Un Monde Sans Conflits Est Il Concevable

spéciale s’accroît. Ex: le tribunal pénal pour la Yougoslavie, le Rwanda... On peut observer aussi que le tribunal du droit de la mer existe et a une jurisprudence qui lui est propre. Cet accroissement du nombre a une conséquence regrettable car des conflits de jurisprudences deviennent possibles. Ce point a été relevé dés l'année 2001 par le président de la CIJ. Il s'est exprimé à ce sujet: « la multiplication des instances juridictionnelles internationales peut mettre en danger le droit international »

de droit va éviter à celui qui s’estime d’une atteinte de se faire justice à lui-même. C’est une garantie contre la vengeance, la violence, contre la loi de la jungle. On juge également pour trancher les litiges : la vie sociale fait naître des conflits, pour les régler on fait appel à un tiers neutre : le juge qui présente l’avantage d’être extérieur au litige, il est neutre, et ce juge en appliquant les règles de droit que chacun connaît à l’avance va dire qui a tors et qui a raison. L’exercice

perse. Le roi perse, Darius 1er, écrase la rébellion en 494, en détruisant la ville de Milet, située dans cette région. Entre 490 et 479, les Athéniens devaient, de leur côté, faire face aux multiples tentatives d’invasion des Perses. La fin des conflits avec la défaite de Xerxès, le nouveau roi perse, lors de la bataille de Salamine, du Cap Mycale et de Platées n’a pas pour autant permis l’unification et la pacification de la Cité. Il faut attendre la domination de Philippe de Macédoine à partir

reconnues (et donc restreints les risques d'imposture idéologique), la différence y serait observée et le conflit frappé d'insignifiance (étant improducteur de plaisir). « Que la différence se glisse subrepticement à la place du conflit. » La différence n'est pas ce qui masque ou édulcore le conflit : elle se conquiert sur le conflit, elle est au-delà et à côté de lui. Le conflit ne serait rien d'autre que l'état moral de la différence; chaque fois (et cela devient fréquent) qu'il n'est

Philosophie du droit Le point de départ est un conflit, qui n’a jamais vraiment été résolu, entre le droit objectif et le droit subjectif. Le droit subjectif est un droit de la personne, de l’individu qui forme la base des droits fondamentaux, qui sont quant à eux un acquis des démocraties occidentales (ex : question récente sur les rom qui remet en cause les droits fondamentaux). La nature a fait les hommes égaux avec des libertés fondamentales : c’est l’argument qui fut utilisé contre la monarchie

laquelle les anciens dirigeants seront remplacés. Soulignons une difficulté particulière concernant le gérant statutaire, qui ne peut a priori pas être remplacé par un majoritaire qui n’aurait pas le pouvoir suffisant pour amender les statuts. Des conflits d’intérêts peuvent alors naître entre associés et gérant statutaire, qui devront être arbitrés à l’aune de l’intérêt social. 2) La possible résiliation des contrats conclus intuitus personae Des clauses introduisant un intuitus personae ont pu

posé par un traité universel. C'est bien la raison pour laquelle les traités universelle prennent le soin de prévoir un article qui dit que s'il y a conflit entre la norme posé par le traité universel et celle posé par tout autres traités, c'est la norme posé par le traité universel qui l'emporterait. C'est de cette manière que l'on surmonte les conflits de règles entre les traités mais là encore ce règlement est posé par le traité donc un acte conventionnel donc un acte librement consentis par les

Imaginons un monde composé de deux pays. Chaque pays dispose de la même industrie, avec plusieurs firmes identiques : chaque firme fabrique une variété différente du même bien avec la même technique de production , et les dotations en ressources nécessaires à la production (travail, capital, terre) sont aussi identiques et immobiles au plan international . Enfin, les ménages des deux pays ont les mêmes goûts. (Ils consomment les mêmes quantités de chaque variété à leur disposition). Un tel monde ne présente

n’a-t-il pour but que le plaisir ? - L’art n’est-il qu’un divertissement ? - L’art n’est-il qu’un jeu ? - L’art n’est-il qu’un luxe ? - L’art n’est-il qu’une affaire de goût ? - L’art n’obéit-il à aucune règle ? - L’art nous réconcilie-t-il avec le monde ? - L’art nous rend-il meilleurs ? - L’art peut-il être défini comme la production du beau ? - L’art peut-il être populaire ? - L’art peut-il être un refuge ? - L’art peut-il revendiquer la laideur ? - L’art peut-il se passer de la référence au beau

1996 Pour juger, faut‑il seulement apprendre à raisonner ? Sans métaphysique, l'homme peut‑il comprendre son existence ? ------------------------------------------- L : Antilles – Session normale 1996 Une société juste est‑ce une société sans conflits ? La raison peut‑elle rendre raison de tout ? ------------------------------------------- L : Antilles – remplacement 1996 L'amour de l'humanité nous est‑il naturel ? Le progrès historique est‑il un mythe ou une réalité ? -------------------------------------------