Un gars, une fille

il y a deux mois, à Grenoble. Sihem, 14 ans, venait d'intégrer l'Espace adolescents, une structure | | |d'accueil visant à rescolariser des jeunes de 14 à 21 ans en rupture de scolarité ou aux portes de la délinquance. Ce jour-là, la jeune fille | | |butait sur un exercice. "Je suis trop une Celte !", s'est-elle alors exclamée. Interloqué, Antoine Gentil, son professeur, lui a demandé ce | | |qu'elle voulait dire par "Celte" ? Et Sihem d'expliquer que, dans sa cité, le quartier

avec ta beauté montre nous plutôt ce que tu as dans ton coeur. On s'en fou de tes muscles nous, ce qu'on veux c'est que tu aimes vraiment les gens pour ce qu'ils sont. T'es pas nul arrête. Juste que toi tu pleureras jamais sur un banc seul pour une fille. Parce que toi t'aime les belles nanas qui veulent être populaires, celles qui sont comme tout le monde, belle mais un peu cruche tu vois. Mais rend toi compte des choses un peu ! Tu divague là c'est pas bon tout ça.. Moi j'aimerais que si tu m'aimes

Extrait 1 ; Honoré de Balzac , Le Père Goriot Voilà le carrefour de la vie, jeune homme, choisissez. Vous avez déjà choisi : vous êtes allé chez notre cousine de Beauséant, et vous y avez flairé le luxe. Vous êtes allé chez madame de Restaud, la fille du père Goriot, et vous y avez flairé la Parisienne. Ce jour-là vous êtes revenu avec un mot sur votre front, et que j'ai bien su lire : Parvenir ! parvenir à tout prix. Bravo ! ai-je dit, voilà un gaillard qui me va. Il vous a fallu de l'argent. Où

pas retiré : je t'ai jamais eu. Je crois que c'est ça qui me fait le plus mal. J'ai jamais eu ce sentiment de t'appartenir. Et tu ne m'as jamais appartenu.  Certains diraient « c'est qu'une fille, rien de plus ». Mais s'ils te connaissaient, ils sauraient. Ils sauraient que tu es bien plus qu'une fille. T'es une perle, un diamant. Tu ravis mon regard, tu sais. J'ai comme des étoiles dans les yeux quand ton foutu prénom s'affiche sur mon écran. T'es tout ce que les gens voudraient avoir. Mais en

Les jours passèrent, ils nous regardaient souvent et je suis devenu de plus en plus inquiet. Mais la journée où j’allais essayer de lui passer le message… UNE CATASTROPHE!!! JE N’AI JAMAIS EU AUSSI PEUR… IL NOUS SUIVAIT… OUI LUI L’À… LE ….LEEEE GARS! J’avais commencé à tirer la main d’Ève, mais elle me crut idiot puisqu’elle ne voyait toujours pas l’homme. Je me suis échappé. En courant, je me suis retourné et j’ai vu que l’homme avait pris Ève. J’étais en panique TOTALE. Quelle sorte d’ami suis-je

aux règles collectives, l'individu s'affranchit de ces normes imposées par d'autres, des tutelles traditionnelles qui pèsent sur son destin. Donc, en ne parlant individuellement que d’une personne dans le texte, soit la jeune fille qui se fait toujours avorter ou le p’tit gars qui reve d’un lopin de terre, il parle d’eux par rapport à la société dans laquelle ils vivent et la généralise en pointant du doigt un individu particulier. •Il y a beaucoup de répétitions : -Tu rêves la nuit(ligne 8 &

après avoir débattu et fixé le prix de pension, vit jaillir sous le préau, avec un bruit de soufflet, deux gerbes d’étoiles rouges et blanches ; et elle put m’apercevoir, l’espace d’une seconde, dressé dans la lueur magique, tenant par la main le grand gars nouveau venu et ne bronchant pas… Cette fois encore, elle n’osa rien dire. Et le soir, au dîner, il y eut, à la table de famille, un compagnon silencieux, qui mangeait, la tête basse, sans se soucier de nos trois regards fixés sur lui. – 12 –

et je passai, cette année-là mes vacances chez lui, dans l'Aveyron, "au château". J'y arrivai alors qu'il sifflait son chien et partait pour la chasse. Je le suivis et, au moment où nous prenions la route, il appela: "La caille!" Alors parut une fille petite, ronde, aux yeux d'eau, qui surgit de derrière le mur de la ferme. — Tu as encore ton sale fusil, papa, dit-elle. Tu vas encore tuer des bêtes? M. de Bolestac rit: — Des cailles, oui. Mais voici Jean que tu ne connais pas. Sa maman, souffrante

connaisse. Elle attend le lundi avec impatience, et jamais il ne lui vient a l’idée de regarder en arrière et de se demander avec effarement ce que sont devenus tous ces jours qu’elle a tricotés ! Une après-midi, il est arrivé à l’atelier un grand gars de retour des chantiers. Branle-bas et grosse dépense de battement de cœur chez les ouvrières ! Il achète des chaussettes et offre des images coloriées, en cadeau, a chacune des jeunes filles. Émilie daigne regarder la sienne, sans pour cela cesser

celle du personnage principale et qui sont des travailleuses ou des jeunes mères. On y retrouve une femme regarder s’envoler des papillons, une autre court sur la plage, une tourne en rond dans une petite robe blanche et finalement on aperçoit une fille qui s’étire les jambes dans un costume de ballerines blanc. Finalement, on voit un groupe de trois jeunes femmes vers la fin de la publicité qui dansent. Elles sont de jeunes étudiantes de la bourgeoisie. 2. L’action prend forme lorsqu’une