Un gars, une fille

pour l'entraînement de boxe" disait-il. Je voyais plutôt Diederik comme un gentil Teddybeer que comme une armoire à glace. Juste parce que son père l'avait inscrit à ce club de boxe. Personne croyait qu'il tiendrait dans un ring. "Je suis une grande fille, je saurai rentrer à la maison toute seule." disait-elle. Ensuite, le train s'arrêtait. Riant et parlant, ils marchaient le long de la station. Ils étaient en avance de 20 minutes et plutôt que de marcher vers l'école et s'installer dans une plaine

guerroyer avec les hommes que de lutter avec sa femme. Voilà le carrefour de la vie, jeune homme, choisissez. Vous avez déjà choisi : vous êtes allé chez notre cousin de Beauséant, et vous y avez flairé le luxe. Vous êtes allé chez madame de Restaud, la fille du père Goriot, et vous y avez flairé la Parisienne. Ce jour-là vous êtes revenu avec un mot sur votre front, et que j’ai bien su lire : Parvenir ! parvenir à tout prix. Bravo ! ai-je dit, voilà un gaillard qui me va. Il vous a fallu de l’argent. Où

sont inconciliables avec la réalité ; les individus seront toujours sacrifiés. Au moment où il ne manque plus qu’une vingtaine de pages à la fin du roman, Marie est trompée par une fausse lettre de Corentin. Elle se sent trahie et accepte de livrer Le Gars, en l’attirant dans sa maison entourée par les soldats républicains. Quand elle comprend son erreur, il est trop tard. Elle épouse son amant avant de tomber avec lui sous le feu des Républicains. Les derniers mots de Marie sont : « Un jour sans lendemain

Certains noms masculins ont un féminin totalement différent |un homme une femme |un monsieur une dame |un garçon une fille | |un frère une soeur |un père une mère |un fils une fille | |un oncle une tante |un neveu une nièce |un copain une copine

qu’il aime. Donc Meaulnes, malgré son amour pour Yvonne la quitte pour partir à la recherche de l’amour de Frantz. Lors de son absence Yvonne a une petite fille et meurt le jour d’après, François Seurel s’occupe donc de la petite en attendant le retour de Meaulnes. Après avoir réunis Frantz et Valentine, Augustin rentre chez lui prend sa fille et repart. François reste alors seul et continue sa profession d’instituteur. Les personnages principaux  François Seurel : C’est le narrateur du roman

: Retraité après avoir travaillé à la gendarmerie. Il adore faire des coups vaches à sa femme, qu'il regrette même de ne pas avoir quitté. Le couple : Ils sont mariés depuis quarante ans, et ont vécu trente neuf années de cauchemars. Ils ont une fille nommée Caroline. Huguette et Raymond passent leur temps à s'envoyer des pics. Que ce soit moralement ou physiquement. Les pires coups sont permis. Et c'est ce qu'ils aiment Les épisodes Les épisodes sont donc d'une durée d'environ 30 minutes. C'est

Nous sommes à New-York, 1975. Cinq jeunes gens fréquentent un bar de la ville. Parmi eux : Chams, la seule fille du groupe, Christo et Tony, ses frères. Avec eux, Ali et Dally les deux frères appelés communément les frères Mohamed. Tout commence un lundi 04/01 à deux heures du matin. Alors qu’ils étaient encore dans le bar, Christo reçoit un appel d’Arthur ,l’un de ses plus vieil

bé, pé Toine ? Il répondait invariablement : – Un brûlot, mon gendre, ça chauffe la tripe et ça nettoie la tête ; y a rien de meilleur pour le corps. Il avait aussi cette coutume d’appeler tout le monde « mon gendre », bien qu’il n’eût jamais eu de fille mariée ou à marier. Ah ! oui, on le connaissait Toine Brûlot, le plus gros homme du canton, et même de l’arrondissement. Sa petite maison semblait dérisoirement trop étroite et trop basse pour le contenir, et quand on le voyait debout sur sa porte

2 mois. Maintenant, par exemple, j'échange des sourires, des regards, etc avec toutes les jolies filles, que je vois maintenant pour première fois dans ma vie, au métro, dans bus et les rues. J'ai senti un frisson pendant un court moment avec une fille dans la bibliothèque de la semaine dernière, quand j'ai accidentellement touché son bras (première année). Ça a été très court, mais je me suis arrêté pour parler avec elle sur les coiffures et d'autres choses ennuyeuses, au lieu d'aller à la cafétéria

plan on peut voir un canonnier en train de charger le canon qui est lui au 2ème plan. Dans ce 2ème plan on voit un 2ème canonnier et beaucoup de mot, de phrase ou d’onomatopées tel que « bruit+lumière », « courbe graduelle vers la terre » « allons les gars ! » ou encore « BBOUMM ». Tous ces mots partent du canon en formant des courbes qui s’éloignent donnant ainsi un effet d’explosion, de vacarme, de désordre. L'artillerie est l'arme par excellence de la Première Guerre mondiale. L'artillerie lourde