes personnes névrosées. Un Rastignac Origine : tiré du roman de Balzac, le père Goriot et ensuite dans la Comédie Humaine où on assiste à l’élévation d’Eugène de Rastignac dans la haute société du XIXe siècle par le biais de ruses. Actuel : désigne un arriviste, quelqu’un de très ambitieux, prêt à tout pour arriver à ses fins

5) l’intérêt philosophique (page 6) la destinée de l’œuvre (page 7) l’analyse d’une scène (page 7) Bonne lecture ! Résumé Harpagon, veuf qui est le père de deux enfants, leur impose, comme à ses domestiques, des conditions d'existence indignes, du fait de son avarice de bourgeois pourtant riche qui fait obstacle à leurs amours respectifs. Sa fille, Élise, est amoureuse de Valère, un gentilhomme napolitain

réalité. Par exemple dans les obsèques de la lionne les animaux renvoient sans cesse au monde des hommes (la femme du lion), les autres animaux représentent les courtisans et finalement le lion représente le roi. Dans le fils prodigue le père représente Dieu, le fils prodigue la brebis égarée et enfin l'autre frère représente le fidèle. Par l'intermédiaire de ces personnages symboliques le lecteur peut se reconnaît.